Au lendemain de la Ide El Fitre, les esprits des Comoriens se tournent vers les prochaines élections, au premier chef les présidentielles 20...
Au lendemain de la Ide El Fitre, les esprits des Comoriens se tournent vers les prochaines élections, au premier chef les présidentielles 2016. La question fondamentale : le pays va-t-il continuer sa descente aux enfers ou va-t-il trouver les ressources pour changer de cap.Comment se présente la situation
CEUX D’EN-HAUT. C'est-à-dire les dirigeants. Ceux qui se succèdent à la tête de l’Etat depuis 40 ans. Pour eux rien ne doit changer. Ils ont fourbi leurs armes. Et aucune menace ne pèse sur eux. La multiplication des candidats folkloriques est une aubaine. Il discrédite les urnes, banalise la course au pouvoir pour le pouvoir et rend moins révoltant le vote clientéliste et la corruption.
CEUX D’EN-BAS. L’immense majorité des citoyens qui subissent. C’est le pessimisme qui domine. Personne ne croit aux élections et encore moins au personnel politique. L’absence d’une Organisation portant les revendications du pays contribuent à renforcer la tendance à la démission nationale.
Autant le reconnaître et le souligner la situation se présente sous les pires auspices. D’autant plus que rien ne semble susceptible de sortir les citoyens de cette léthargie dévirilisant. Le pouvoir zappe l’île comorienne de Maore de la Tournante comme si cela était naturel. Le pouvoir multiplie les provocations (un mois de ramadan plein sans électricité ni eau, du racket à Comores Télécom, interdiction des chèques bancaires de moins de 10 000 KMF, Handuli bradé et Vanambwani réprimé avec des élus emprisonnés pour avoir dénoncé un marché de dupes qui spolie le pays, etc.). Rien n’y fait.
Faut-il pour autant baisser les bras. Nous sommes quelques-uns à considérer qu’il faut tenter un sursaut national. Rassemblons-nous autour de revendications simples, qui ne mettent personne en danger pour espérer des élections les plus fructueuses possible et qui puissent doter le pays de dirigeants un tant soit peu soucieux des intérêts du pays et des citoyens. Tel est le sens du mouvement citoyen NARILAMHE. Rejoignez-nous. N’est-ce pas la meilleure façon de se souhaiter IDI MBARAKA, UNONO, FURAHA, MESHA MEMA, MGU YAFUNGULIE YENTSI YAHATRU YEZILONA HERI.
Idriss 20/07/2015
CEUX D’EN-HAUT. C'est-à-dire les dirigeants. Ceux qui se succèdent à la tête de l’Etat depuis 40 ans. Pour eux rien ne doit changer. Ils ont fourbi leurs armes. Et aucune menace ne pèse sur eux. La multiplication des candidats folkloriques est une aubaine. Il discrédite les urnes, banalise la course au pouvoir pour le pouvoir et rend moins révoltant le vote clientéliste et la corruption.
CEUX D’EN-BAS. L’immense majorité des citoyens qui subissent. C’est le pessimisme qui domine. Personne ne croit aux élections et encore moins au personnel politique. L’absence d’une Organisation portant les revendications du pays contribuent à renforcer la tendance à la démission nationale.
Autant le reconnaître et le souligner la situation se présente sous les pires auspices. D’autant plus que rien ne semble susceptible de sortir les citoyens de cette léthargie dévirilisant. Le pouvoir zappe l’île comorienne de Maore de la Tournante comme si cela était naturel. Le pouvoir multiplie les provocations (un mois de ramadan plein sans électricité ni eau, du racket à Comores Télécom, interdiction des chèques bancaires de moins de 10 000 KMF, Handuli bradé et Vanambwani réprimé avec des élus emprisonnés pour avoir dénoncé un marché de dupes qui spolie le pays, etc.). Rien n’y fait.
Faut-il pour autant baisser les bras. Nous sommes quelques-uns à considérer qu’il faut tenter un sursaut national. Rassemblons-nous autour de revendications simples, qui ne mettent personne en danger pour espérer des élections les plus fructueuses possible et qui puissent doter le pays de dirigeants un tant soit peu soucieux des intérêts du pays et des citoyens. Tel est le sens du mouvement citoyen NARILAMHE. Rejoignez-nous. N’est-ce pas la meilleure façon de se souhaiter IDI MBARAKA, UNONO, FURAHA, MESHA MEMA, MGU YAFUNGULIE YENTSI YAHATRU YEZILONA HERI.
Idriss 20/07/2015