Élu président de la république des Comores en mai 2006, Ahmed Abdallah Sambi est originaire de l’Ile d’anjouan bénéficiaire de la tournante...
Élu président de la république des Comores en mai 2006, Ahmed Abdallah Sambi est originaire de l’Ile d’anjouan bénéficiaire de la tournante prévue par la constitution de décembre 2001. Une constitution adoptée pour mettre fin au régime séparatiste.
Son accession à la magistrature suprême soutenue par tous les partis politiques a fait de tout citoyen comorien un rêveur solitaire d’un changement meilleur.
Pourquoi cette confiance absurde ?
Il résulte que le peuple comorien après le régime d’Ali soilihi soit à nouveau victime des campagnes démagogues qui conduisaient les ténors issus de diverses formations politiques. Cela explique l’incompréhension totale entre le dire et le faire.
• Face à cette décadence, l’année 2006 fut révélatrice d’un homme au turban khalifien d’une éloquence divine pour qui les comoriens ne pouvaient qu’espérer miser leur confiance totale à ses paroles extraites du saint coran.
• Ses promesses lors de la campagne présidentielle étaient révélatrices d’une nouvelle page qui s’annonçait fleurissante pour tous les citoyens. L’homme à l’allure salvatrice n’avait pas réellement présenté un programme économique ni sociopolitique adapté à la réalité du pays :
1. Le problème d’eau et d’électricité
2. Santé et éducation
3. Salaires réguliers des fonctionnaires
4. L’alimentaire au quotidien
Le simple fait qu’il soit prédicateur avec un comportement vestimentaire à l’approche des mollahs a conquis l’esprit de tous nouveaux nés et par choix de préférence. Peut être il était temps pour les comoriens de changer de veston politique.
Là encore les comoriens sont tombés dans une autre embuscade car la personne en question est loin de ressembler à un rassembleur et personnage aux quatre figures emblématiques.
Après son investiture, les observateurs politiques s’attendaient à une formation d’un gouvernement multicolore ; car la portée de son défi politique à travers ses discours signifiait expressément la réussite totale pour tous.
A ce point de vue, pour être politiquement correct avec le soutien de son peuple via les partis politiques qui l’ont monté au créneau, le président Sambi aurait pu à sa guise interpeller la contribution partielle de chacun d’eux en matière de programme politique surtout que lui-même, n’avait aucune contrainte à cohabiter bien qu’il soit un président indépendant de ses choix de partenariat. Mais cette fois, son excellence ne s’est pas dérangé à foutre à coup de balai tous ces idéaux pour incarner à lui seul un programme socio-économique inadapté à la réalité comorienne :
Son accession à la magistrature suprême soutenue par tous les partis politiques a fait de tout citoyen comorien un rêveur solitaire d’un changement meilleur.
Pourquoi cette confiance absurde ?
Il résulte que le peuple comorien après le régime d’Ali soilihi soit à nouveau victime des campagnes démagogues qui conduisaient les ténors issus de diverses formations politiques. Cela explique l’incompréhension totale entre le dire et le faire.
• Face à cette décadence, l’année 2006 fut révélatrice d’un homme au turban khalifien d’une éloquence divine pour qui les comoriens ne pouvaient qu’espérer miser leur confiance totale à ses paroles extraites du saint coran.
• Ses promesses lors de la campagne présidentielle étaient révélatrices d’une nouvelle page qui s’annonçait fleurissante pour tous les citoyens. L’homme à l’allure salvatrice n’avait pas réellement présenté un programme économique ni sociopolitique adapté à la réalité du pays :
1. Le problème d’eau et d’électricité
2. Santé et éducation
3. Salaires réguliers des fonctionnaires
4. L’alimentaire au quotidien
Le simple fait qu’il soit prédicateur avec un comportement vestimentaire à l’approche des mollahs a conquis l’esprit de tous nouveaux nés et par choix de préférence. Peut être il était temps pour les comoriens de changer de veston politique.
Là encore les comoriens sont tombés dans une autre embuscade car la personne en question est loin de ressembler à un rassembleur et personnage aux quatre figures emblématiques.
