Grand prix 2014 du menteur en politique : N. Sarkozy sacré Nicolas Sarkozy, le président de l'UMP, a remporté le Grand prix 2014 du men...
Grand prix 2014 du menteur en politique : N. Sarkozy sacré
Nicolas Sarkozy, le président de l'UMP, a remporté le Grand prix 2014 du menteur en politique. Il est décerné par un jury de journalistes, pour sensibiliser à la vérification des propos de la classe politique.
C’est une victoire dont il se serait bien passé. Nicolas Sarkozy a remporté le Grand prix 2014 du menteur en politique "pour ses 17 mensonges répétés en boucle pendant sa campagne de réélection à la présidence de l’UMP". Une distinction "décernée avec humour pour inciter la classe politique à moins mentir, pour sensibiliser le journalisme politique à l’importance du fact-checking, et pour encourager le grand public à vérifier la véracité de ce que dit le personnel politique", explique le politologue Thomas Guénolé créateur du prix.
Parmi les nominés figuraient notamment le tandem Anne Hidalgo (PS) et Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) "pour l'ensemble de leurs mensonges pendant la campagne municipale parisienne, l'une comme l'autre" ou encore Marine Le Pen "pour son accumulation d’approximations et d’exagérations : sur le taux de chômage des étrangers, sur l'Europe et la mondialisation, sur les Français djihadistes, ou encore sur la déchéance de nationalité des djihadistes. En outre, pour avoir prétendu que la délinquance était en baisse dans tous les pays développés sauf la France" explique le site du Grand prix du menteur en politique.
Nicolas Sarkozy n’est pas le seul à avoir été récompensé par le jury, composé de journalistes de Libération, du Figaro, de Slate ou encore du Monde. Jérôme Cahuzac (PS) a été récompensé du prix spécial du jury "pour l’ensemble de son œuvre". Le prix "Un certain regard" a été accordé au secrétaire général de l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet, "pour son poker menteur raté dans l’affaire Jouyet-Fillon, car démentir son propre démenti repousse les limites de la créativité mensongère".
Guillaume Pelletier (UMP), a quant à lui récolté le prix du jeune espoir prometteur, notamment sur le coût des syndicats, sur les retraites.
Nicolas Sarkozy, le président de l'UMP, a remporté le Grand prix 2014 du menteur en politique. Il est décerné par un jury de journalistes, pour sensibiliser à la vérification des propos de la classe politique.
C’est une victoire dont il se serait bien passé. Nicolas Sarkozy a remporté le Grand prix 2014 du menteur en politique "pour ses 17 mensonges répétés en boucle pendant sa campagne de réélection à la présidence de l’UMP". Une distinction "décernée avec humour pour inciter la classe politique à moins mentir, pour sensibiliser le journalisme politique à l’importance du fact-checking, et pour encourager le grand public à vérifier la véracité de ce que dit le personnel politique", explique le politologue Thomas Guénolé créateur du prix.
A. Hidalgo, NKM et M. Le Pen nominées
Parmi les nominés figuraient notamment le tandem Anne Hidalgo (PS) et Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP) "pour l'ensemble de leurs mensonges pendant la campagne municipale parisienne, l'une comme l'autre" ou encore Marine Le Pen "pour son accumulation d’approximations et d’exagérations : sur le taux de chômage des étrangers, sur l'Europe et la mondialisation, sur les Français djihadistes, ou encore sur la déchéance de nationalité des djihadistes. En outre, pour avoir prétendu que la délinquance était en baisse dans tous les pays développés sauf la France" explique le site du Grand prix du menteur en politique.
J. Cahuzac, J-P.Jouyet et G. Pelletier récompensés
Nicolas Sarkozy n’est pas le seul à avoir été récompensé par le jury, composé de journalistes de Libération, du Figaro, de Slate ou encore du Monde. Jérôme Cahuzac (PS) a été récompensé du prix spécial du jury "pour l’ensemble de son œuvre". Le prix "Un certain regard" a été accordé au secrétaire général de l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet, "pour son poker menteur raté dans l’affaire Jouyet-Fillon, car démentir son propre démenti repousse les limites de la créativité mensongère".
Guillaume Pelletier (UMP), a quant à lui récolté le prix du jeune espoir prometteur, notamment sur le coût des syndicats, sur les retraites.
Par M6 Info