Chers Compatriotes, chers Amis, J'entends par ici et par là que le peuple comorien souhaite le moins mauvais des anciens présidents. Je...
Chers Compatriotes, chers Amis,
J'entends par ici et par là que le peuple comorien souhaite le moins mauvais des anciens présidents. Je ne partage pas cette assertion. Au contraire, je dis que le peuple comorien mérite d'avoir le meilleur des candidats aux présidentielles et surtout le meilleur des président. Il n'y a pas de fatalité. Des femmes et des hommes existent pour apporter à notre pays le meilleur d'eux-mêmes. Tirons les leçons du passé. Analysons les actions passées, mettons en balance la crédibilité des projets et des projets de société et surtout restons vigilants quant aux respects des promesses électorales.
Demandons-nous comment les candidats comptent financer leurs promesses électorales. Et ne nous enfermons pas dans le passé. Tournons nous vers l'avenir en recherchant les meilleurs gouvernants pour notre pays et non en nous contentant des moins mauvais...
La situation de notre pays est tellement grave que les moins mauvais ne feront qu'empirer les choses. Prenons du recul et de la hauteur.
Il ne suffira pas cette fois de faire des promesses électorales démagogiques pour résoudre les préoccupations quotidiens de la population qui souffre tant. Saisissons ce mois béni de ramadan pour méditer et partir sur des résolutions viables, crédibles et efficaces. Des pistes et des solutions existent. Mais il n'existe pas de solutions miracle. Les gouvernants, la population, les intellectuels, la société civile, les opérateurs économiques devront tous faire des efforts pour redresser notre pays. Il n'y a pas de baguette magique.
Cela commence par un effort sur nous-mêmes. Celle ou celui qui vous dira qu'elle ou il résoudra vos problèmes quotidiens avec une baguette magique ou des incantations religieuses sans des actions et programmes crédibles tel un Messie se ment à elle-même ou lui-même et ment au peuple de façon éhontée et abjecte.
Le peuple comorien mérite ce qu'il y a de meilleur. Il n'est plus question de se contenter du minimum. Cherchons le meilleur pour le pays.
Par Darchari Mikidache, président du think tank "CEEC"
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
J'entends par ici et par là que le peuple comorien souhaite le moins mauvais des anciens présidents. Je ne partage pas cette assertion. Au contraire, je dis que le peuple comorien mérite d'avoir le meilleur des candidats aux présidentielles et surtout le meilleur des président. Il n'y a pas de fatalité. Des femmes et des hommes existent pour apporter à notre pays le meilleur d'eux-mêmes. Tirons les leçons du passé. Analysons les actions passées, mettons en balance la crédibilité des projets et des projets de société et surtout restons vigilants quant aux respects des promesses électorales.
Demandons-nous comment les candidats comptent financer leurs promesses électorales. Et ne nous enfermons pas dans le passé. Tournons nous vers l'avenir en recherchant les meilleurs gouvernants pour notre pays et non en nous contentant des moins mauvais...
La situation de notre pays est tellement grave que les moins mauvais ne feront qu'empirer les choses. Prenons du recul et de la hauteur.
Il ne suffira pas cette fois de faire des promesses électorales démagogiques pour résoudre les préoccupations quotidiens de la population qui souffre tant. Saisissons ce mois béni de ramadan pour méditer et partir sur des résolutions viables, crédibles et efficaces. Des pistes et des solutions existent. Mais il n'existe pas de solutions miracle. Les gouvernants, la population, les intellectuels, la société civile, les opérateurs économiques devront tous faire des efforts pour redresser notre pays. Il n'y a pas de baguette magique.
Cela commence par un effort sur nous-mêmes. Celle ou celui qui vous dira qu'elle ou il résoudra vos problèmes quotidiens avec une baguette magique ou des incantations religieuses sans des actions et programmes crédibles tel un Messie se ment à elle-même ou lui-même et ment au peuple de façon éhontée et abjecte.
Le peuple comorien mérite ce qu'il y a de meilleur. Il n'est plus question de se contenter du minimum. Cherchons le meilleur pour le pays.
Par Darchari Mikidache, président du think tank "CEEC"
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