Après son investiture, les observateurs politiques s’attendaient à une formation d’un gouvernement multicolore ; car la portée de son défi politique à travers ses discours signifiait expressément la réussite totale pour tous.
A ce point de vue, pour être politiquement correct avec le soutien de son peuple via les partis politiques qui l’ont monté au créneau, le président Sambi aurait pu à sa guise interpeller la contribution partielle de chacun d’eux en matière de programme politique surtout que lui-même, n’avait aucune contrainte à cohabiter bien qu’il soit un président indépendant de ses choix de partenariat. Mais cette fois, son excellence ne s’est pas dérangé à foutre à coup de balai tous ces idéaux pour incarner à lui seul un programme socio-économique inadapté à la réalité comorienne :
• Pour ne citer qu’un exemple, le président Sambi dans son projet habitat préconise un prêt immobilier pendant que le taux de chômage ne cesse de prendre une direction vertigineuse. Plus de 95 % de la population ne se lèvent pas le matin pour aller travailler. Une masse populaire désœuvrée
• Les retards de salaires pour les fonctionnaires s’accumulent constamment à plus de 9 mois.
• La Diaspora comorienne principale actionnaire de tout investissement au programme de développement demeure outrager par des palabres qui n’ont de sens que pour l’intérêt politique.
Très sûr de son absolutisme dans ses rêves chimériques, d’un sauveur prétentieux, le président Sambi a préféré travailler autour d’un noyau de gens n’ayant pas le monopole du bon conseil et qui finissent par l’orienter à des projets dépourvus de toute étude de faisabilité. Des projets qui échappent la réalité par rapport au quotidien de chaque citoyen comorien. La seule ambiguïté, il dénonce en public être mal entouré mais ne s’est jamais débarrassé.
Quant aux conflits de compétence, une situation dévoratrice s’installa entre Sambi et ses hommes favoris pour ne pas dire ses présidents des Îles autonomes autrefois désignés pour épauler, assouplir, et exorciser sa politique générale en tant que seul garant. Dans cette combinaison erronée le peuple comorien se retrouve encore pris dans un piège, d’où leur rôle se transforme en observateur face à une délivrance totale d’un combat acharné entre Chat et Souris.
• Faut il avoir un bon réquisitoire contre un pouvoir sortant pour séduire un peuple opprimé ?
• Faut il toujours commencer son discours avec des louanges divines pour gagner la confiance du peuple comorien ?
A ces questions, au jour d’aujourd’hui, les comoriens ont assez avalé la pilule, car malgré le sentiment de victimisation la teneur des beaux discours du président Sambi continue de gangrener la conscience et la dignité de ses concitoyens.
Quel est le secret de ce président qui promet le beau temps et qui sème la tempête ?
Une réponse au hasard me parvint du ciel :
Les Comores disposent d’un registre de tous les présidents démocratiquement élus ou par voie du putsch. Chaque président a fait montre de ses capacités à gagner la confiance de son peuple avec à l’appui un système d’expérimentation sur les valeurs humaines.
Il y en a celui qui a exercé son pouvoir de conviction avec le respect des valeurs républicaines.
Un autre a exercé autant de fascinations dans les normes semblables à la démocratie ;
un autre s’imposait par terreur révolutionnaire ;
Et un autre encore s’est servi de son arme conçue pour défendre la nation en cas de guerre pour accaparer le pouvoir ;
A l’instar des choses, il y a celui qui essaye d’utiliser la carte maîtresse laquelle tout croyant ne peut émettre un doute. A savoir qu’à l’origine le peuple comorien est naturellement indissociable avec les répliques du prophète Mahomet .Parmi ces présidents, il y en a forcement un, qui a délibérément brigué l’âme spirituelle du messager de Dieu à travers la faiblesse de son peuple.
A l’approche du dernier jour du grand jugement, le peuple comorien va se retrouver aux bancs des accusés pour homicide et complicité diffamatoire à la parole de Dieu.
Qu’attendons nous, pour nous désavouer de ce ‘Ibilis’ mécréant manipulateur de la parole de Dieu ? ? ? ? ?