PRÉSIDENTIELLES 2016 SULTAN HACHIM FACE AU CLUB DE LA PRESSE C'est dans son domicile privé de Moroni dans le quartier légendaire de ...
PRÉSIDENTIELLES 2016 SULTAN HACHIM FACE AU CLUB DE LA PRESSE
C'est dans son domicile privé de Moroni dans le quartier légendaire de Mtsangani au coeur de la capitale fédérale, que le nouvel espoir des Comores et de la jeunesse, chantre de la nouvelle révolution , a reçu la semaine dernière en «off » dans un breakfast à l'anglaise, les grands noms du journalisme et de la presse comoriens.
Étaient conviés à cette réception conviviale et sympathique, bien sûr les deux monstres sacrés de la plume que sont Aboubacar Mchangama et Hadji Hassanaly, respectivement directeurs de l'Archipel et de la Tribune. D'autres étoiles montantes y étaient aussi. On peut citer notamment Elhad Said Omar (directeur de la Gazette des Comores ), Ali Mmadi ( directeur de Karibu Hebdo ), Mohamed Younoussa (rédacteur en chef Alwatwan ), Ahmed Ali Amir (éditorialiste Alwatwan ), Ali Moindjié (Ancien directeur Albalad ), Soilih Abdallah Moina (présentateur vedette de l'ORTC ), Mohamed Hassane Mlatamou ( journaliste investigateur à l'ORTC ), et enfin était aussi de la partie, l'inclassable et nouvel astre de la galaxie du monde de l'information, le non moins célèbre Abdallah Agwa, directeur de la célèbre Baraka FM, la première radio nationale en terme d'audience et d'écoute.
Seule fausse note de cette rencontre, la non présence de la belle et ravissante Faïza, militante infatigable de la cause comorienne, et animatrice en chef de Facebook, qui avait tout simplement oublié l'heure du rendez vous. Mais en bon prince, le Sultan a daigné accepté ses excuses.
«je vous ai conviés chez moi ce matin, pas parce que vous êtes des amis, et c'est vrai certains d'entre vous sont mêmes des confidents, mais parce que vous croyez à ce que vous écrivez, et aux mots que vous prononcer sans crainte et sans peur.......j'aurais donc besoin de vous, de vos analyses, réflexions et critiques durant toute la durée de mon mandat Inch Allah Amin......et parce que j'ai compris et fait mienne l'idée selon laquelle, seule la critique permet d'avancer, je garantirai votre profession et vous donnerez les moyens matériels et financiers d'accomplir votre tâche à savoir : informer......un vrai chef d'État soucieux de l'avenir de son pays et de son peuple, a besoin qu'on lui dise ce qui ne va pas, mais pas ce qui va......et je compte sur vous, pour m'informer matin, midi et soir.....ne me demandez pas rendez vous, n'allez pas à Beït Salam, vous ne me trouverez pas la bas, venez tout simplement ici à mon domicile, et à n'importe quelle heure, vous trouverez porte ouverte ».
En guise de remerciements, pour l'accueil sultanesque qui leur est réservé dans l'un des vieux domiciles qui incarnent au mieux l'art et la tradition de Moroni , pour les trois heures de discussions à bâtons rompus qu'ils n'ont pas vu passer et pour ces mots confortables sortis des tripes du jeune candidat, le doyen des journalistes qui n'est autre que Hadji Hassanaly a eu les larmes aux yeux et a déclaré : « que Dieu vous vienne en aide, parce que si c'est la vérité que vous voulez entendre nous allons vous la dire ».
Comoriens ! enfin une bonne nouvelle. Beït Salam, haut lieu de la magie noire, de la fornication , de la sodomie, du mensonge, du vol, et de la corruption organisés sera rasé.
Chacha Mohamed
C'est dans son domicile privé de Moroni dans le quartier légendaire de Mtsangani au coeur de la capitale fédérale, que le nouvel espoir des Comores et de la jeunesse, chantre de la nouvelle révolution , a reçu la semaine dernière en «off » dans un breakfast à l'anglaise, les grands noms du journalisme et de la presse comoriens.
Étaient conviés à cette réception conviviale et sympathique, bien sûr les deux monstres sacrés de la plume que sont Aboubacar Mchangama et Hadji Hassanaly, respectivement directeurs de l'Archipel et de la Tribune. D'autres étoiles montantes y étaient aussi. On peut citer notamment Elhad Said Omar (directeur de la Gazette des Comores ), Ali Mmadi ( directeur de Karibu Hebdo ), Mohamed Younoussa (rédacteur en chef Alwatwan ), Ahmed Ali Amir (éditorialiste Alwatwan ), Ali Moindjié (Ancien directeur Albalad ), Soilih Abdallah Moina (présentateur vedette de l'ORTC ), Mohamed Hassane Mlatamou ( journaliste investigateur à l'ORTC ), et enfin était aussi de la partie, l'inclassable et nouvel astre de la galaxie du monde de l'information, le non moins célèbre Abdallah Agwa, directeur de la célèbre Baraka FM, la première radio nationale en terme d'audience et d'écoute.
Seule fausse note de cette rencontre, la non présence de la belle et ravissante Faïza, militante infatigable de la cause comorienne, et animatrice en chef de Facebook, qui avait tout simplement oublié l'heure du rendez vous. Mais en bon prince, le Sultan a daigné accepté ses excuses.
«je vous ai conviés chez moi ce matin, pas parce que vous êtes des amis, et c'est vrai certains d'entre vous sont mêmes des confidents, mais parce que vous croyez à ce que vous écrivez, et aux mots que vous prononcer sans crainte et sans peur.......j'aurais donc besoin de vous, de vos analyses, réflexions et critiques durant toute la durée de mon mandat Inch Allah Amin......et parce que j'ai compris et fait mienne l'idée selon laquelle, seule la critique permet d'avancer, je garantirai votre profession et vous donnerez les moyens matériels et financiers d'accomplir votre tâche à savoir : informer......un vrai chef d'État soucieux de l'avenir de son pays et de son peuple, a besoin qu'on lui dise ce qui ne va pas, mais pas ce qui va......et je compte sur vous, pour m'informer matin, midi et soir.....ne me demandez pas rendez vous, n'allez pas à Beït Salam, vous ne me trouverez pas la bas, venez tout simplement ici à mon domicile, et à n'importe quelle heure, vous trouverez porte ouverte ».
En guise de remerciements, pour l'accueil sultanesque qui leur est réservé dans l'un des vieux domiciles qui incarnent au mieux l'art et la tradition de Moroni , pour les trois heures de discussions à bâtons rompus qu'ils n'ont pas vu passer et pour ces mots confortables sortis des tripes du jeune candidat, le doyen des journalistes qui n'est autre que Hadji Hassanaly a eu les larmes aux yeux et a déclaré : « que Dieu vous vienne en aide, parce que si c'est la vérité que vous voulez entendre nous allons vous la dire ».
Comoriens ! enfin une bonne nouvelle. Beït Salam, haut lieu de la magie noire, de la fornication , de la sodomie, du mensonge, du vol, et de la corruption organisés sera rasé.
Chacha Mohamed