Mercredi 22 avril se déroulait à l’Alliance française de Moroni une cérémonie en l’honneur du défunt écrivain Salim Hatubou. C’est en effet ...
Mercredi 22 avril se déroulait à l’Alliance française de Moroni une cérémonie en l’honneur du défunt écrivain Salim Hatubou. C’est en effet dans ce lieu symbolique de la culture, des liens entre la France et les Comores, qu’une plaque a été érigée en sa mémoire et que la médiathèque a été renommée du nom de l’auteur.
Mercredi 22 avril se déroulait à l’Alliance française de Moroni une cérémonie en l’honneur du défunt écrivain Salim Hatubou. C’est en effet dans ce lieu symbolique de la culture, des liens entre la France et les Comores, qu’une plaque a été érigée en sa mémoire et que la médiathèque a été renommée du nom de l’auteur.
C’est en présence de l’Ambassadeur de France ainsi que des proches du romancier et du président de l’Alliance française que la cérémonie s’est déroulée. Après un discours émouvant décrivant l’immense apport du regretté Salim Hatubou aux lettres comoriennes d’expression française, deux jeunes étudiants ont lu des extraits de recueils de l’auteur. Un vibrant hommage, qui a rappelé le caractère intemporel de cet enfant de Marseille, nostalgique des contes de sa grand-mère et de la tradition orale des récits comoriens.
Par AmbaFrance
Les paroles s’envolent mais les écrits restent
Mercredi 22 avril se déroulait à l’Alliance française de Moroni une cérémonie en l’honneur du défunt écrivain Salim Hatubou. C’est en effet dans ce lieu symbolique de la culture, des liens entre la France et les Comores, qu’une plaque a été érigée en sa mémoire et que la médiathèque a été renommée du nom de l’auteur.
C’est en présence de l’Ambassadeur de France ainsi que des proches du romancier et du président de l’Alliance française que la cérémonie s’est déroulée. Après un discours émouvant décrivant l’immense apport du regretté Salim Hatubou aux lettres comoriennes d’expression française, deux jeunes étudiants ont lu des extraits de recueils de l’auteur. Un vibrant hommage, qui a rappelé le caractère intemporel de cet enfant de Marseille, nostalgique des contes de sa grand-mère et de la tradition orale des récits comoriens.
Par AmbaFrance