Mohamed Abdou Soimadou « Le Fourmi-Lion » qui se définit comme un insecte ressemblant à une libellule par sa taille ingrate, mais dont la ...
Mohamed Abdou Soimadou « Le Fourmi-Lion » qui se définit comme un insecte ressemblant à une libellule par sa taille ingrate, mais dont la larve est un poison mortel qui dévore les fourmis qu’elle capture en prenant soin de creuser des pièges en forme d’entonnoir pour les enterrer à jamais.
C’est ainsi que procède le géant Directeur Général du journal national AL WATAN. Des similitudes flagrantes s’observent. Il n’est un secret pour personne que tous ceux qui côtoient SOIMADOU, le fréquentent et l’approchent de trop près sont condamnés à un destin éphémère par conséquent appelés à disparaitre de la surface de la terre. En termes clairs, il est un oiseau de mauvais augure. Mais quelle mouche a piqué cet énergumène qui fait qu’il s’agite dans tous les sens, comme saisi d’une crise d’épilepsie aiguë tirant sur tout ce qui bouge, faisant feu de tout bois, particulièrement depuis l’évènement de la commémoration de la date historique du 3 Août 1975 ?
Cet évènement d’une portée internationale semble-t-il aurait eu un effet déclencheur, provoquant une rechute et de nouveau il sombre dans ses nombreuses crises périodiques prenant cette fois-ci comme cible l’œuvre politique du MONGOZI ALI SOILIH MTSACHIWA, en tentant en vain et désespérément de ternir le bilan plus que positif de cette période faste de l’histoire politique récente de notre pays.
Il s’acharne avec virulence sur un ton intempérant à dénigrer la figure tutélaire, celle du Commandeur, le Leader charismatique de la Révolution Comorienne. Le seul homme politique de notre temps, parvenu au sommet de l’Etat pour prendre en main le destin de notre pays en réussissant en un laps de temps (29 mois) à dégager d’une manière claire et lisible des perspectives de développement sociales et économique fiables et crédibles répondant à tout point de vue aux attentes du peuple.
ALI SOILIH a jeté les bases d’une politique de développement socio/économique réaliste et adaptée, il trace les contours d’un État Nation viable et responsable, il est parvenu à poser les jalons des nouvelles institutions étatique appropriées et de surcroît en parfaite harmonie avec les réalités historiques et culturelles de notre jeune état.
Tout un contingent d’initiatives courageuses que le monde entier à salué leurs perspicacités tout en déplorant à son renoncement par ses successeurs pour des raisons idéologiques et épidermiques. Est-il vraiment utile, voire nécessaire d’ouvrir les vieilles plaies du passé, de réveiller des haines dépassées pour la plus part transcendées, de susciter des rancœurs nocives au moment même ou à l’unisson la Nation s’est associée pour rendre hommage à son héros disparu ?
Notre pays n’a-t-il pas suffisamment souffert des querelles inutiles, des divisions stériles, des faux débats sans lendemain?
Pourquoi alors vouloir nous ramener à des pratiques d’un autre temps, réveiller les vieux démons, entretenir des réflexes désuets, inadaptés et contre productifs ?
Agir de la sorte témoigne de son incapacité à se régénérer, à se projeter vers le futur et à disposer d’un supplément d’âme. Il est donc resté accroché a un passé révolu qui a profondément traumatisé le pays et contribué à le conduire vers sa désagrégation progressive. Cela démontre également si besoin est , combien cet homme du passé est resté plongé dans un état profond de désafférentation sociale, donc déconnecté des réalités du moment, s’enfermant dans un passé lugubre qu’il incarne si bien au point d’en être l’expression vivante incontestable.
Il faut peut-être lui rappeler pour lui rafraîchir la mémoire que le temps de la guerre froide est terminée, que le mur de Berlin est tombé, que son grand timonier POLPOTE n’es plus de ce monde que la mondialisation est en marche et que CUBA vient de reprendre sa place dans le concert de nations avec une respectabilité affirmée.
A partir de là, la question qui se pose est quel combat livrez-vous aujourd’hui Mr le naufragé de l’histoire et contre qui vous battez-vous ? sinon contre votre ombre qui vous persécute, votre conscience qui vous torture, votre âme qui s’enflamme et votre esprit indigent qui vous tourmente.
