Huit sachets de cannabis ont étés saisis par le service anti-drogue de la police nationale. L'opération a été menée samedi dernier à Mor...
Huit sachets de cannabis ont étés saisis par le service anti-drogue de la police nationale. L'opération a été menée samedi dernier à Moroni-Corniche.
Du cannabis d'une valeur estimée entre 1 200 000 et 1 600 000 Kmf (estimation police nationale) saisie par le service antidrogue. Au total, huit sachets sont dans les mains de la police. A la question de savoir le nombre de kilos de cette drogue la plus consommée aux Comores, le commandant n'a pas voulu y piper mot. Mais suite à des petits calculs auxquels nous nous sommes livrés, sachant que le prix du kilo est entre 75 000 et 100 000Kmf au pays, nous estimons le poids à entre 12 et 16 kilogrammes.
Beaucoup de supputations laissent croire que la police a l'habitude de vendre des produits pareils. « L'annoncer publiquement n'est que tape-à-l'œil, mais la réalité, ils vont le revendre », confie un officier de police, qui se dit indigné.
En tout cas, à en croire le commandant Allaoui, la drogue sera remis à la justice et le reste ne regarde pas la police.
Par Toufé Maecha, quotidien Al-fajr
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Du cannabis d'une valeur estimée entre 1 200 000 et 1 600 000 Kmf (estimation police nationale) saisie par le service antidrogue. Au total, huit sachets sont dans les mains de la police. A la question de savoir le nombre de kilos de cette drogue la plus consommée aux Comores, le commandant n'a pas voulu y piper mot. Mais suite à des petits calculs auxquels nous nous sommes livrés, sachant que le prix du kilo est entre 75 000 et 100 000Kmf au pays, nous estimons le poids à entre 12 et 16 kilogrammes.
Beaucoup de supputations laissent croire que la police a l'habitude de vendre des produits pareils. « L'annoncer publiquement n'est que tape-à-l'œil, mais la réalité, ils vont le revendre », confie un officier de police, qui se dit indigné.
En tout cas, à en croire le commandant Allaoui, la drogue sera remis à la justice et le reste ne regarde pas la police.
Par Toufé Maecha, quotidien Al-fajr
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