Concurrence âpre dans la médiocrité sous les cocotiers ! Que vaut réellement l'expérience de ces hommes politiques comoriens? Je cr...
Concurrence âpre dans la médiocrité sous les cocotiers !
Que vaut réellement l'expérience de ces hommes politiques comoriens?
Je croyais tout avoir vu ces derniers mois avec les décrets loufoques, rejetés et renouvelés les uns après les autres, pourtant dictés au Président Ikililou Dhoinine hari par le compétent et expérimenté Directeur de Cabinet Hamada Madi Bolero.
Mais après avoir écouté le 3ème Bilan de son Excellence Ikililou Dhoinine bourré des chiffres erronés, certainement soufflés par l’incontournable et expérimenté Vice Président Mohamed Ali Soilihi, non sans somnoler de temps en temps, malgré les menaces ambiantes, je me relève pour vous évoquer d’autres bévues.
Néanmoins, pour calmer les valets et diffuseurs de menaces qui n’avalent pas qu’on dénonce les comportements et agissement éhontés de leur protégé, qu’il me soit accordé une phrase. Pour dire, oublions les chiffres qui ont nécessité quelques calculs car risquent d’endormir certains. Prenons les chiffres économique copiés et lus par notre Président hier. Ces chiffres ne sont que les données prévisionnelles du FMI d’octobre 2014, or en parlant de croissance économique mondiale 2014, il fallait prendre les chiffres définitifs qui se sont d’ailleurs avérés différents de prévisions, comme souvent avec le FMI diront les détracteurs.. Sha nazi mhundré, qu’il a incité à parler ? En 2013 il n’avait pas fait d’anniversaire ni prononcé un discours le 26 mai, hari c’était un « silence scientifique ». Ceux qui me jetteront à la figure, les infrastructures et autres réalisations de ces 9 derniers années, ma réponse est : qu'ils votent donc Athoumani en 2016, car lui aussi quand il mendie de l'argent il sait faire des choses. Passons, pas le temps de critiquer un bilan d’obscurité et d’impunité.
La réalité à laquelle renvoie ces bourdes est hélas devenu le tshayi de comoriens. On constate dans les différents assises et plans, des stratégies de développement économique et social inefficaces si ce n’est même purement et simplement le pilotage à vue et le bricolage qui en tiennent lieu. A ces inepties s'ajoutent, la corruption , l'incompétence qui favorisent toute une série d'affres et de flétrissures à commencer par une gestion patrimoniale des biens publics qui consiste, de la part de nos gouvernants, à les confondre trop souvent avec les biens de famille.
C’est donc au regard de toutes les légèretés et manquement susmentionnées de nos sois disant compétents, incontournables et expérimentés Mamadou et Bolero que je vous informe ou rappel la bourde de trop.
En lisant l’arrêté N° 15-019 du 17 Avril 2015, joint en image, On peut aisément affirmer que Mamadou et Bolero se font une concurrence âpre dans la médiocrité.
Il est stipulé:
Article2 : « l’Administration Générale des Impôts et des Domaines est chargée de l’application du présent arrêté qui sera enregistré, publié au journal officiel de l’Union des Comores et communiqué partout où besoin sera »
Pourtant le fameux AGID n’a pas d’existence réelle. Ni de fait ni dans la loi fiscale du pays, hormis dans certains entête administratif, puisque c’est un énième machin faisant le lot des ces incongruités qui empêchent aujourd’hui d’accomplir des pas tangibles, réellement significatifs, dans la nécessaire lutte contre la pauvreté.
Autant dire, que cet arrêté n’est pas opposable aux gens des Domaines légalement. C’est donc du pain béni pour le puissant Adolphe qui avait toujours refusé de mettre en applications les décrets qui imposaient les 10 000 F au lieu de 12% du terrain à enregistrer.
« Ngamina zidnji zohamba sha ngamdazo ntsidjo fungwa » SAFKE hawu tsi menasewa.
Que vaut réellement l'expérience de ces hommes politiques comoriens?
Je croyais tout avoir vu ces derniers mois avec les décrets loufoques, rejetés et renouvelés les uns après les autres, pourtant dictés au Président Ikililou Dhoinine hari par le compétent et expérimenté Directeur de Cabinet Hamada Madi Bolero.
Mais après avoir écouté le 3ème Bilan de son Excellence Ikililou Dhoinine bourré des chiffres erronés, certainement soufflés par l’incontournable et expérimenté Vice Président Mohamed Ali Soilihi, non sans somnoler de temps en temps, malgré les menaces ambiantes, je me relève pour vous évoquer d’autres bévues.
Néanmoins, pour calmer les valets et diffuseurs de menaces qui n’avalent pas qu’on dénonce les comportements et agissement éhontés de leur protégé, qu’il me soit accordé une phrase. Pour dire, oublions les chiffres qui ont nécessité quelques calculs car risquent d’endormir certains. Prenons les chiffres économique copiés et lus par notre Président hier. Ces chiffres ne sont que les données prévisionnelles du FMI d’octobre 2014, or en parlant de croissance économique mondiale 2014, il fallait prendre les chiffres définitifs qui se sont d’ailleurs avérés différents de prévisions, comme souvent avec le FMI diront les détracteurs.. Sha nazi mhundré, qu’il a incité à parler ? En 2013 il n’avait pas fait d’anniversaire ni prononcé un discours le 26 mai, hari c’était un « silence scientifique ». Ceux qui me jetteront à la figure, les infrastructures et autres réalisations de ces 9 derniers années, ma réponse est : qu'ils votent donc Athoumani en 2016, car lui aussi quand il mendie de l'argent il sait faire des choses. Passons, pas le temps de critiquer un bilan d’obscurité et d’impunité.
La réalité à laquelle renvoie ces bourdes est hélas devenu le tshayi de comoriens. On constate dans les différents assises et plans, des stratégies de développement économique et social inefficaces si ce n’est même purement et simplement le pilotage à vue et le bricolage qui en tiennent lieu. A ces inepties s'ajoutent, la corruption , l'incompétence qui favorisent toute une série d'affres et de flétrissures à commencer par une gestion patrimoniale des biens publics qui consiste, de la part de nos gouvernants, à les confondre trop souvent avec les biens de famille.
C’est donc au regard de toutes les légèretés et manquement susmentionnées de nos sois disant compétents, incontournables et expérimentés Mamadou et Bolero que je vous informe ou rappel la bourde de trop.
En lisant l’arrêté N° 15-019 du 17 Avril 2015, joint en image, On peut aisément affirmer que Mamadou et Bolero se font une concurrence âpre dans la médiocrité.
Il est stipulé:
Article2 : « l’Administration Générale des Impôts et des Domaines est chargée de l’application du présent arrêté qui sera enregistré, publié au journal officiel de l’Union des Comores et communiqué partout où besoin sera »
Pourtant le fameux AGID n’a pas d’existence réelle. Ni de fait ni dans la loi fiscale du pays, hormis dans certains entête administratif, puisque c’est un énième machin faisant le lot des ces incongruités qui empêchent aujourd’hui d’accomplir des pas tangibles, réellement significatifs, dans la nécessaire lutte contre la pauvreté.
Autant dire, que cet arrêté n’est pas opposable aux gens des Domaines légalement. C’est donc du pain béni pour le puissant Adolphe qui avait toujours refusé de mettre en applications les décrets qui imposaient les 10 000 F au lieu de 12% du terrain à enregistrer.
« Ngamina zidnji zohamba sha ngamdazo ntsidjo fungwa » SAFKE hawu tsi menasewa.