Le monde doit savoir qui vous êtes réellement : car vous prétendez être un progressiste et soi-disant nationaliste et quand bien même que membre influant d’un mouvement gauchisant né en France métropolitaine dans la galaxie universitaire, vous me permettrez d’émettre quelques doutes sur vos profondes convictions.
Vous et vos amis, d’une manière concertée, avez adressé une fin de non-recevoir à l’appel du 3 Aout 1975 lancé par ALI SOILIH dans les heures critiques et difficiles de la Révolution en raison du départ précipité de l’assistance technique de l’ancienne puissance administrante, convaincue de l’effondrement inéluctable du régime.
Un défi de plus que la frère ALI SOILIH a relevé avec brio malgré votre acharnement de sape , de désinformation et de dénigrement systématique de tout ce que le régime entreprenait.
Vous avez été la plume avérée et le cerveau révélé de la contre révolution, faisant le choix délibérée de fournir votre expertise aux chefs politiques du féodalisme primaire, support inhérent des idées rétrogrades et obscurantistes.
Vous avez effectué un travail préalable de préparation et de conditionnement de l’opinion au coup d’état du 13 Mai 1978 et au lendemain du putsh, fait partie du 1er contingent qui est revenu précipitamment au pays, convaincu que les choses vous seraient favorables malgré un environnement dominé par l’esprit affirmé et assumé du Mercenariat International.
Vous avez été l’architecte qui a échafaudé le plan suicidaire qui a conduit vos camarades à l’abattoir en les livrant pieds et mains liés à Bob Denard et ses hommes qui sans aucun état d’âme en ont fait de la chair a canon.
Vous avez par la suite lâché vos frères d’arme en vous convertissant en mercenaire intellectuel qui offre ses services au plus offrant.
C’est ainsi que vous avez trempé vos doigts dans toutes les sauces au point de devenir un produit incolore, inodore et sans saveur et que votre ADN est tellement dilué que vous êtes devenu un objet non identifiable, en bref un OVNI mais qui n’a pas réussi à effacer les empreintes de vos origines tout en restant un effluve d’une idéologie hybride et un épigone d’une doctrine féodalo-mercenariale.
A BON ENTENDEUR,
KAMAL ABDALLAH, DIASPORA
Photo ©lagazettedescomores
C’est ainsi que procède le géant Directeur Général du journal national AL WATAN. Des similitudes flagrantes s’observent. Il n’est un secret pour personne que tous ceux qui côtoient SOIMADOU, le fréquentent et l’approchent de trop près sont condamnés à un destin éphémère par conséquent appelés à disparaitre de la surface de la terre. En termes clairs, il est un oiseau de mauvais augure. Mais quelle mouche a piqué cet énergumène qui fait qu’il s’agite dans tous les sens, comme saisi d’une crise d’épilepsie aiguë tirant sur tout ce qui bouge, faisant feu de tout bois, particulièrement depuis l’évènement de la commémoration de la date historique du 3 Août 1975 ?
Cet évènement d’une portée internationale semble-t-il aurait eu un effet déclencheur, provoquant une rechute et de nouveau il sombre dans ses nombreuses crises périodiques prenant cette fois-ci comme cible l’œuvre politique du MONGOZI ALI SOILIH MTSACHIWA, en tentant en vain et désespérément de ternir le bilan plus que positif de cette période faste de l’histoire politique récente de notre pays.
Il s’acharne avec virulence sur un ton intempérant à dénigrer la figure tutélaire, celle du Commandeur, le Leader charismatique de la Révolution Comorienne. Le seul homme politique de notre temps, parvenu au sommet de l’Etat pour prendre en main le destin de notre pays en réussissant en un laps de temps (29 mois) à dégager d’une manière claire et lisible des perspectives de développement sociales et économique fiables et crédibles répondant à tout point de vue aux attentes du peuple.
ALI SOILIH a jeté les bases d’une politique de développement socio/économique réaliste et adaptée, il trace les contours d’un État Nation viable et responsable, il est parvenu à poser les jalons des nouvelles institutions étatique appropriées et de surcroît en parfaite harmonie avec les réalités historiques et culturelles de notre jeune état.
