Je souhaite livrer ici un complément sur ma prestation à l’émission : “On en Parle : Spéciale Elections Présidentielles 2016“ produite par ...
Je souhaite livrer ici un complément sur ma prestation à l’émission : “On en Parle : Spéciale Elections Présidentielles 2016“ produite par Malis Production et présenter par le journaliste Cheikh Hassane en compagnie de Mohamed Ben Mohamed
J'ai participé à cette émission en tant que Coordinateur National de Ulezi, candidat à la candidature de mon parti aux présidentielles comoriennes de 2016. Je reconnais la qualité du débat qui a eu lieu et qui aurait été exceptionnelle si Ulezi arrivait sans interruption à aller au bout de son raisonnement pour exposer voire même lister seulement ses propositions. Pour développer l'économie comorienne et tripler voire quadrupler une croissance du PIB (que nous voulons inclusive, l'emploi étant une résultante de la croissance) il faut activer plusieurs leviers.
Plusieurs outils en faveur de la relance allaient être exposés aux téléspectateurs, des outils devant accompagner une politique de relance contrairement à la politique d’austérité longtemps prônée par les institutions de Bretton Woods.
Je peux citer entre autres, la création de la Banque des initiatives populaires – (BIP) - devant accompagner les créateurs d’entreprises, l’agence pour la promotion et de l’accompagnement aux créateurs d’entreprises, la création de la caisse de dépôt et d’accompagnement pour les infrastructures qui aura pour objet d’accompagner la politique des grands travaux de l’État, ou encore la réglementation des outils comme le financement participatif et l’épargne solidaire que tous les citoyens comoriens seront appelés à y souscrire notamment les comoriens de l’extérieur pour une meilleure gestion des entreprises publiques, évoquer la dualité nationalisation/privatisation selon Ulezi.
Je me dois de préciser que dans le programme proposé par Ulezi, on ne peut omettre qu’aucune politique économique aux Comores n’est viable sans la volonté politique de la part des autorités d’engager des reformes structurelles soutenant le développement économique et humain de notre pays.
• La question de notre souveraineté monétaire reste posée : des négociations franches et rigoureuses avec la Banque de France et la Banque Centrale Européenne doivent être menées afin d’obtenir la souveraineté monétaire de notre monnaie nationale.
• Le code de travail doit être révisé, le temps de travail réétudié et le salaire minimum instauré ;
• La formation professionnelle et la formation par l’apprentissage seront soutenues par le principe du «buy comorian act » que Ulezi souhaite instaurer.
• La mise en place d’une politique industrielle tournée principalement vers une industrie agroalimentaire, agricole et l’industrie du tourisme.
Ulezi veut bâtir un État créateur d'emplois pour pouvoir améliorer l'éducation, la santé (en instaurant le système comorien de la santé) et la justice (la justice sociale est un de nos chevaux de bataille). Ulezi veut bâtir un État créateur d'emplois pour lutter contre la corruption afin de mieux assainir les finances publiques. Bref, Ulezi défend une politique monétaire et budgétaire expansives
Loin de la langue de bois des politiques notamment en période de précampagne, Ulezi prend une position ferme : la présidence tournante sera abrogée si les comoriens donnent mandat à Ulezi. Ulezi propose une nouvelle république : adopter une démocratie parlementaire.
Pour cette émission, je déplore que je n'ai été confronté sur le plateau à un candidat aux élections présidentielles mais confronté aux représentants des candidats rompus aux discours démagogiques creux faisant des propositions irréalistes et irréalisables aussi bien politiquement que techniquement.
Saïd Hamidou ALLAOUI
J'ai participé à cette émission en tant que Coordinateur National de Ulezi, candidat à la candidature de mon parti aux présidentielles comoriennes de 2016. Je reconnais la qualité du débat qui a eu lieu et qui aurait été exceptionnelle si Ulezi arrivait sans interruption à aller au bout de son raisonnement pour exposer voire même lister seulement ses propositions. Pour développer l'économie comorienne et tripler voire quadrupler une croissance du PIB (que nous voulons inclusive, l'emploi étant une résultante de la croissance) il faut activer plusieurs leviers.
· plusieurs leviers pour favoriser la consommation intérieure ;
· plusieurs leviers pour relancer l'investissement ;
· plusieurs leviers pour inverser la balance commerciale en faveur de l'exportation.
Plusieurs outils en faveur de la relance allaient être exposés aux téléspectateurs, des outils devant accompagner une politique de relance contrairement à la politique d’austérité longtemps prônée par les institutions de Bretton Woods.
Je peux citer entre autres, la création de la Banque des initiatives populaires – (BIP) - devant accompagner les créateurs d’entreprises, l’agence pour la promotion et de l’accompagnement aux créateurs d’entreprises, la création de la caisse de dépôt et d’accompagnement pour les infrastructures qui aura pour objet d’accompagner la politique des grands travaux de l’État, ou encore la réglementation des outils comme le financement participatif et l’épargne solidaire que tous les citoyens comoriens seront appelés à y souscrire notamment les comoriens de l’extérieur pour une meilleure gestion des entreprises publiques, évoquer la dualité nationalisation/privatisation selon Ulezi.
Je me dois de préciser que dans le programme proposé par Ulezi, on ne peut omettre qu’aucune politique économique aux Comores n’est viable sans la volonté politique de la part des autorités d’engager des reformes structurelles soutenant le développement économique et humain de notre pays.
• La question de notre souveraineté monétaire reste posée : des négociations franches et rigoureuses avec la Banque de France et la Banque Centrale Européenne doivent être menées afin d’obtenir la souveraineté monétaire de notre monnaie nationale.
• Le code de travail doit être révisé, le temps de travail réétudié et le salaire minimum instauré ;
• La formation professionnelle et la formation par l’apprentissage seront soutenues par le principe du «buy comorian act » que Ulezi souhaite instaurer.
• La mise en place d’une politique industrielle tournée principalement vers une industrie agroalimentaire, agricole et l’industrie du tourisme.
Ulezi veut bâtir un État créateur d'emplois pour pouvoir améliorer l'éducation, la santé (en instaurant le système comorien de la santé) et la justice (la justice sociale est un de nos chevaux de bataille). Ulezi veut bâtir un État créateur d'emplois pour lutter contre la corruption afin de mieux assainir les finances publiques. Bref, Ulezi défend une politique monétaire et budgétaire expansives
Loin de la langue de bois des politiques notamment en période de précampagne, Ulezi prend une position ferme : la présidence tournante sera abrogée si les comoriens donnent mandat à Ulezi. Ulezi propose une nouvelle république : adopter une démocratie parlementaire.
Pour cette émission, je déplore que je n'ai été confronté sur le plateau à un candidat aux élections présidentielles mais confronté aux représentants des candidats rompus aux discours démagogiques creux faisant des propositions irréalistes et irréalisables aussi bien politiquement que techniquement.
Saïd Hamidou ALLAOUI