L’échec planifié du gouvernement

Si l’ancien présidant Sambi avait averti que depuis le 26 mai 2016, le parti UPDC de l’actuel président Ikililou Dhoinine sera aux archiv...

Si l’ancien présidant Sambi avait averti que depuis le 26 mai 2016, le parti UPDC de l’actuel président Ikililou Dhoinine sera aux archives des partis politiques qui ont déjà disparu, l’actualité électorale anticipe effectivement la disparition rapide ce de parti. L’UPDC risque d’être le premier parti au pouvoir qui va disparaitre sans la moindre trace ni n’avoir gagné aucune élection.
C’est vrai la politique a ses raison que parfois personne n’est peut l’expliquer mais l’échec planifié du gouvernement devient un case tête pour la population. 

 

A sa propre initiative, le président Ikililou a ordonné ses collaborateurs de créer un parti politique au même model que l’ANC de Nelson Mandela sauf qu’il n’a rien de commun avec Mandela. Mais la réalité, il voulait un parti parce que Sambi a crée un parti en oubliant qu’il y a une très grande différence entre lui est Sambi. On ne veut plus revenir sur ce que tous le monde sait mais juste pour affirmer que son parti n’est pas en mesure de rivaliser celui de Sambi puisque les leaders de son parti planifient effectivement sa propre échec. Nul ne peut être indifférent que l’UPDC ne veut pas gagner ses élections et que le gouvernement contribue activement à l’échec des ses candidats et à la députation et aux conseils des iles. Les épreuves sont prévisibles et même certains candidats sont au courant. Mais l’énigme reste à savoir qui va bénéficier cet échec, pourquoi le président IKILILOU prépare son échec, comment se fait-il que l’UPDC le parti au pouvoir est plus vulnérable que les partis de l’opposition, pourquoi Mamadou et IKI ont lâché certains candidats ? Toutes ses questions auront des réponses claires et palpables les 25 janvier prochains. Mais jusqu'à présent, on peut affirmer que l’UPDC est en mauvaise posture. Le parti est lâché par ses ténors et la jeunesse qui baigne au chômage.


Jusqu’à présent, le gouvernement n’a versé aucun sous pour leurs candidats. Le parti au pouvoir se dit n’est pas avoir de l’argent. Mais l’on comprend que c’est une manière de lâché leurs candidat si bien que les directeurs généraux proches de Mamadou et les ministres proches d’IKI ont refusé de se présentés aux élections. Ce lui qui est derrière tous sa, veut rendre la vie impossible aux ministres de relations extérieures et le ministre de l’éducation, Les seuls grands noms qui ont décidé de défendre la politique de IKI. Le comble en est qu’aucun candidat n’est en mesure de donner de promesse surtout à la jeunesse qui ne cherche qu’un contrat de travail alors que le président IKI a censuré il y a trois ans le recrutement. 

 

Les jeunes ses demandent a quoi bon de suivre l’UPDC alors qu’au même moment l’exécutif de Ngazidja a signé plus de 800 contrats de plaisances pour des fins électoraux. Un nombre qui va faire augmenter la masse salariale à plus de 70 millions des nos francs. Et le parti du président n’arrive pas à signer même un seul contrat en raison de répondre aux exigences du FMI et de la Banque Mondiale sur la maitrise de la masse salariale. Mouigni Baraka devient l’homme fort et à la fois l’incontournable que Mamadou et IKI ont peur de lui. Là, on se demande s’il y a un autre budget de plus attribué à l’exécutif de Ngazidja ou c’est une manœuvre politicienne pour planifier l’échec des candidats de l’UPDC.

En tout état de cause, le parti au pouvoir est en mauvaise posture partout, le parti du président IKI n’est plus en mesure de se rivaliser avec celui du l’ancien président SAMBI ni aucun de parti politiques qui sont dans le pays. Il est évidant que les pronostiques ne donnent aucune chance à l’UPDC. Et on donnera raison à ceux qui disent que l’UPDC ne survivra pas à partir du 26 mai 2016.

Nakidine Hassane