Les nouveaux outils de communications véhiculent de nos jours des rumeurs, des mensonges et des ragots fabriqués de toutes pièces pour la s...
Les nouveaux outils de communications véhiculent de nos jours des rumeurs, des mensonges et des ragots fabriqués de toutes pièces pour la seule volonté de nuire à autrui.
Mais ce fléau prend des proportions incommensurables pour un pays comme les Comores où le droit connait des trous en ce qui concerne les nouveaux espaces d'expression.Ce sont les personnalités publiques qui sont les plus visées et dès que l'information est mise sur les rails les langues se déchaînent sans aucune retenue.
Compte tenu de la vitesse grand V avec laquelle les informations défilent sur les pages et les profils , la probabilité pour qu'une rumeur tueuse soit démentie est quasiment nulle et le mal aura été fait de façon irréversible.
Pas plus que la semaine dernière, un internaute avait publié une fausse information mettant en danger une institution et le pays,probablement pour sensation, et les réactions négatives ne se sont pas fait attendre.L'auteur par prudence a préféré retirer le post pour éviter d’éventuels ennuis judiciaires.
De même, après avoir publié un communiqué officiel, une personnalité politique se sentant menacée politiquement est revenue sans sourciller sur le contenu de la déclaration qu'il a lui même publiée sur le Web comme si de rien n'était.
Les internautes s'en sont donné à cœur joie pour attaquer dans une cacophonie totale, magistrats, avocats, politiques, oulémas jusqu'à ce qu'on découvre que cela fut pure machination.
De grâce, Monsieur le Garde des sceaux, faîtes voter une loi sur le droit électronique pour prévenir les responsabilités civiles et pénales et empêcher que cette "masturbation informative" ne devienne une auto-destruction.
Mais ce fléau prend des proportions incommensurables pour un pays comme les Comores où le droit connait des trous en ce qui concerne les nouveaux espaces d'expression.Ce sont les personnalités publiques qui sont les plus visées et dès que l'information est mise sur les rails les langues se déchaînent sans aucune retenue.
Compte tenu de la vitesse grand V avec laquelle les informations défilent sur les pages et les profils , la probabilité pour qu'une rumeur tueuse soit démentie est quasiment nulle et le mal aura été fait de façon irréversible.
Pas plus que la semaine dernière, un internaute avait publié une fausse information mettant en danger une institution et le pays,probablement pour sensation, et les réactions négatives ne se sont pas fait attendre.L'auteur par prudence a préféré retirer le post pour éviter d’éventuels ennuis judiciaires.
De même, après avoir publié un communiqué officiel, une personnalité politique se sentant menacée politiquement est revenue sans sourciller sur le contenu de la déclaration qu'il a lui même publiée sur le Web comme si de rien n'était.
Tiens! je voulais aussi relater la mésaventure de cette pauvre victime accusée de viol sans preuve apparente et qui a failli perdre sa vie.
Les internautes s'en sont donné à cœur joie pour attaquer dans une cacophonie totale, magistrats, avocats, politiques, oulémas jusqu'à ce qu'on découvre que cela fut pure machination.
De grâce, Monsieur le Garde des sceaux, faîtes voter une loi sur le droit électronique pour prévenir les responsabilités civiles et pénales et empêcher que cette "masturbation informative" ne devienne une auto-destruction.
Par Djounaid Djoubeir