Sommes nous tous pestiférés? Nous ne sommes pas tous pourris, Le pays regorge d'hommes et de femmes capables de séparer le bon grain...
Sommes nous tous pestiférés?
Nous ne sommes pas tous pourris,
Le pays regorge d'hommes et de femmes capables de séparer le bon grain de l'ivraie si on veut bien leur donner les moyens.
Des artisans, des intellectuels, des associatifs, des cadres techniques ou politiques n'aspirent qu'au sortir de cette situation dont les premiers responsables ont des coordonnées relatives et changeantes au fi du temps. ces derniers traversent les pouvoirs et les couloirs des décideurs pour propager leur venin..
Mais le plus malheureux et bizarrement le plus amusant est que ce sont, ceux-là même, qui ont mis le pays à genoux, qui tentent de professer la bonne parole et la moralité républicaines.ils animent les ONGs et investissent les médias et les places publiques fréquentées par leurs voisins chômeurs.
S'il est vrai que la situation est exécrable, il n'en demeure ps moins que rien n'est impossible pour transformer tout cela en cercle vertueux et insuffler un brun d'espoir au peuple comorien qui ne fait qu'encaisser turpitudes et désespoirs.
Pour désamorcer cette tendance mortifère, il suffit que le peuple vienne à aimer la chose publique, qu'il refuse de payer les ripoux de la république habillés en gentlemen, qu'ils apprennent aux enfants du pays que la tricherie mène à l’impasse et que le mérite est une conséquence; il n'est ni un droit de népotisme ni d’aînesse..
Djounaid Djoubeir
Nous ne sommes pas tous pourris,
Le pays regorge d'hommes et de femmes capables de séparer le bon grain de l'ivraie si on veut bien leur donner les moyens.
Des artisans, des intellectuels, des associatifs, des cadres techniques ou politiques n'aspirent qu'au sortir de cette situation dont les premiers responsables ont des coordonnées relatives et changeantes au fi du temps. ces derniers traversent les pouvoirs et les couloirs des décideurs pour propager leur venin..
Mais le plus malheureux et bizarrement le plus amusant est que ce sont, ceux-là même, qui ont mis le pays à genoux, qui tentent de professer la bonne parole et la moralité républicaines.ils animent les ONGs et investissent les médias et les places publiques fréquentées par leurs voisins chômeurs.
S'il est vrai que la situation est exécrable, il n'en demeure ps moins que rien n'est impossible pour transformer tout cela en cercle vertueux et insuffler un brun d'espoir au peuple comorien qui ne fait qu'encaisser turpitudes et désespoirs.
Pour désamorcer cette tendance mortifère, il suffit que le peuple vienne à aimer la chose publique, qu'il refuse de payer les ripoux de la république habillés en gentlemen, qu'ils apprennent aux enfants du pays que la tricherie mène à l’impasse et que le mérite est une conséquence; il n'est ni un droit de népotisme ni d’aînesse..
Djounaid Djoubeir