« Ce qu'il faut surtout pour la paix, c'est la compréhension des peuples. Les régimes nous savons ce que c'est : des choses qui ...
« Ce qu'il faut surtout pour la paix, c'est la compréhension des peuples. Les régimes nous savons ce que c'est : des choses qui passent. Mais les peuples ne passent pas. »
Général Charles de Gaulle ancien Président de la république Française. , dans son discours de Dunkerque de Septembre 1959.
Après quarante ans d'indépendance, incomplète dû à l'occupation de la France d'une partie de notre territoire, Mayotte, et l'usage d'une monnaie coloniale, les Comores sont toujours au fond du tunnel de sous-développement total tant au point de vue, économique, de la santé, de l'éducation, des infrastructures (routières et étatiques) et de l'électricité.
L'Etat peine à se construire et à s'assumer. Cependant les Comoriens voient des élections qui défilent et qui coûtent cher sans apporter un plus à leurs quotidiens et ne leur donnent pas de l'espoir pour l'avenir. On peut toujours avoir de l'argent pour organiser des mascarades des élections et non pour construire un système énergétique fiable, faire des routes, et créer des emplois ? Les Comoriens finissent par se poser la question du rôle de l'Etat et de ces élections qui sacralisent les mêmes.
Depuis cette indépendance à minima, notre peuple n'a jamais connu le rôle fondamental de l'Etat et surtout de ses hommes et femmes politiques.
Nos dirigeants d'hier et d'aujourd'hui ce sont contentés de la facilités de la collaboration avec l'ancien colonisateur malgré tous les obstacles évidents qu'il continue à nous mettre pour la survie de notre pays. Il est certes, facile d'attendre des autres, de tendre la main et laisser les autres s'occuper de tout, de la défense, de la monnaie, de l'intégrité territoriale. Mais cette facilité d'exercice ne rime pas avec notre vision de gestion d'un Etat indépendant et souverain.
L'indépendance et la souveraineté ne se négocient pas et ne se délèguent pas. Les Comoriens doivent être conscients et bien informé qu'aucun pays au monde ne s'est développé sur la base de la mendicité, de l'assistanat et de l'indépendance à minima.
Les Comoriens méritent d'être alerter que ceux qui nous ont amenée à cette situation catastrophique, surtout ceux dix-sept derniers années, pas d'eau, pas d'électricités, pas de travail, pas de justice et surtout pas de vie, ne pourront jamais nous en faire sortir. Dans le cas contraire, on l'aura su et le pays ne sera pas là aujourd'hui. Nous sommes convaincus qu'on peut vivre d'une manière indépendant en ayant notre propre monnaie, notre défense nationale, notre justice et piloter nous-même, notre développement économique.
Ceci ne sera ni un miracle, ni une révolution mais juste notre volonté de s'assumer et de se débarrasser de toute forme d'assistanat, de la mendicité et du néocolonialisme et de ceux qui le représentent et défendent ses intérêts au sein de notre nation. Il nous faut aussi des reformes qui instaureront un Etat viable et près du peuple avec une gestion cohérente des ressources humaines et financières.
Comme modèle, il suffit de voir près de chez nous moins de 1000km de nos eaux territoires maritimes, l'île Maurice qui l'a fait avec beaucoup de courage en assumant tous de son indépendance et de sa souveraineté nationale.
Les Comoriens veulent du changement dans leur vie quotidienne
Les Comoriens ont connu plusieurs élections dont la plupart n'ont pas tenu compte de leurs volontés mais basés sur des trucages pour maintenir une élite corrompu et au merci de l'ancien colonisateur. Les élections de 2016, constituent le deuxième départ d'un cycle de la tournante.
Il y attire beaucoup des candidats pour prétendre de diriger le destin de notre jeune nation. Les Comoriens, en trois changements de tête au sommet de l'Etat n'ont pas vu l'amélioration de leur quotidien. La dégradation de la justice s'amplifie, la corruption est l'unique moyen de survie et d'accession aux pouvoirs. La priorité des Comoriens n'est pas d'organiser des élections pour cautionner les corrupteurs à corrompre mais pour améliorer leurs vies quotidiennes.
Ils ne veulent pas se remettre à ceux qui ont détruits le pays hier et ou aujourd'hui pour leur donner un quitus ou légitimités de refaire ou perpétuer leurs crimes. Ils veulent avoir le droit élémentaire de choisir librement ceux qui doivent assumer leur destin pendant cinq ans d'une manière transparente et démocratique. Ceux-ci ne peuvent provenir que des plusieurs conditions parmi lesquels :
Un gouvernement d'union nationale
Les mascarades des élections législatives n'ont pas pu montrer une prédominance quelconque d'un parti politique, en dehors de ceux obtenus par la force de la corruption et de pression de l'armée et des armes.
