La crise d’électricité s’amplifie. Deux semaines après l’opération ‘‘ île morte’ ’ qui avait paralysé la vie en Grande-Comore les 9, 10 et ...
La crise d’électricité s’amplifie. Deux semaines après l’opération ‘‘île morte’’ qui avait paralysé la vie en Grande-Comore les 9, 10 et 11 février, aucune solution n’est encore en vue pour fournir de l’électricité régulièrement aux consommateurs.
C’est à croire que la Ma-mwe et le gouvernement n’ont pas reçu le message, continuant à jurer sur l’appui de la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque Mondiale pour solutionner le problème dans trois ans. Inch’allah. L’immédiat ne semble pas préoccuper le gouvernement quand tout le monde sait l’urgence.
La Ma-mwe qui avait annoncé un nouveau calendrier à la veille de la grève générale des 9,10 et 11 février, fait le sourd-muet. Après les trois jours de l’opération « île morte », les régions de Ngazidja sont retombées dans le noir. À Moroni, les coupures intempestives dont la fréquence et la durée se sont amplifiées, constituent le lot quotidien des clients de la Ma-mwe.
C’est à croire que la Ma-mwe et le gouvernement n’ont pas reçu le message, continuant à jurer sur l’appui de la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque Mondiale pour solutionner le problème dans trois ans. Inch’allah. L’immédiat ne semble pas préoccuper le gouvernement quand tout le monde sait l’urgence.
La Ma-mwe qui avait annoncé un nouveau calendrier à la veille de la grève générale des 9,10 et 11 février, fait le sourd-muet. Après les trois jours de l’opération « île morte », les régions de Ngazidja sont retombées dans le noir. À Moroni, les coupures intempestives dont la fréquence et la durée se sont amplifiées, constituent le lot quotidien des clients de la Ma-mwe.
L’action de 72 heures du mouvement social Madji na Mwendje aura-t-il été inutile ? Incapables de proposer des solutions pour répondre aux attentes de la population, les autorités ont usé de la désinformation et des forces armées pour museler la population et l’empêcher de dire son droit à l’eau et à l’électricité.
Quant au mouvement Madji na mwendje, il ne s’est plus manifesté depuis le 11 février alors que la population reste dans l’attente de fourniture de courant et de l’eau, d’un bilan des trois journées ou d’une autre action plus conséquente.
A.A.Hamdi