Ceux qui m’ont connu avant la CENI, retiennent de moi un engagé politique qui étais prêt à tout pour les convictions, l’opinion et la visio...
Ceux qui m’ont connu avant la CENI, retiennent de moi un engagé politique qui étais prêt à tout pour les convictions, l’opinion et la vision politiques qui étaient les miennes. Mais Ça c’était avant !
Nombreux d’entre vous savez combien c’était délicat pour moi d’accepter de rempiler à la CENI, sachant que j’allais fermer bouche et boutique politico-sociales. J’ai tout de même accepté et j’ai mesuré les enjeux, l’ampleur, les risques et les déboires de la mission. Je ne manquerai jamais de remercier à ceux qui m’ont promu dans cette institution. Si chacun s’occupait bien de ce qui le concerne, les choses iraient certainement mieux. Parler seulement ne suffira jamais.
A la CENI, j’ai fait de mon mieux avec d’autres pour que l’expression du peuple soit celle qui soit prise en compte. Dans une élection, il y a toujours des bons gagnants et des mauvais perdants. Il n’a jamais été dit que les perdants ont démérité. Le travail d’organisateur d’élection était bien fait. Inutile de rappeler que je parle d’élections. Je ne défends pas ici ni la gestion politico-sociale, ni les individualités à la CENI; étant une équipe de tout venant que chacun draine une nature et des qualités personnelles et propres à lui-même. Je m’engage sur le travail global de l’équipe et je confirme que jamais élections n’a été transparentes, crédibles et acceptées par plusieurs que celles de 2015. Les désaccords internes restent à l’interne et n’ont que guère accommodé le travail collectif ; c’est ce qui a fait la subtilité de la réussite.
Nos missions électorales ne sont pas sans risques ni sans dangers. Nous étions persécutés, menacés et intimidés à longueur de la période électorale. J’ai été personnellement attaqué au Cocktail Molotov dans la nuit de l’avant-veille du 22 février 2015 ; entre autres traitements ignobles. Les agresseurs se reconnaîtront sans doute. Les membres de ma famille et les amis le découvriront à travers ces lignes; je demande leur bonté. Des collègues même de la CENI ne l’ont même pas su jusqu’à maintenant. J’ai gardé cela en moi. J’en ai fait seulement signalement à la Gendarmerie, en les priant de garder le fait sous silence et de prendre les mesures conséquentes. Je n’allais pas abonder dans le sens des malfaiteurs qui avaient voulu créer la psychose et la terreur pour enlever le calme aux électeurs et la sérénité à la CENI de réaliser avec quiétude et équité ses délicates missions d’organisatrice d’élections.
Nombreux d’entre vous savez combien c’était délicat pour moi d’accepter de rempiler à la CENI, sachant que j’allais fermer bouche et boutique politico-sociales. J’ai tout de même accepté et j’ai mesuré les enjeux, l’ampleur, les risques et les déboires de la mission. Je ne manquerai jamais de remercier à ceux qui m’ont promu dans cette institution. Si chacun s’occupait bien de ce qui le concerne, les choses iraient certainement mieux. Parler seulement ne suffira jamais.
A la CENI, j’ai fait de mon mieux avec d’autres pour que l’expression du peuple soit celle qui soit prise en compte. Dans une élection, il y a toujours des bons gagnants et des mauvais perdants. Il n’a jamais été dit que les perdants ont démérité. Le travail d’organisateur d’élection était bien fait. Inutile de rappeler que je parle d’élections. Je ne défends pas ici ni la gestion politico-sociale, ni les individualités à la CENI; étant une équipe de tout venant que chacun draine une nature et des qualités personnelles et propres à lui-même. Je m’engage sur le travail global de l’équipe et je confirme que jamais élections n’a été transparentes, crédibles et acceptées par plusieurs que celles de 2015. Les désaccords internes restent à l’interne et n’ont que guère accommodé le travail collectif ; c’est ce qui a fait la subtilité de la réussite.
Nos missions électorales ne sont pas sans risques ni sans dangers. Nous étions persécutés, menacés et intimidés à longueur de la période électorale. J’ai été personnellement attaqué au Cocktail Molotov dans la nuit de l’avant-veille du 22 février 2015 ; entre autres traitements ignobles. Les agresseurs se reconnaîtront sans doute. Les membres de ma famille et les amis le découvriront à travers ces lignes; je demande leur bonté. Des collègues même de la CENI ne l’ont même pas su jusqu’à maintenant. J’ai gardé cela en moi. J’en ai fait seulement signalement à la Gendarmerie, en les priant de garder le fait sous silence et de prendre les mesures conséquentes. Je n’allais pas abonder dans le sens des malfaiteurs qui avaient voulu créer la psychose et la terreur pour enlever le calme aux électeurs et la sérénité à la CENI de réaliser avec quiétude et équité ses délicates missions d’organisatrice d’élections.
Pendant que je suis à la CENI, ceux qui sont du bord politique qui était le mien, doivent comprendre que je ne peux plus cocher dans un mouvement politique. Ceux qui me comptaient comme adversaire politique doivent être rassurés de mon impartialité et de mon abnégation. Personne ne pourra me prouver le contraire. J’arrive toujours à m’adapter à chaque disposition.
J’ai vite compris qu’à vouloir être utile pour mon pays, il suffit de garantir avec les moyens disponibles la réussite de ce qui m’est prescrit par la loi de mon pays. Je ne pourrai jamais y arriver seul, sans le concours de tout.
Les uns s’occuperont du social ; les autres s’occuperont de la Politique. Moi je me retrouve nécessairement dans la toge d’organisateur d’élections. Je me suis dit que si j’arrive à chaque fois avec mes collègues à pouvoir organiser des élections libres et garantir la netteté des résultats des urnes; ce sera au peuple qui s’est exprimé dans ces urnes d’être incriminé par son choix inapproprié et contestable contre lui-même. Aux élus d’être sanctionnés après leur défaite politico-sociale. Moi j’aurai rempli bel et bien ma mission d’organisateur juste et loyal. Si chacun s’occupait au mieux de ce qui le concernait, les vaches seraient bien gardées.
Je laisserai pendant les 5 années qui me restent à la CENI, la Politique aux Politiques. Je me reconnais dans mes missions de Gestionnaire Équitable d’élections.
Ainsi ; avec le concours de tous, nous ferons en sorte que les quelques ratés constatés, surtout celui relatif aux cartes d’électeurs ne nous plombent pas encore une fois. De toute façon nous avons tous compris qu’il ne vaut plus la peine que la carte électorale soit biométrique. Il n’y a que le fichier électoral qui le sera. Il va falloir que 2016 soit aussi réussie que 2015 !
Saïd MZE DAFINE