Les proches de Mahamoud Abi Amri sont en extase suite à la suspension de leur gourou au poste de directeur général de Comores Télécom. Selon...
Les proches de Mahamoud Abi Amri sont en extase suite à la suspension de leur gourou au poste de directeur général de Comores Télécom. Selon des sources concordantes, Abi Amri faisait croire qu'il s'apprêtait à démissionner le 26 de ce mois pour s'occuper du pré campagne visant le gouvernerat de Moheli. Une île qu'il a achetée par des petits boulots. C'est en tout cas le terme d'un de ses éminences grises. Après le refus du président de la république, Abi Amri a envoyé un souris à Beit Salam provoquer sa chute pour échapper au bilan demandé par Iki.
Le compte à rebours à déclenché depuis l'après-midi du mercredi. Jeudi, pas d'effet côté ministre de telecommunication, censée signer l'arrêté. La première dame a pris son mal en patience, attendant l'expiration de l'ultimatum. Le lendemain, jour J, Bahia aurait tenté de dissuader la première dame. "Si tu as déjà signé envois-moi une copie. Sinon, tu as intérêt à raccrocher car je ne veux rien entendre de tes doléances". C'était à 8h et 10 minutes du vendredi. Bahia s'est morfondue toute seule dans son bureau.
Elle a fini par signer l'arrêté préparé depuis mercredi par la première dame. Notre source affirme que Abi attendait bien ce qui est arrivé. Une semaine avant d'envoyer son souris auprès de la première dame, le directeur de comores Télécom aurait bel et bien aménagé sa résidence privée à Zilimadjou. Il a rempli d'eau les citernes, chargé du gaz....
À l'heure qu'il est, les proches d'Abi se frottent les mains. Ils sont persuadés que cette suspension favorisera le campagne de leur leader. Mais aussi et surtout, échapper à un interrogatoire qui risque de lui mettre dans sal pétrin.
Par Toufeyli Maecha
Photo. Credit la gazette des Comores
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Le président de la république aurait tenté d'empêcher Abi de jeter l'éponge avant qu'il ne présente un bilan. Une recommandation qui posait problème au désormais ancien directeur de CT qui était si habile à se trouver un échappatoire. Les 790 millions qu'il a accordé aux amis d'Iki pour leurs fêtes de mariage et autres, par exemple.
Sans compter les passations de marché sans aucune forme de légitimité. Selon nos soins, la suspension d'Abi était un coup monté. Un ami à lui s'était chargé de la tâche pour forcer la main à la première dame, après que Iki était totalement catégorique sur sa position. Mission réussie. Mercredi dernier, avant veille de la suspension, la première dame aurait contacté la ministre de telecommunication pour lui faire part de ses desideratas. Bahia Massound aurait hésité. La première dame lui aurait par la suite lancé un ultimatum.
Sans compter les passations de marché sans aucune forme de légitimité. Selon nos soins, la suspension d'Abi était un coup monté. Un ami à lui s'était chargé de la tâche pour forcer la main à la première dame, après que Iki était totalement catégorique sur sa position. Mission réussie. Mercredi dernier, avant veille de la suspension, la première dame aurait contacté la ministre de telecommunication pour lui faire part de ses desideratas. Bahia Massound aurait hésité. La première dame lui aurait par la suite lancé un ultimatum.
Le compte à rebours à déclenché depuis l'après-midi du mercredi. Jeudi, pas d'effet côté ministre de telecommunication, censée signer l'arrêté. La première dame a pris son mal en patience, attendant l'expiration de l'ultimatum. Le lendemain, jour J, Bahia aurait tenté de dissuader la première dame. "Si tu as déjà signé envois-moi une copie. Sinon, tu as intérêt à raccrocher car je ne veux rien entendre de tes doléances". C'était à 8h et 10 minutes du vendredi. Bahia s'est morfondue toute seule dans son bureau.
Elle a fini par signer l'arrêté préparé depuis mercredi par la première dame. Notre source affirme que Abi attendait bien ce qui est arrivé. Une semaine avant d'envoyer son souris auprès de la première dame, le directeur de comores Télécom aurait bel et bien aménagé sa résidence privée à Zilimadjou. Il a rempli d'eau les citernes, chargé du gaz....
À l'heure qu'il est, les proches d'Abi se frottent les mains. Ils sont persuadés que cette suspension favorisera le campagne de leur leader. Mais aussi et surtout, échapper à un interrogatoire qui risque de lui mettre dans sal pétrin.
Par Toufeyli Maecha
Photo. Credit la gazette des Comores
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