Aucun développement n’est possible sans des acteurs instruits. Mais les Comores sont pauvres : 100% du budget ne pourrait même pas suffire ...
Aucun développement n’est possible sans des acteurs instruits. Mais les Comores sont pauvres : 100% du budget ne pourrait même pas suffire à scolariser tous les enfants et encore les satisfaire". Pourtant, avec beaucoup de difficulté, l’aide des populations, de 1995 à 2002, le taux de scolarisation est passé de 16,5% à 20,9% et, en 2010, à 24% selon l’Unicef (avant, il augmentait de moins de 1%/an). En 2001, il augmente de 16% le nombre d’enseignants et de professeurs. Pendant les vacances nous devrons alphabétiser les paysans désœuvrés.
On alphabétisera en 3 langues vivantes dans tous les établissements scolaires du pays (Français, Anglais et Arabe) et on forme la population sur l’hygiène, la santé de base, la gestion pour les paysans et les commerçants. Pour y parvenir, plusieurs centres de formation sont indispensables. Nous préconisons sur notre programme, l’orientation d’un grand nombre de nos jeunes dont leurs moyennes générales est inférieur à 11 et pour tout ce qu’il le souhaite de passer dans une filière à partir de la classe de 3ème ou en centre de formation académique (CFA) où Centre de Formation Pour Adulte (CFPA).
- Il n’y a pas de société humaine sans culture et de culture sans correspondance avec une société." Les semaines nationales de la culture, seront mises en place en l’an 2022 et se dérouleront à tour de rôle dans les villages du pays, ce qui permette la construction de salles de spectacles et de structures touristiques. On assiste à une forte augmentation du nombre de troupes. Nous ajoutons aussi les arts habituels, peinture, sculpture, haute couture comorienne (Djoho, Dragila, Bouchuti, Kandu, Djouba, Kofiya za matso), tissage, stylisme, lutte traditionnelle, cyclisme amateur, cuisine, coiffure.
La télévision nationale offrira une large place aux programmes culturels. Toute exportation d’objet culturel reconnu comme spécimen authentique doit être autorisée par la Direction du Patrimoine. Tout cela nous amène au chapitre de la lutte contre le travail dissimulé, le travail non déclaré, l’exploitation à domicile l’esclavage moderne. Des poursuites judiciaires peuvent primer contre les tentateurs abusifs.
Les collégiens, les lycéens, les universitaires et les stagiaires en centre de formation doivent donner leurs temps libres pendant les vacances, les jours fériés et les jeudis et vendredis dans les travaux de l’état dans les champs, dans les ateliers, dans les bureaux et les magasins régionaux (Mudriya) pour porter leurs aides afin d’acquérir l’expérience de tous les métiers manuels (Hazi Za Mhono). Car toutes les personnes majeures doivent dans un pays révolutionnaire travailler durement et sans arrêt.
Nous ne pourrions pas prendre en charge dans les collèges, les lycées, les centres de formation et les universités des jeunes citoyens qui ne veulent pas contribuer au développement anticipé de la nation.
Aucune personne dans cette nation ne sait pas combien de fois le peuple comorien souffre de la pauvreté et de la faim alimentaire, de viande de poissons et de poulets. Et si nous voulons lutter efficacement contre ces faims qui consument les citoyens comoriens, nous devons participer chacun d’entre nous à la lutte contre cette maladie grave (la faim) dans notre pays ainsi que les domaines qui concernent : la pèche traditionnelle et industrielle, l’agriculture biologique et intensive, l’élevage d’animaux. Beaucoup des maladies graves qui s’opèrent et tuent plusieurs citoyens comoriens chaque année est certainement provoquées par l’abnégation de certaines vitamines liées à la consommation de viande, de poissons et de poulets (Hudu).
Ils sont reconnus encore par leurs ventres bondés. Par contre le combat contre la pauvreté consiste à se trousser les manches pour ce livrer au travail nuits et jours, car le repos d’un vrai révolutionnaire n’interviendra que lorsque la Nation ait l’autosubsistance et l’autosuffisance alimentaire.
Certains médecins reconnaissent les enfants atteintes de ces maladies, par les cheveux rouges pour ceux qui ont l’absence de vitamines liées à la consommation de la viande et ceux atteintes par celles qui concernent les vitamines des poissons, ont les cheveux blancs. Le combat pour l’éradication de ce fléau qui ébranle les citoyens comoriens, concerne tous les acteurs comoriens du domaine en question, la pêche, l’élevage ainsi que l’agriculture biologique et intensive.
Dans les écoles primaires, les collèges, les lycées, les universités et même dans les centres de formation, plusieurs coopératives doivent s’opérer pour mieux organiser la mise en place d’une plate forme assurant l’émergence d’une façon et quasi quotidien, l’agriculture biologique et intensive au sein de tous les établissements scolaires comoriens.