Les gouvernements incapables d'offrir aux Comoriens les minimums vitales, à savoir la route, l'électricité, la santé, et l'éducation doivent disparaitre. Il nous faut un gouvernement d'union nationale, sous les coordinations des vice-présidents (sans portefeuilles ministérielles) qui comprendra toutes les forces vives nationales représenté à l'assemblée de l'union. Ce gouvernement aura au moins trois missions principales, faire une priorité nationale les quotidiens des Comoriens (l'électricité, l'eau et les routes), installer un tribunal spécial pour le détournement des deniers publiques, et afin de mener à bien, les élections de de 2016. Un gouvernement de moins d'un an pourra mettre en ordre une voie d'issue pour la misère de notre pays et redonner confiance au peuple et le faire participer aux élections.
Un Tribunal spécial pour détournement des deniers publics
« Rien n'unit aussi fort que la haine : ni l'amour, ni l'amitié, ni l'admiration » a écrit Anton Tchekhov, écrivain Russe/ Calepin.
Les Comoriens sont confus dans leur vision des hommes et femmes politiques. Ils ne savent plus qui ont vraiment à détourné les deniers publics aux profits de lui-même, ou de sa famille ou de son parti politique. C'est un phénomène qui existe depuis la naissance de la République et même avant l'indépendance. Mais peut –on savoir réellement qui sont les coupables et les innocents. Avant que le peuple se révolte, s'attaque à tout ce qui brille, le devoir de l'Etat et de ses dirigeants est d'agir vite et faire la justice au risque d'avoir celle de la rue. Ceux dix-sept derniers années, il y a eu beaucoup d'argent publique volatilisé.
On nous parle de 40millions d'euros et d'autres pendant le règne du colonel Azali Assoumani. On a vu des hommes politiques arrêtés pour détournements des deniers publiques au début de règne de Sambi dont certains sont libérés sans aucun condamnation ou purger leur peines. Pendant les règnes de Sambi, également, on nous parle de l'argent de projet habitat volatilisé, des passeports vendu à nos insu et d'autres. Nous n'en parlons pas de l'argent de la douane qui a constitué des armes de conquête de pouvoir pour certains. La liste est longue et l'urgence est de rigueur pour mettre de l'ordre dans notre jeune nation. C'est pourquoi, nous appelons à la sagesse du Président Dr Ikililou Dhoinine, d'agir vite pour sauver la nation et de faire une élection paisible. C'est en unissant la force vive nationale qu'il peut espérer passer le flambons d'une manière sereine et non avec des invectives et des menaces.
Said Ahmed Said Abdillah, Président du Parti Comores Alternatives (P.C.A), Candidat aux élections présidentielles de l'Union des Comores en 2016
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Général Charles de Gaulle ancien Président de la république Française. , dans son discours de Dunkerque de Septembre 1959.
Après quarante ans d'indépendance, incomplète dû à l'occupation de la France d'une partie de notre territoire, Mayotte, et l'usage d'une monnaie coloniale, les Comores sont toujours au fond du tunnel de sous-développement total tant au point de vue, économique, de la santé, de l'éducation, des infrastructures (routières et étatiques) et de l'électricité.
L'Etat peine à se construire et à s'assumer. Cependant les Comoriens voient des élections qui défilent et qui coûtent cher sans apporter un plus à leurs quotidiens et ne leur donnent pas de l'espoir pour l'avenir. On peut toujours avoir de l'argent pour organiser des mascarades des élections et non pour construire un système énergétique fiable, faire des routes, et créer des emplois ? Les Comoriens finissent par se poser la question du rôle de l'Etat et de ces élections qui sacralisent les mêmes.
Depuis cette indépendance à minima, notre peuple n'a jamais connu le rôle fondamental de l'Etat et surtout de ses hommes et femmes politiques.
Nos dirigeants d'hier et d'aujourd'hui ce sont contentés de la facilités de la collaboration avec l'ancien colonisateur malgré tous les obstacles évidents qu'il continue à nous mettre pour la survie de notre pays. Il est certes, facile d'attendre des autres, de tendre la main et laisser les autres s'occuper de tout, de la défense, de la monnaie, de l'intégrité territoriale. Mais cette facilité d'exercice ne rime pas avec notre vision de gestion d'un Etat indépendant et souverain.
L'indépendance et la souveraineté ne se négocient pas et ne se délèguent pas. Les Comoriens doivent être conscients et bien informé qu'aucun pays au monde ne s'est développé sur la base de la mendicité, de l'assistanat et de l'indépendance à minima.
Les Comoriens méritent d'être alerter que ceux qui nous ont amenée à cette situation catastrophique, surtout ceux dix-sept derniers années, pas d'eau, pas d'électricités, pas de travail, pas de justice et surtout pas de vie, ne pourront jamais nous en faire sortir. Dans le cas contraire, on l'aura su et le pays ne sera pas là aujourd'hui. Nous sommes convaincus qu'on peut vivre d'une manière indépendant en ayant notre propre monnaie, notre défense nationale, notre justice et piloter nous-même, notre développement économique.
