Dommage ! « Hari, mwambiwa wufu, kadzishiwa wuwadé » : Ces partis politiques, " Pec", "Ridja" entre autres, se considè...
Dommage
! « Hari, mwambiwa wufu, kadzishiwa wuwadé » : Ces partis politiques, "
Pec", "Ridja" entre autres, se considèrent déjà dissous...
Aux Comores, depuis la loi de la guillotine des partis politiques (une loi que nous avons contesté, mais qui est adoptée), un parti politique doit avoir au moins 4 députés issus des trois îles. Dans cette condition, comment peut-on imaginer qu'un parti comme le « Pec » de Fahmi Said Ibrahim et le « Ridja » de Saïd Larifou, qui n'ont aucun candidat ni à Anjouan ni à Mohéli, souhaiteraient une élection législative aux Comores ?
Cet article surprendra peut-être, puisque le débat sur le sujet, n’existe tout simplement pas. Pourtant, l'assemblée nationale comorienne a adopté la guillotine des partis politiques en votant la fameuse loi sur les partis politique. Certains partis, n'ont même pas présenté des candidats dans les 3 îles. de ce fait, non seulement ces formations politiques n'ont rien à espérer, mais aussi, ils n'ont rien à gagner qu'il y est des élections. n'est ce pas ? Pour dire la vérité, le «Ridja »et le « Pec » ont déjà signé leur disparition pure et simple. Mais, est ce que les Leaders de ces formations politiques, auront le courage de dire la vérité aux adhérents ? En tout cas, en application de cette fameuse loi, et au vu des candidatures enregistrées à la CENI, on se demande s'il y aura plus de quatre partis politiques aux Comores. Adieu les 1000 et 1 partis politiques comoriens ?
J'aimerai savoir tout de même, la position de chacun des Leaders politiques, sur cette fameuse loi des partis politiques. Qui souhaiterait la maintenir et qui souhaiterait l'abolir ?
Rappelons quand même, que lorsque cette proposition de loi sur les partis politiques était en discussion à l'assemblée nationale, nous étions nombreux à crier le danger. Malheureusement, cette loi a été voté. Elle est en vigueur. Désormais, on exige à un parti politique, quatre Députés à l’Assemblée et que ceux-ci viennent de toutes les îles pour avoir le droit d’exister.
Vous avez compris chers internautes : Nombreux sont les partis politiques qui se considèrent déjà dissous. Comme quoi !! " Hari ! mwambiwa wufu, kadzishiwa wuwadé".
Dommage ! Allons-nous demander au parti "Pec" de se considérer comme dissous ? Franchement, nous allons demander au parti "Ridja" et autres de se considérer comme dissous ?
Mrimdu
Aux Comores, depuis la loi de la guillotine des partis politiques (une loi que nous avons contesté, mais qui est adoptée), un parti politique doit avoir au moins 4 députés issus des trois îles. Dans cette condition, comment peut-on imaginer qu'un parti comme le « Pec » de Fahmi Said Ibrahim et le « Ridja » de Saïd Larifou, qui n'ont aucun candidat ni à Anjouan ni à Mohéli, souhaiteraient une élection législative aux Comores ?
Cet article surprendra peut-être, puisque le débat sur le sujet, n’existe tout simplement pas. Pourtant, l'assemblée nationale comorienne a adopté la guillotine des partis politiques en votant la fameuse loi sur les partis politique. Certains partis, n'ont même pas présenté des candidats dans les 3 îles. de ce fait, non seulement ces formations politiques n'ont rien à espérer, mais aussi, ils n'ont rien à gagner qu'il y est des élections. n'est ce pas ? Pour dire la vérité, le «Ridja »et le « Pec » ont déjà signé leur disparition pure et simple. Mais, est ce que les Leaders de ces formations politiques, auront le courage de dire la vérité aux adhérents ? En tout cas, en application de cette fameuse loi, et au vu des candidatures enregistrées à la CENI, on se demande s'il y aura plus de quatre partis politiques aux Comores. Adieu les 1000 et 1 partis politiques comoriens ?
J'aimerai savoir tout de même, la position de chacun des Leaders politiques, sur cette fameuse loi des partis politiques. Qui souhaiterait la maintenir et qui souhaiterait l'abolir ?
Rappelons quand même, que lorsque cette proposition de loi sur les partis politiques était en discussion à l'assemblée nationale, nous étions nombreux à crier le danger. Malheureusement, cette loi a été voté. Elle est en vigueur. Désormais, on exige à un parti politique, quatre Députés à l’Assemblée et que ceux-ci viennent de toutes les îles pour avoir le droit d’exister.
Vous avez compris chers internautes : Nombreux sont les partis politiques qui se considèrent déjà dissous. Comme quoi !! " Hari ! mwambiwa wufu, kadzishiwa wuwadé".
Dommage ! Allons-nous demander au parti "Pec" de se considérer comme dissous ? Franchement, nous allons demander au parti "Ridja" et autres de se considérer comme dissous ?
Mrimdu