L’organisation des coopératives scolaires nous semble nécessaire, même primordiale dans la mesure où l’état souverain comorien, souhaite se passer des aides de toutes natures d’ici peu de temps. Pour sortir de la dépendance de ces aides et des importations des produits alimentaires, il va falloir non seulement mieux s’organiser, mais, mieux préparer et mobiliser les jeunes à consacrer plus de leurs temps à cultiver aux sein de leurs établissements, à pêcher dans les mères les plus proches et à élever les batailles pour assurer dès aujourd’hui leurs subsistance et leur survie par leur propre moyens afin qu’ils puissent oublier, le manger et l’argent frais en provenance de l’étranger et qui nous désorganise, nous démobilise et nous en dissuade de ces métiers précieux qui peuvent auto-assurer notre existence sans faire la mendicité moderne.
L’impérialisme liberticide nous a appris à vivre dans la dépendance afin que nous ne puissions avoir une autosuffisance ou une auto subsistance. Car, avec une telle puissance en notre possession, la relation controversée qui nous attache en elle, serait autrement et notre Nation serait dans une situation économique et sociale époustouflante.
Notre souci aujourd’hui n’est pas seulement sur ce domaine là, mais, sur ce qu’on va bien faire pour redresser d’une façon exemplaire, notre pays dans un monde difficile, absurde qui ne cherche que la domination et le profit, sur un continent agraire, terrien, mais qui a totalement perdu ses marques, ses envies et sa volonté de mettre en priorité l’agriculture au cœur et au front de toutes activités nécessaires, primordiales pour le développement.
Nous ne pouvons pas attribuer cette distraction punitive à l’impérialisme seul, la plus grande responsabilité de ce déclin nous appartienne. Il a fallu que nous nous se mettions à l’évidence avant que cela ne soit pas trop tard. Maintenant que nous nous sommes rendu compte de l’immensité et l’imminence de cette démarche noble au sein de la Nation comorienne, ferons en sorte que tous les acteurs du modernisme et tous les jeunes comoriens acceptant l’émancipation qui est la notre aujourd’hui, mettons nous tout de suite à cultiver les champs, semons du riz, du maïs, du blé, le mil, du manioc, des bananiers, des ignames, patates douces, pommes de terre, des cannes à sucre, des pommiers, des vignes, des poiriers, des pêches, des orangers, des citronniers et toutes sortes d’arbustes nous apportant des fruits. Plantons ensemble tous les jours, la large gamme des légumes destinée à la commercialisation mais aussi pour notre propre consommation quotidienne. Dans les années à venir, chaque établissement scolaire comorien doit se prendre en lui-même la charge de ses besoins financiers et de la survie de son établissement.
On alphabétisera en 3 langues vivantes dans tous les établissements scolaires du pays (Français, Anglais et Arabe) et on forme la population sur l’hygiène, la santé de base, la gestion pour les paysans et les commerçants. Pour y parvenir, plusieurs centres de formation sont indispensables. Nous préconisons sur notre programme, l’orientation d’un grand nombre de nos jeunes dont leurs moyennes générales est inférieur à 11 et pour tout ce qu’il le souhaite de passer dans une filière à partir de la classe de 3ème ou en centre de formation académique (CFA) où Centre de Formation Pour Adulte (CFPA).
- Il n’y a pas de société humaine sans culture et de culture sans correspondance avec une société." Les semaines nationales de la culture, seront mises en place en l’an 2022 et se dérouleront à tour de rôle dans les villages du pays, ce qui permette la construction de salles de spectacles et de structures touristiques. On assiste à une forte augmentation du nombre de troupes. Nous ajoutons aussi les arts habituels, peinture, sculpture, haute couture comorienne (Djoho, Dragila, Bouchuti, Kandu, Djouba, Kofiya za matso), tissage, stylisme, lutte traditionnelle, cyclisme amateur, cuisine, coiffure.
La télévision nationale offrira une large place aux programmes culturels. Toute exportation d’objet culturel reconnu comme spécimen authentique doit être autorisée par la Direction du Patrimoine. Tout cela nous amène au chapitre de la lutte contre le travail dissimulé, le travail non déclaré, l’exploitation à domicile l’esclavage moderne. Des poursuites judiciaires peuvent primer contre les tentateurs abusifs.
Les collégiens, les lycéens, les universitaires et les stagiaires en centre de formation doivent donner leurs temps libres pendant les vacances, les jours fériés et les jeudis et vendredis dans les travaux de l’état dans les champs, dans les ateliers, dans les bureaux et les magasins régionaux (Mudriya) pour porter leurs aides afin d’acquérir l’expérience de tous les métiers manuels (Hazi Za Mhono). Car toutes les personnes majeures doivent dans un pays révolutionnaire travailler durement et sans arrêt.
