Un triple attentat meurtrier a été perpétré, le 15 juin 2015, pour la première fois au Tchad, dans sa capitale N'Djamena, ciblant le ...
Un triple attentat meurtrier a été perpétré, le 15 juin 2015, pour la première fois au Tchad, dans sa capitale N'Djamena, ciblant le Commissariat Central, l'Ecole de Police et un site au quartier Farcha.
Ces attentats sont l'oeuvre de kamikazes appartenant à l'organisation terroriste nigériane Boko Haram ; une organisation active au Nord du Nigéria et qui menace le Cameroun, la République Centrafricaine et d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest.
Ce triple attentat en plein coeur du Tchad interpelle quant à une possible connexion dans un très proche avenir entre Boko Haram et DAESH, organisation très active en Algérie et en Libye, pays frontalier avec le Tchad.
Une connexion qui sera, sans nul doute, renforcée par celle des Shebab somaliens, organisation terroriste qui opère en Afrique de l'Est, tout particulièrement en Somalie et au Kenya, mais aussi par AQMI et les bandes criminelles et les trafiquants qui opèrent en toute liberté dans le Sud Algérien avec pour QG Rabouni, fief de l'autre organisation terroriste qu'est le polisario.
Un scénario, qui, s'il se réalise, verrait tomber sous la coupe des terroristes la Libye, la Tunisie, le Tchad, le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d'Ivoire ; l'Algérie étant déjà infestée de terroristes.
Une éventualité qui menacerait également le Moyen-Orient, l'Egypte et le Soudan qui sont déjà des cibles, mais aussi toute l'Europe Occidentale et Orientale.
Aussi, est -il urgent que les pays menacés se réunissent pour définir une politique commune à l'encontre de ces organisations terroristes qui menacent la paix mondiale, la sécurité des populations et qui prônent une idéologie religieuse qui ne correspond en aucune manière aux fondamentaux de l'Islam, une religion de tolérance et de respect de l'autre, telle que pratiquée et enseignée au Maroc.
L'Algérie se doit d'admettre qu'elle a une responsabilité internationale dans la profusion des groupes terroristes et criminels sur son territoire qui ont commis des crimes barbares contre l'humanité et détruit des sites inscrits comme patrimoines de l'Humanité et des écrits d'une valeur historique inestimable, notamment à Tombouctou (Mali).
Ce triple attentat perpétré à N'Djamena, d'une horreur sans précédent, doit inciter la communauté internationale à rappeler à l'ordre les responsables algériens pour qu'ils nettoient leur territoire, devenu base arrière des groupes terroristes et organisations criminelles transnationales.
Un message que devrait passer le Président français, vu qu'il arrive à Alger et que son pays est impliqué au Mali, au Tchad, en République Centrafricaine, au Niger et en Libye, avec en toile de fond la liaison incestueuse entre Boko Haram, DAESH, Shebab, AQMI et le polisario.
Farid Mnebhi.
Ces attentats sont l'oeuvre de kamikazes appartenant à l'organisation terroriste nigériane Boko Haram ; une organisation active au Nord du Nigéria et qui menace le Cameroun, la République Centrafricaine et d'autres pays de l'Afrique de l'Ouest.
Ce triple attentat en plein coeur du Tchad interpelle quant à une possible connexion dans un très proche avenir entre Boko Haram et DAESH, organisation très active en Algérie et en Libye, pays frontalier avec le Tchad.
Une connexion qui sera, sans nul doute, renforcée par celle des Shebab somaliens, organisation terroriste qui opère en Afrique de l'Est, tout particulièrement en Somalie et au Kenya, mais aussi par AQMI et les bandes criminelles et les trafiquants qui opèrent en toute liberté dans le Sud Algérien avec pour QG Rabouni, fief de l'autre organisation terroriste qu'est le polisario.
Un scénario, qui, s'il se réalise, verrait tomber sous la coupe des terroristes la Libye, la Tunisie, le Tchad, le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d'Ivoire ; l'Algérie étant déjà infestée de terroristes.
Une éventualité qui menacerait également le Moyen-Orient, l'Egypte et le Soudan qui sont déjà des cibles, mais aussi toute l'Europe Occidentale et Orientale.
Aussi, est -il urgent que les pays menacés se réunissent pour définir une politique commune à l'encontre de ces organisations terroristes qui menacent la paix mondiale, la sécurité des populations et qui prônent une idéologie religieuse qui ne correspond en aucune manière aux fondamentaux de l'Islam, une religion de tolérance et de respect de l'autre, telle que pratiquée et enseignée au Maroc.
L'Algérie se doit d'admettre qu'elle a une responsabilité internationale dans la profusion des groupes terroristes et criminels sur son territoire qui ont commis des crimes barbares contre l'humanité et détruit des sites inscrits comme patrimoines de l'Humanité et des écrits d'une valeur historique inestimable, notamment à Tombouctou (Mali).
Ce triple attentat perpétré à N'Djamena, d'une horreur sans précédent, doit inciter la communauté internationale à rappeler à l'ordre les responsables algériens pour qu'ils nettoient leur territoire, devenu base arrière des groupes terroristes et organisations criminelles transnationales.
Un message que devrait passer le Président français, vu qu'il arrive à Alger et que son pays est impliqué au Mali, au Tchad, en République Centrafricaine, au Niger et en Libye, avec en toile de fond la liaison incestueuse entre Boko Haram, DAESH, Shebab, AQMI et le polisario.
Farid Mnebhi.
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