L'étau se resserre sur la (ou les) taupe de la CENI qui a orchestré les fraudes électorales du 22 février. La Commission électorale a p...
L'étau se resserre sur la (ou les) taupe de la CENI qui a orchestré les fraudes électorales du 22 février. La Commission électorale a porté plainte samedi 28 février pour faire la lumière sur les bureaux "mis en quarantaine" et punir éventuellement les contrevenants. Plusieurs faits suspects ont émaillé les dernières élections où certains leaders politiques avaient seulement envisagé la victoire.
Le bureau de vote N°2 de Bangoi-Kuni en est l'exemple patent d'une tricherie électorale qui s'opérait sans la moindre crainte. La CENI seule détentrice des procès verbaux cherche à savoir qui a livré aux membres de ce bureau de vote une deuxième copie qui servit à modifier les résultats contrairement aux dispositions du code électoral.
Le bureau de vote N°2 de Bangoi-Kuni en est l'exemple patent d'une tricherie électorale qui s'opérait sans la moindre crainte. La CENI seule détentrice des procès verbaux cherche à savoir qui a livré aux membres de ce bureau de vote une deuxième copie qui servit à modifier les résultats contrairement aux dispositions du code électoral.
Cette enquête qui consiste à démasquer les fraudeurs au sein même de la CENI est capitale dans la mesure où, cette institution devrait dans quelques mois organiser les élections présidentielles et des gouverneurs des îles. Le candidat Abbas Mhadjou est aussi sur la sellette pour avoir tenté d'influencer la décision de la Ceni.