Nous ne pourrions pas prendre en charge dans les collèges, les lycées, les centres de formation et les universités des jeunes citoyens qui ne veulent pas contribuer au développement anticipé de la nation.
Aucune personne dans cette nation ne sait pas combien de fois le peuple comorien souffre de la pauvreté et de la faim alimentaire, de viande de poissons et de poulets. Et si nous voulons lutter efficacement contre ces faims qui consument les citoyens comoriens, nous devons participer chacun d’entre nous à la lutte contre cette maladie grave (la faim) dans notre pays ainsi que les domaines qui concernent : la pèche traditionnelle et industrielle, l’agriculture biologique et intensive, l’élevage d’animaux. Beaucoup des maladies graves qui s’opèrent et tuent plusieurs citoyens comoriens chaque année est certainement provoquées par l’abnégation de certaines vitamines liées à la consommation de viande, de poissons et de poulets (Hudu).
Ils sont reconnus encore par leurs ventres bondés. Par contre le combat contre la pauvreté consiste à se trousser les manches pour ce livrer au travail nuits et jours, car le repos d’un vrai révolutionnaire n’interviendra que lorsque la Nation ait l’autosubsistance et l’autosuffisance alimentaire.
Certains médecins reconnaissent les enfants atteintes de ces maladies, par les cheveux rouges pour ceux qui ont l’absence de vitamines liées à la consommation de la viande et ceux atteintes par celles qui concernent les vitamines des poissons, ont les cheveux blancs. Le combat pour l’éradication de ce fléau qui ébranle les citoyens comoriens, concerne tous les acteurs comoriens du domaine en question, la pêche, l’élevage ainsi que l’agriculture biologique et intensive.
Dans les écoles primaires, les collèges, les lycées, les universités et même dans les centres de formation, plusieurs coopératives doivent s’opérer pour mieux organiser la mise en place d’une plate forme assurant l’émergence d’une façon et quasi quotidien, l’agriculture biologique et intensive au sein de tous les établissements scolaires comoriens.
L’organisation des coopératives scolaires nous semble nécessaire, même primordiale dans la mesure où l’état souverain comorien, souhaite se passer des aides de toutes natures d’ici peu de temps. Pour sortir de la dépendance de ces aides et des importations des produits alimentaires, il va falloir non seulement mieux s’organiser, mais, mieux préparer et mobiliser les jeunes à consacrer plus de leurs temps à cultiver aux sein de leurs établissements, à pêcher dans les mères les plus proches et à élever les batailles pour assurer dès aujourd’hui leurs subsistance et leur survie par leur propre moyens afin qu’ils puissent oublier, le manger et l’argent frais en provenance de l’étranger et qui nous désorganise, nous démobilise et nous en dissuade de ces métiers précieux qui peuvent auto-assurer notre existence sans faire la mendicité moderne.
L’impérialisme liberticide nous a appris à vivre dans la dépendance afin que nous ne puissions avoir une autosuffisance ou une auto subsistance. Car, avec une telle puissance en notre possession, la relation controversée qui nous attache en elle, serait autrement et notre Nation serait dans une situation économique et sociale époustouflante.
Notre souci aujourd’hui n’est pas seulement sur ce domaine là, mais, sur ce qu’on va bien faire pour redresser d’une façon exemplaire, notre pays dans un monde difficile, absurde qui ne cherche que la domination et le profit, sur un continent agraire, terrien, mais qui a totalement perdu ses marques, ses envies et sa volonté de mettre en priorité l’agriculture au cœur et au front de toutes activités nécessaires, primordiales pour le développement.
Nous ne pouvons pas attribuer cette distraction punitive à l’impérialisme seul, la plus grande responsabilité de ce déclin nous appartienne. Il a fallu que nous nous se mettions à l’évidence avant que cela ne soit pas trop tard. Maintenant que nous nous sommes rendu compte de l’immensité et l’imminence de cette démarche noble au sein de la Nation comorienne, ferons en sorte que tous les acteurs du modernisme et tous les jeunes comoriens acceptant l’émancipation qui est la notre aujourd’hui, mettons nous tout de suite à cultiver les champs, semons du riz, du maïs, du blé, le mil, du manioc, des bananiers, des ignames, patates douces, pommes de terre, des cannes à sucre, des pommiers, des vignes, des poiriers, des pêches, des orangers, des citronniers et toutes sortes d’arbustes nous apportant des fruits. Plantons ensemble tous les jours, la large gamme des légumes destinée à la commercialisation mais aussi pour notre propre consommation quotidienne. Dans les années à venir, chaque établissement scolaire comorien doit se prendre en lui-même la charge de ses besoins financiers et de la survie de son établissement.
