MONSIEUR LE PRÉSIDENT: VOUS TUEZ CE PAYS! Ce n'est pas de la politique politicienne, Monsieur le Président, mais d'une triste réa...
MONSIEUR LE PRÉSIDENT: VOUS TUEZ CE PAYS!
Ce n'est pas de la politique politicienne, Monsieur le Président, mais d'une triste réalité. Vous tuez ce pays en vous réfugiant sur la fatalité d'un problème vieux depuis DJOHAR. Je sais qu'il aurait suffit d'une gestion transparente et des réformes respectant une déontologie, une réduction sensible des largesses accordées à des personnalités en matière de consommation pour désengorger Mamwé.
Je ne suis pas économiste mais je crois que vous êtes mieux placé que moi pour savoir le ravage d'une panne d'électricité dans une pharmacie et tout se qui est en relation avec la sécurité alimentaire.
Je parlerai moins de l'administration car en ce qui la concerne, les fonctionnaires et surtout ceux de la superstructure ne font rien et ne sollicitent en rien les ordinateurs. Les moments où l'on voudra récupérer les sous à la trésorerie, on mettre en marche un groupe électrogène; ça prend pas beaucoup de temps et c'est pratique.
C'est dans le noir que se passent les sales besognes. Mais dans tout cela c'est l'image de la République ou de ce qui reste de la République qui en pâtit. Il vous serait suffisant comme bilan si au bout des cinq ans de présidence, vous n'avez régler que le problème de l'énergie uniquement, ne serait ce que dans la petite île de Djoumbé Fatima.
On nous chante des gisements importants de pétrole découverts par le mollah Sambi dont vous avez lancé des fortunes de l'Etat pour des soi-disant études. Dites à ces investisseurs de d'appuyer l'électricité, sans quoi rien n'est possible économiquement.
A une trimestre de la fin du film d'horreur, il est possible de rêver!
Par BEN ALI
Photo. Credit. La rédaction
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Ce n'est pas de la politique politicienne, Monsieur le Président, mais d'une triste réalité. Vous tuez ce pays en vous réfugiant sur la fatalité d'un problème vieux depuis DJOHAR. Je sais qu'il aurait suffit d'une gestion transparente et des réformes respectant une déontologie, une réduction sensible des largesses accordées à des personnalités en matière de consommation pour désengorger Mamwé.
Je ne suis pas économiste mais je crois que vous êtes mieux placé que moi pour savoir le ravage d'une panne d'électricité dans une pharmacie et tout se qui est en relation avec la sécurité alimentaire.
Je parlerai moins de l'administration car en ce qui la concerne, les fonctionnaires et surtout ceux de la superstructure ne font rien et ne sollicitent en rien les ordinateurs. Les moments où l'on voudra récupérer les sous à la trésorerie, on mettre en marche un groupe électrogène; ça prend pas beaucoup de temps et c'est pratique.
C'est dans le noir que se passent les sales besognes. Mais dans tout cela c'est l'image de la République ou de ce qui reste de la République qui en pâtit. Il vous serait suffisant comme bilan si au bout des cinq ans de présidence, vous n'avez régler que le problème de l'énergie uniquement, ne serait ce que dans la petite île de Djoumbé Fatima.
On nous chante des gisements importants de pétrole découverts par le mollah Sambi dont vous avez lancé des fortunes de l'Etat pour des soi-disant études. Dites à ces investisseurs de d'appuyer l'électricité, sans quoi rien n'est possible économiquement.
A une trimestre de la fin du film d'horreur, il est possible de rêver!
Par BEN ALI
Photo. Credit. La rédaction
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