Nouvel épisode dans la crise qui secoue les Jeux des Iles. Pour éviter toutes nouvelles polémiques, le Conseil international des Jeux des I...
Nouvel épisode dans la crise qui secoue les Jeux des Iles. Pour éviter toutes nouvelles polémiques, le Conseil international des Jeux des Iles réuni cet après-midi a décidé qu’il n’y aurait plus d’hymnes, ni de drapeaux lors des remises de médailles.
Il s’agit notamment d’empêcher que la Marseillaise retentisse et que le drapeau français soit hissé en cas de victoires d’athlètes réunionnais. Histoire de ne pas envenimer la situation avec les Comores qui ont choisi de se retirer de la compétition.
Pour rappel, l’Union des Comores s’est retiré des 9e Jeux des îles qui ont débuté en fin de semaine, pour protester contre le défilé de la délégation de Mayotte derrière le drapeau français, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux samedi au stade olympique de Saint-Paul.
Il s’agit notamment d’empêcher que la Marseillaise retentisse et que le drapeau français soit hissé en cas de victoires d’athlètes réunionnais. Histoire de ne pas envenimer la situation avec les Comores qui ont choisi de se retirer de la compétition.
Pour rappel, l’Union des Comores s’est retiré des 9e Jeux des îles qui ont débuté en fin de semaine, pour protester contre le défilé de la délégation de Mayotte derrière le drapeau français, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux samedi au stade olympique de Saint-Paul.
Pour le gouvernement comorien, cette "violation de la charte" est constituée par le fait que les sportifs mahorais ont défilé derrière le drapeau français, en chantant la Marseillaise. Le port des couleurs tricolores par les sportifs mahorais est une première depuis la création des Jeux des îles en 1979. Les Comores, qui refusent de reconnaître à Mayotte le statut de terre française, s’opposent à ce que les athlètes mahorais portent les couleurs tricolores. La République comorienne a même réussi à faire acter ce point dans la charte des Jeux, sans grande opposition de la France. Jusqu’à présent les Mahorais avaient, de fait, un statut d’apatride. Par Clicanoo.re