A 22 ans, Nourou Laithi Bacar Kassim poursuit des études de relations internationales et diplomatie en Tanzanie. Pour parfaire sa formation...
A 22 ans, Nourou Laithi Bacar Kassim poursuit des études de relations internationales et diplomatie en Tanzanie. Pour parfaire sa formation, elle aide à sa manière l'ambassade des Comores à Dar es Salam. Très active dans le monde associatif, elle travaille aussi avec une autre chancellerie étrangère dans la capitale tanzanienne. Entre études et stages pratiques, cet enfant de Moroni évoque son expérience dans ce pays anglophone.
Le choix de la diplomatie...
"J’ai choisi la diplomatie parce que depuis toute jeune, je m’intéressais beaucoup à ce qui se passait dans le monde. J’aime trop connaître l'actualité en dehors des Comores pour pouvoir aider mon pays à avancer comme les autres.
Une grande expérience...
"Je remercie Dieu parce que tous se passe à merveille. Malgré certains challenges à surmonter, je garde toujours la tête haute. Je me dis que tout ira bien. J’y arriverais. J'arrive à tenir car j'ai une grande expérience. Depuis les Comores, j'ai déjà milité dans plusieurs associations. Par exemple, j'ai été membre de Maj (Mouvement, Action des Jeunes), et Ascobef. Et depuis que je suis en Tanzanie pour mes études de relations internationales et diplomatie, je suis membre d’une très grande association nommée YUNA (Youth of United Nation Association). Je fais partie de la commission de la diaspora et des étudiants comoriens en Tanzanie (Dar es Salam). En suite, j’ai été assistante temporaire bénévole de l’ambassadeur de l’Union des Comores à Dar es salam. En même temps, je travaillais à l’ambassade de la république du Yémen en Tanzanie dans le secteur des visas tout en étant assistante du consul yéménite.
Toutes ces responsabilités constituent un vrai défi mais je tiens le coup grâce au soutien et conseils de certains diplomates, professeurs et surtout mon père Laithi Bacar Kassim.
Mon objectif est d'aider mon pays à se développer. Je me pose toujours cette question : pourquoi les autres pays et pourquoi pas les Comores? Du coup, je suis prête à travailler même gratuitement et fortement pour mon pays. Je suis prête à tout donner et à tout sacrifier pour mon pays. Car si mon pays va bien tous les citoyens comoriens irons bien et personne ne fuira nos origines et notre pays."
Propos recueillis par Salwa Mag
Le choix de la diplomatie...
"J’ai choisi la diplomatie parce que depuis toute jeune, je m’intéressais beaucoup à ce qui se passait dans le monde. J’aime trop connaître l'actualité en dehors des Comores pour pouvoir aider mon pays à avancer comme les autres.
Une grande expérience...
"Je remercie Dieu parce que tous se passe à merveille. Malgré certains challenges à surmonter, je garde toujours la tête haute. Je me dis que tout ira bien. J’y arriverais. J'arrive à tenir car j'ai une grande expérience. Depuis les Comores, j'ai déjà milité dans plusieurs associations. Par exemple, j'ai été membre de Maj (Mouvement, Action des Jeunes), et Ascobef. Et depuis que je suis en Tanzanie pour mes études de relations internationales et diplomatie, je suis membre d’une très grande association nommée YUNA (Youth of United Nation Association). Je fais partie de la commission de la diaspora et des étudiants comoriens en Tanzanie (Dar es Salam). En suite, j’ai été assistante temporaire bénévole de l’ambassadeur de l’Union des Comores à Dar es salam. En même temps, je travaillais à l’ambassade de la république du Yémen en Tanzanie dans le secteur des visas tout en étant assistante du consul yéménite.
Toutes ces responsabilités constituent un vrai défi mais je tiens le coup grâce au soutien et conseils de certains diplomates, professeurs et surtout mon père Laithi Bacar Kassim.
Mon objectif est d'aider mon pays à se développer. Je me pose toujours cette question : pourquoi les autres pays et pourquoi pas les Comores? Du coup, je suis prête à travailler même gratuitement et fortement pour mon pays. Je suis prête à tout donner et à tout sacrifier pour mon pays. Car si mon pays va bien tous les citoyens comoriens irons bien et personne ne fuira nos origines et notre pays."
Propos recueillis par Salwa Mag