Ceci ne sera ni un miracle, ni une révolution mais juste notre volonté de s'assumer et de se débarrasser de toute forme d'assistanat, de la mendicité et du néocolonialisme et de ceux qui le représentent et défendent ses intérêts au sein de notre nation. Il nous faut aussi des reformes qui instaureront un Etat viable et près du peuple avec une gestion cohérente des ressources humaines et financières.
Comme modèle, il suffit de voir près de chez nous moins de 1000km de nos eaux territoires maritimes, l'île Maurice qui l'a fait avec beaucoup de courage en assumant tous de son indépendance et de sa souveraineté nationale.
Les Comoriens veulent du changement dans leur vie quotidienne
Les Comoriens ont connu plusieurs élections dont la plupart n'ont pas tenu compte de leurs volontés mais basés sur des trucages pour maintenir une élite corrompu et au merci de l'ancien colonisateur. Les élections de 2016, constituent le deuxième départ d'un cycle de la tournante.
Il y attire beaucoup des candidats pour prétendre de diriger le destin de notre jeune nation. Les Comoriens, en trois changements de tête au sommet de l'Etat n'ont pas vu l'amélioration de leur quotidien. La dégradation de la justice s'amplifie, la corruption est l'unique moyen de survie et d'accession aux pouvoirs. La priorité des Comoriens n'est pas d'organiser des élections pour cautionner les corrupteurs à corrompre mais pour améliorer leurs vies quotidiennes.
Ils ne veulent pas se remettre à ceux qui ont détruits le pays hier et ou aujourd'hui pour leur donner un quitus ou légitimités de refaire ou perpétuer leurs crimes. Ils veulent avoir le droit élémentaire de choisir librement ceux qui doivent assumer leur destin pendant cinq ans d'une manière transparente et démocratique. Ceux-ci ne peuvent provenir que des plusieurs conditions parmi lesquels :
Un gouvernement d'union nationale
Les mascarades des élections législatives n'ont pas pu montrer une prédominance quelconque d'un parti politique, en dehors de ceux obtenus par la force de la corruption et de pression de l'armée et des armes.
Les gouvernements incapables d'offrir aux Comoriens les minimums vitales, à savoir la route, l'électricité, la santé, et l'éducation doivent disparaitre. Il nous faut un gouvernement d'union nationale, sous les coordinations des vice-présidents (sans portefeuilles ministérielles) qui comprendra toutes les forces vives nationales représenté à l'assemblée de l'union. Ce gouvernement aura au moins trois missions principales, faire une priorité nationale les quotidiens des Comoriens (l'électricité, l'eau et les routes), installer un tribunal spécial pour le détournement des deniers publiques, et afin de mener à bien, les élections de de 2016. Un gouvernement de moins d'un an pourra mettre en ordre une voie d'issue pour la misère de notre pays et redonner confiance au peuple et le faire participer aux élections.
Un Tribunal spécial pour détournement des deniers publics
« Rien n'unit aussi fort que la haine : ni l'amour, ni l'amitié, ni l'admiration » a écrit Anton Tchekhov, écrivain Russe/ Calepin.
Les Comoriens sont confus dans leur vision des hommes et femmes politiques. Ils ne savent plus qui ont vraiment à détourné les deniers publics aux profits de lui-même, ou de sa famille ou de son parti politique. C'est un phénomène qui existe depuis la naissance de la République et même avant l'indépendance. Mais peut –on savoir réellement qui sont les coupables et les innocents. Avant que le peuple se révolte, s'attaque à tout ce qui brille, le devoir de l'Etat et de ses dirigeants est d'agir vite et faire la justice au risque d'avoir celle de la rue. Ceux dix-sept derniers années, il y a eu beaucoup d'argent publique volatilisé.
On nous parle de 40millions d'euros et d'autres pendant le règne du colonel Azali Assoumani. On a vu des hommes politiques arrêtés pour détournements des deniers publiques au début de règne de Sambi dont certains sont libérés sans aucun condamnation ou purger leur peines. Pendant les règnes de Sambi, également, on nous parle de l'argent de projet habitat volatilisé, des passeports vendu à nos insu et d'autres. Nous n'en parlons pas de l'argent de la douane qui a constitué des armes de conquête de pouvoir pour certains. La liste est longue et l'urgence est de rigueur pour mettre de l'ordre dans notre jeune nation. C'est pourquoi, nous appelons à la sagesse du Président Dr Ikililou Dhoinine, d'agir vite pour sauver la nation et de faire une élection paisible. C'est en unissant la force vive nationale qu'il peut espérer passer le flambons d'une manière sereine et non avec des invectives et des menaces.
Said Ahmed Said Abdillah, Président du Parti Comores Alternatives (P.C.A), Candidat aux élections présidentielles de l'Union des Comores en 2016
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