Tout un contingent d’initiatives courageuses que le monde entier à salué leurs perspicacités tout en déplorant à son renoncement par ses successeurs pour des raisons idéologiques et épidermiques. Est-il vraiment utile, voire nécessaire d’ouvrir les vieilles plaies du passé, de réveiller des haines dépassées pour la plus part transcendées, de susciter des rancœurs nocives au moment même ou à l’unisson la Nation s’est associée pour rendre hommage à son héros disparu ?
Notre pays n’a-t-il pas suffisamment souffert des querelles inutiles, des divisions stériles, des faux débats sans lendemain?
Pourquoi alors vouloir nous ramener à des pratiques d’un autre temps, réveiller les vieux démons, entretenir des réflexes désuets, inadaptés et contre productifs ?
Agir de la sorte témoigne de son incapacité à se régénérer, à se projeter vers le futur et à disposer d’un supplément d’âme. Il est donc resté accroché a un passé révolu qui a profondément traumatisé le pays et contribué à le conduire vers sa désagrégation progressive. Cela démontre également si besoin est , combien cet homme du passé est resté plongé dans un état profond de désafférentation sociale, donc déconnecté des réalités du moment, s’enfermant dans un passé lugubre qu’il incarne si bien au point d’en être l’expression vivante incontestable.
Il faut peut-être lui rappeler pour lui rafraîchir la mémoire que le temps de la guerre froide est terminée, que le mur de Berlin est tombé, que son grand timonier POLPOTE n’es plus de ce monde que la mondialisation est en marche et que CUBA vient de reprendre sa place dans le concert de nations avec une respectabilité affirmée.
A partir de là, la question qui se pose est quel combat livrez-vous aujourd’hui Mr le naufragé de l’histoire et contre qui vous battez-vous ? sinon contre votre ombre qui vous persécute, votre conscience qui vous torture, votre âme qui s’enflamme et votre esprit indigent qui vous tourmente.
Le monde doit savoir qui vous êtes réellement : car vous prétendez être un progressiste et soi-disant nationaliste et quand bien même que membre influant d’un mouvement gauchisant né en France métropolitaine dans la galaxie universitaire, vous me permettrez d’émettre quelques doutes sur vos profondes convictions.
Vous et vos amis, d’une manière concertée, avez adressé une fin de non-recevoir à l’appel du 3 Aout 1975 lancé par ALI SOILIH dans les heures critiques et difficiles de la Révolution en raison du départ précipité de l’assistance technique de l’ancienne puissance administrante, convaincue de l’effondrement inéluctable du régime.
Un défi de plus que la frère ALI SOILIH a relevé avec brio malgré votre acharnement de sape , de désinformation et de dénigrement systématique de tout ce que le régime entreprenait.
Vous avez été la plume avérée et le cerveau révélé de la contre révolution, faisant le choix délibérée de fournir votre expertise aux chefs politiques du féodalisme primaire, support inhérent des idées rétrogrades et obscurantistes.
Vous avez effectué un travail préalable de préparation et de conditionnement de l’opinion au coup d’état du 13 Mai 1978 et au lendemain du putsh, fait partie du 1er contingent qui est revenu précipitamment au pays, convaincu que les choses vous seraient favorables malgré un environnement dominé par l’esprit affirmé et assumé du Mercenariat International.
Vous avez été l’architecte qui a échafaudé le plan suicidaire qui a conduit vos camarades à l’abattoir en les livrant pieds et mains liés à Bob Denard et ses hommes qui sans aucun état d’âme en ont fait de la chair a canon.
Vous avez par la suite lâché vos frères d’arme en vous convertissant en mercenaire intellectuel qui offre ses services au plus offrant.
C’est ainsi que vous avez trempé vos doigts dans toutes les sauces au point de devenir un produit incolore, inodore et sans saveur et que votre ADN est tellement dilué que vous êtes devenu un objet non identifiable, en bref un OVNI mais qui n’a pas réussi à effacer les empreintes de vos origines tout en restant un effluve d’une idéologie hybride et un épigone d’une doctrine féodalo-mercenariale.
A BON ENTENDEUR,
KAMAL ABDALLAH, DIASPORA
Photo ©lagazettedescomores