DROIT DE RÉPONSE A DJAFFAR SALIM ALLAOUI! Monsieur, l'ex vice Président, Monsieur le Ministre, Monsieur " ce que vous voulez, Ne...
DROIT DE RÉPONSE A DJAFFAR SALIM ALLAOUI!
Monsieur, l'ex vice Président, Monsieur le Ministre, Monsieur " ce que vous voulez, Ne recommence plus! l'histoire n'est pas une science: elle ne peut pas être soumise à l'expérience. Dans un pays de droit, dans un Etat conscient de son devoir, vous devriez être sur le coup d'une arrestation pour manœuvres d'atteinte à l'intégrité du pays.
Ton appel au séparatisme ne souffre d'aucune ambiguïté et il faut que tu sois toi pour avoir tout ce courage. Vous récidivez sans vergogne, simplement pare que vous n'avez pas été jugé de 1997 à 2008. Non jugés, vous vous croyez tous permis et vous vous victimisez, faisant de SAMBI le coupable. Oui, SAMBI est coupable pour vous avoir laisser échapper à la justice.
Vous en prenez à Ngazidja. C'est ridicule. Vous semblez donner une leçon de géographie et d'anthropologie proche à Darwin. Pourquoi en un mot, vous n'avez pas le courage de dire clairement votre volonté de tuer la nation comorienne. Vous échouerez toujours et encore. Vous ignorez le bouclier de ce pays: une religion musulmane qui brisera vos gesticulations de mauvaise foi et de division.
Interprète l'histoire des Comores comme tu veux, du déplacement de la capitale de Dzaoudzi à Moroni. Mais vous crachez sur l'intelligence en cherchant à trouver un coupable de Ngazidja dans une décision d'Etat. Tu cherches à te faire apprécier de ceux qui croient dur comme fer que c'est le transfert de la capitale, la cause fondamentale de la rupture avec Mayotte. Un jugement superficiel.
J'appelle les comoriens à ouvrir les yeux sur cet individu qui pourrait avoir des partisans à Ngazidja, Ndzouani et Mwali dans son triste dessein: un séparatisme qui pourrait avoir son aboutissement dans un immense cimetière. La soif du pouvoir, la mégalomanie, la manipulation est un cocktail qui s'apprécie dans la misère sociale. Les conditions de vie d'une population déterminent sa capacité à apprécier la vérité. La misère noire de l'Allemagne au lendemain des traités de Versailles punissant le pays a fait des misérables allemands, l'armée aigrie de Hitler.
En incendiant BIMBINI, empoisonnant l'eau, vandalisant les établissements solaire, humiliant et volant les Bimbiniens, les misérables anjouanais avaient compris et pris acte le message des séparatistes: les bimbiniens sont contre les intérêts de Ndzouani, des mercenaires se seraient retrancher pour tuer notre séparatisme.
J'appelle sérieusement à tous les comoriens de prendre toutes les dispositions pour barrer la route à DJANFAR SALIM et consorts avant qu'il ne soit trop tard. On peut tout reprocher à Sambi, sauf la décision de débarquer à Anjouan contre les séparatistes. C'est un acte politique responsable; il n'a pas seulement eu le mérite d'aller jusqu'au bout, notamment pour que des personnes comme notre ancien vice président n'a pas payé sa dette envers la société.
Il est inacceptable de donner le moindre crédit à des individus qui ont tenté de diviser la Nation, mettre en cause l'intégrité du pays en mentant à la population sur une implication de la France. Une France qui n'a rien à cirer de la bêtise comorienne...
Par BEN ALI.
Photo.Djaffar Salim Allaoui ©habarizacomores
Monsieur, l'ex vice Président, Monsieur le Ministre, Monsieur " ce que vous voulez, Ne recommence plus! l'histoire n'est pas une science: elle ne peut pas être soumise à l'expérience. Dans un pays de droit, dans un Etat conscient de son devoir, vous devriez être sur le coup d'une arrestation pour manœuvres d'atteinte à l'intégrité du pays.
Ton appel au séparatisme ne souffre d'aucune ambiguïté et il faut que tu sois toi pour avoir tout ce courage. Vous récidivez sans vergogne, simplement pare que vous n'avez pas été jugé de 1997 à 2008. Non jugés, vous vous croyez tous permis et vous vous victimisez, faisant de SAMBI le coupable. Oui, SAMBI est coupable pour vous avoir laisser échapper à la justice.
Vous en prenez à Ngazidja. C'est ridicule. Vous semblez donner une leçon de géographie et d'anthropologie proche à Darwin. Pourquoi en un mot, vous n'avez pas le courage de dire clairement votre volonté de tuer la nation comorienne. Vous échouerez toujours et encore. Vous ignorez le bouclier de ce pays: une religion musulmane qui brisera vos gesticulations de mauvaise foi et de division.
Interprète l'histoire des Comores comme tu veux, du déplacement de la capitale de Dzaoudzi à Moroni. Mais vous crachez sur l'intelligence en cherchant à trouver un coupable de Ngazidja dans une décision d'Etat. Tu cherches à te faire apprécier de ceux qui croient dur comme fer que c'est le transfert de la capitale, la cause fondamentale de la rupture avec Mayotte. Un jugement superficiel.
J'appelle les comoriens à ouvrir les yeux sur cet individu qui pourrait avoir des partisans à Ngazidja, Ndzouani et Mwali dans son triste dessein: un séparatisme qui pourrait avoir son aboutissement dans un immense cimetière. La soif du pouvoir, la mégalomanie, la manipulation est un cocktail qui s'apprécie dans la misère sociale. Les conditions de vie d'une population déterminent sa capacité à apprécier la vérité. La misère noire de l'Allemagne au lendemain des traités de Versailles punissant le pays a fait des misérables allemands, l'armée aigrie de Hitler.
En incendiant BIMBINI, empoisonnant l'eau, vandalisant les établissements solaire, humiliant et volant les Bimbiniens, les misérables anjouanais avaient compris et pris acte le message des séparatistes: les bimbiniens sont contre les intérêts de Ndzouani, des mercenaires se seraient retrancher pour tuer notre séparatisme.
J'appelle sérieusement à tous les comoriens de prendre toutes les dispositions pour barrer la route à DJANFAR SALIM et consorts avant qu'il ne soit trop tard. On peut tout reprocher à Sambi, sauf la décision de débarquer à Anjouan contre les séparatistes. C'est un acte politique responsable; il n'a pas seulement eu le mérite d'aller jusqu'au bout, notamment pour que des personnes comme notre ancien vice président n'a pas payé sa dette envers la société.
Il est inacceptable de donner le moindre crédit à des individus qui ont tenté de diviser la Nation, mettre en cause l'intégrité du pays en mentant à la population sur une implication de la France. Une France qui n'a rien à cirer de la bêtise comorienne...
Par BEN ALI.
Photo.Djaffar Salim Allaoui ©habarizacomores