EN 2016, COMMENT RECONNAÎTRE LE MOINS MAUVAIS DES CANDIDATS ? Un œil sur la transhumance aux Comores. Du latin trans et humus, est la m...
EN 2016, COMMENT RECONNAÎTRE LE MOINS MAUVAIS DES CANDIDATS ?
Pour commencer, un Parti politique se traduit par la conviction et une idéologie fondée sur des principes. Ce qui n’est pas le cas aux Comores. M. RIDJA, Malgré votre statut de candidat malheureux à plusieurs élections aux Comores et sans aucune expérience dans l’administration comorienne, vous avez toujours su bénéficier dans une moindre mesure une certaine crédibilité aux yeux de comoriens. Et cela grâce à vos positions pour dénoncer la mauvaise gestion sur la chose publique, la corruption et tant d’autres fléaux qui rongent notre pays, les Comores. Mais plus maintenant ! Donc, un peuple averti et conscient en vaux plusieurs.
Ainsi, j’invite tous les acteurs étatiques et aux responsables politiques à la prise de responsabilités et à penser à des politiques de développement et non le développement de la politique politicienne. C’est dans cette même mirage que j’appelle à toute la jeunesse comorienne où que vous soyez (Egypte, Maroc Madagascar, France …) à la mobilisation comme le fait la communauté comorienne du Sénégal (bien organisée) que je salue au passage afin de sonner la RÉVOLUTION COMORIENNE. Nous ne sommes pas sans savoir qu’à l’heure qu’il est, les crises se succèdent les unes après les autres.
Mais, comment reconnaître le moins mauvais des candidats ? C’est très simple. En plein campagne, il viendra au village avec un paquet de projets de sociétés dont il prendra le maximum de temps pour expliquer leur mise en branle, histoire de permettre à notre pays, les Comores de s’aligner un jour dans la parade de pays en développement. A défaut, s’il prend son précieux temps lors de campagnes pour dénoncer et dire ce que les autres n’ont pas fait comme ils ont l’habitude de le faire sans dégager aucune piste de ce qu’il compte faire une fois au pouvoir, il faut lui dire tout simplement qu’il est le pire de candidats. A bat les mauvais élèves de la République.
Un œil sur la transhumance aux Comores. Du latin trans et humus, est la migration périodique d'une part du bétail de la plaine vers la montagne ou de la montagne vers la plaine, d'autre part des abeilles d'une région florale à une autre, et ce en fonction des conditions climatiques et donc de la saison.
Pourtant, ce phénomène gagne de plus en plus du terrain chez les Hommes en général et politicien en particulier. C’est à travers extravagante alliance PEC, JUWA, RIDJA, ZAM ZAM que je fais allusion et qui va me permettre sans risque de me tromper de rajouter, Mr Said LARIFOU (Président du parti RIDJA) dans la liste des hommes faisant la politique dans l’incertitude totale et sans idéologie propre, mais plutôt, un passionné du pouvoir et rien que le pouvoir. Ce classement je le fais nom de la conviction et de la dignité en politique. ‘’Navré pour les termes mais il me semble que c’est une triste vérité’’. Je le dis pour deux choses. D'abord, pour la mémoire de tous les passionnés de cette discipline qu’elles soient les sciences politiques ensuite pour la mauvaise impression que vous (politiciens comoriens) donnez à ce métier à plein défis à relever.
Pour commencer, un Parti politique se traduit par la conviction et une idéologie fondée sur des principes. Ce qui n’est pas le cas aux Comores. M. RIDJA, Malgré votre statut de candidat malheureux à plusieurs élections aux Comores et sans aucune expérience dans l’administration comorienne, vous avez toujours su bénéficier dans une moindre mesure une certaine crédibilité aux yeux de comoriens. Et cela grâce à vos positions pour dénoncer la mauvaise gestion sur la chose publique, la corruption et tant d’autres fléaux qui rongent notre pays, les Comores. Mais plus maintenant ! Donc, un peuple averti et conscient en vaux plusieurs.
Ainsi, j’invite tous les acteurs étatiques et aux responsables politiques à la prise de responsabilités et à penser à des politiques de développement et non le développement de la politique politicienne. C’est dans cette même mirage que j’appelle à toute la jeunesse comorienne où que vous soyez (Egypte, Maroc Madagascar, France …) à la mobilisation comme le fait la communauté comorienne du Sénégal (bien organisée) que je salue au passage afin de sonner la RÉVOLUTION COMORIENNE. Nous ne sommes pas sans savoir qu’à l’heure qu’il est, les crises se succèdent les unes après les autres.
Le secteur de la santé devient de plus en plus malade qu’une éducation de base aussi ignorante qu’un système judiciaire vicieux dès la base jusqu’au sommet. Bref, une population privée d’eau et d’électricité. A mon avis, ces crises qui ont secoué la société comorienne doivent cependant finir par convaincre le peuple à exiger le meilleur de lui-même donc une régulation de la justice sociale équitable. Ce peuple doit agir pour ne pas subir encore et se passé en victime de l’égoïsme et de l’incompétence de ses dirigeants. Il n’y a que toi, peuple qui doit susciter le moment opportun pour ta révolution. Tu (peuple) dois agir maintenant et tout de suite parce que ceux qui ont pillé le pays jusqu’au dernier centime ne le feront pas à ta place. Tu dois te préparer à agir maintenant et vite parce que les élections s’approchent, en 2016 et c’est presque le bon moment pour sanctionner négativement les mauvais élèves de la République.
Mais, comment reconnaître le moins mauvais des candidats ? C’est très simple. En plein campagne, il viendra au village avec un paquet de projets de sociétés dont il prendra le maximum de temps pour expliquer leur mise en branle, histoire de permettre à notre pays, les Comores de s’aligner un jour dans la parade de pays en développement. A défaut, s’il prend son précieux temps lors de campagnes pour dénoncer et dire ce que les autres n’ont pas fait comme ils ont l’habitude de le faire sans dégager aucune piste de ce qu’il compte faire une fois au pouvoir, il faut lui dire tout simplement qu’il est le pire de candidats. A bat les mauvais élèves de la République.