Saïd Larifou a-t-il vu la lumière céleste de « Laylatoul Kadri» ou «Nuit du Destin» en se réveillant avec Ahmed Sambi comme son désormais pr...
Saïd Larifou a-t-il vu la lumière céleste de «Laylatoul Kadri» ou «Nuit du Destin» en se réveillant avec Ahmed Sambi comme son désormais protecteur, ou l'inverse? Voyons!
«Lemohelien.com: Il est candidat au poste de Président de la République en 2016. Vous en pensez quoi, vous?
Maître Saïd Larifou:Il dit ça pour faire parler de lui, comme il est allé en Afrique du Sud, aux obsèques de Nelson Mandela, pour s'afficher auprès des grands de ce monde et essayer d'en tirer un profit politique. Il se sert donc de la mort et du deuil, sans vergogne. À l'étranger, il dit qu'il est toujours le Président des Comores. Ahmed Sambi est malade. Il n'est pas bien. C'est un châtiment de Dieu. Dire qu'il avait laissé dans les caisses de l'État 11 milliards de francs comoriens avant de quitter le pouvoir le 26 mai 2011, tout en se taisant sur un détournement de 200 millions de dollars, est un acte très grave. Il y a un problème Ahmed Sambi. Sa candidature en 2016 ne me fait pas peur. En 2010, il nous a volé notre victoire, et le reconnaît aujourd'hui. Aucun Comorien ayant des convictions n'a peur de lui. Au deuxième tour de l'élection présidentielle de 2006, j'ai contribué à sa victoire, et en 2010, j'ai contribué à sa chute, quand les Comoriens l'ont poussé par les fesses. Il m'a fait battre à mort à l'Aéroport de Hahaya, alors que je me rendais à Mohéli pour continuer à préparer sa chute peu glorieuse. Ses forces de répression étaient à deux doigts de me tuer. C'était une scène horrible et traumatisante. Compte tenu de sa posture psychologique, il faut l'ignorer. Il nous faut juste une vraie vision pour les Comores.
Propos recueillis par ARM le samedi 14 décembre 2013».
Mrimdu
Ahmed Sambi et Saïd Larifou se disent en privé: «Il faut bien que nous vivions malgré notre chute», et Maître Saïd Larifou de rajouter: «Seigneur, Tu es celui qui pardonne, Tu aimes pardonner, alors pardonne-moi».
Ça peut être la prière que Maître Saïd Larifou a adressée au Seigneur
avant de rencontrer l'homme qu'il a appelé au cours d'une interview
qu'il avait accordée au Docteur ARM le samedi 14 décembre 2013, «l'homme malade Ahmed Sambi qui se sert de la mort et du deuil, sans vergogne pour essayer d'en tirer un profit politique».
Oui, c'est la prière du patron du parti RIDJA avant d'avoir la froideur
de s'allier avec le parti Juwa de l'homme au turban vert dont Saïd
Larifou dit avoir contribué à sa victoire en 2006, et à sa chute en
2010. Alors, pour cet homme qui a déjà contribué à la victoire et à la
défaite d'un homme, que lui reste-t-il comme contribution à cet homme?
La réponse est simple: l'immobilisme.
Autrement dit, en 2015, Saïd Larifou ne peut contribuer ni à la chute d'un Ahmed Sambi déjà en chute, ni à son triomphe impossible puisqu'il ne sera pas candidat en 2016. Le patron du parti RIDJA est un leader en chute libre, qui prolonge sa chute en s'alliant avec un autre leader en chute Ahmed Sambi. Comme disait l'autre «la chute de l'Empire romain est devenue inévitable lorsque le coût de l'esclavage est devenu supérieur au coût de production». La facture de l'ancien président Ahmed Sambi est trop salée et comme disait un vieux sage: «Quand un aigle tombe, qui peut savoir au fond de quel précipice il s'arrêtera?». Cela dit que la réputation étant une affaire délicate, cette nausée (l'union Juwa-Ridja), c'est aussi l'absurde de la personne de Saïd Larifou, leader de ce parti RIDJA, qui se faisait victime un samedi 14 décembre 2013 sur le site www.lemohelien.com du Docteur ARM en disant ceci, s'agissant d'Ahmed Sambi:
Autrement dit, en 2015, Saïd Larifou ne peut contribuer ni à la chute d'un Ahmed Sambi déjà en chute, ni à son triomphe impossible puisqu'il ne sera pas candidat en 2016. Le patron du parti RIDJA est un leader en chute libre, qui prolonge sa chute en s'alliant avec un autre leader en chute Ahmed Sambi. Comme disait l'autre «la chute de l'Empire romain est devenue inévitable lorsque le coût de l'esclavage est devenu supérieur au coût de production». La facture de l'ancien président Ahmed Sambi est trop salée et comme disait un vieux sage: «Quand un aigle tombe, qui peut savoir au fond de quel précipice il s'arrêtera?». Cela dit que la réputation étant une affaire délicate, cette nausée (l'union Juwa-Ridja), c'est aussi l'absurde de la personne de Saïd Larifou, leader de ce parti RIDJA, qui se faisait victime un samedi 14 décembre 2013 sur le site www.lemohelien.com du Docteur ARM en disant ceci, s'agissant d'Ahmed Sambi:
Maître Saïd Larifou:Il dit ça pour faire parler de lui, comme il est allé en Afrique du Sud, aux obsèques de Nelson Mandela, pour s'afficher auprès des grands de ce monde et essayer d'en tirer un profit politique. Il se sert donc de la mort et du deuil, sans vergogne. À l'étranger, il dit qu'il est toujours le Président des Comores. Ahmed Sambi est malade. Il n'est pas bien. C'est un châtiment de Dieu. Dire qu'il avait laissé dans les caisses de l'État 11 milliards de francs comoriens avant de quitter le pouvoir le 26 mai 2011, tout en se taisant sur un détournement de 200 millions de dollars, est un acte très grave. Il y a un problème Ahmed Sambi. Sa candidature en 2016 ne me fait pas peur. En 2010, il nous a volé notre victoire, et le reconnaît aujourd'hui. Aucun Comorien ayant des convictions n'a peur de lui. Au deuxième tour de l'élection présidentielle de 2006, j'ai contribué à sa victoire, et en 2010, j'ai contribué à sa chute, quand les Comoriens l'ont poussé par les fesses. Il m'a fait battre à mort à l'Aéroport de Hahaya, alors que je me rendais à Mohéli pour continuer à préparer sa chute peu glorieuse. Ses forces de répression étaient à deux doigts de me tuer. C'était une scène horrible et traumatisante. Compte tenu de sa posture psychologique, il faut l'ignorer. Il nous faut juste une vraie vision pour les Comores.
Propos recueillis par ARM le samedi 14 décembre 2013».
Mrimdu