Le candidat malheureux à la candidature de la commune de Moroni Abass Mohamed El-Had se plie à la décision de la cours constitutionnelle ma...
Le candidat malheureux à la candidature de la commune de Moroni Abass Mohamed El-Had se plie à la décision de la cours constitutionnelle malgré qu’il ne soit satisfait de l’interprétation que la haute juridiction a faite à sa candidature quant au motif du rejet.
Alors qu’il aspire à la fonction suprême au sommet de la commune de Moroni et tient à ce qu’il soit aux rendez le mois prochain, l’ancien directeur de cabinet du ministère de l’intérieur Abass Mohamed El-Had déclare avoir été victime d’une erreur matériel qui a causé le rejet de sa liste. Il est vrai que plusieurs prétendant rejetés à ces élections, ont sombré dans le silence Mohamed El-Had vient de retrouver de la voix et du discours non pas pour indexer la cours mais pour faire la moral et rassurer ses sympathisants qu’ils ont perdu seulement une bataille mais pas la guerre. Tout naturellement donc, Abass Mohamed El-had respecte la décision de la cour malgré qu’il n’est pas satisfait. Des propos qu’on n’a pas l’habitude d’entendre ici aux Comores surtout pour un candidat malheureux. « Je salut la sagesse de la cours et j’accuse personne. A mon avis le rejet de notre candidature est une erreur partagée. Si je le dénonce devant la presse c’est pour qu’on tire les leçons pour préparer l’avenir. » A –t-il enseigné.
Cette position de l’ancien directeur de cabinet n’étonne personne. Ce qui surprend c’est le fait que celui qui aspire à des fonctions au sommet de la commune déclare ouvertement adhérer à une démarche légale puisque n’ayant aucun disfonctionnement juridique ni réglementaire. « On regrette énormément notre rejet car on voulait qu’on nous élimine aux urnes mais pas sur table. Mais il ne faut pas regarder ce qui est légale, il faut voir ce qui est juste. Je respect la décision de la cours mais je ne suis pas content, » a-t-il précisé. Lui de poursuivre que « le motif de notre rejet par la CENI était le non respect de l’alternance et un numéro de carte d’électeur. Nous avons communiqué et réparé ces deux soucis. Mais à la surprise générale, la cours a rejeté notre liste au motif qu’un nom est mal écrit dans la seconde liste. Au lieu d’écrire Farida Ahmed, ils ont vue Farida Mohamed.
Ce que nous qualifions d’une erreur matériel qui pour n’est pas être de notre part. Raison de plus j’accuse personne mais je parle d’une erreur partagée, » a éclairé l’ancien directeur de cabinet.
Restant sur l’adage africain qui dit que : « Qui veut aller loin ménage sa monture ». Il ne sert à rien d’entériner ses ambitions lorsqu’il a des choses à proposer au peuple. Il va faire tout ce qu’il peut en saisissant les institutions compétentes pour trouver un sort à sa candidature. Toutefois, ils n’ont pas affiché la couleur qu’ils vont soutenir dans les prochaines élections.
Nakidine Hassane
Alors qu’il aspire à la fonction suprême au sommet de la commune de Moroni et tient à ce qu’il soit aux rendez le mois prochain, l’ancien directeur de cabinet du ministère de l’intérieur Abass Mohamed El-Had déclare avoir été victime d’une erreur matériel qui a causé le rejet de sa liste. Il est vrai que plusieurs prétendant rejetés à ces élections, ont sombré dans le silence Mohamed El-Had vient de retrouver de la voix et du discours non pas pour indexer la cours mais pour faire la moral et rassurer ses sympathisants qu’ils ont perdu seulement une bataille mais pas la guerre. Tout naturellement donc, Abass Mohamed El-had respecte la décision de la cour malgré qu’il n’est pas satisfait. Des propos qu’on n’a pas l’habitude d’entendre ici aux Comores surtout pour un candidat malheureux. « Je salut la sagesse de la cours et j’accuse personne. A mon avis le rejet de notre candidature est une erreur partagée. Si je le dénonce devant la presse c’est pour qu’on tire les leçons pour préparer l’avenir. » A –t-il enseigné.
Cette position de l’ancien directeur de cabinet n’étonne personne. Ce qui surprend c’est le fait que celui qui aspire à des fonctions au sommet de la commune déclare ouvertement adhérer à une démarche légale puisque n’ayant aucun disfonctionnement juridique ni réglementaire. « On regrette énormément notre rejet car on voulait qu’on nous élimine aux urnes mais pas sur table. Mais il ne faut pas regarder ce qui est légale, il faut voir ce qui est juste. Je respect la décision de la cours mais je ne suis pas content, » a-t-il précisé. Lui de poursuivre que « le motif de notre rejet par la CENI était le non respect de l’alternance et un numéro de carte d’électeur. Nous avons communiqué et réparé ces deux soucis. Mais à la surprise générale, la cours a rejeté notre liste au motif qu’un nom est mal écrit dans la seconde liste. Au lieu d’écrire Farida Ahmed, ils ont vue Farida Mohamed.
Ce que nous qualifions d’une erreur matériel qui pour n’est pas être de notre part. Raison de plus j’accuse personne mais je parle d’une erreur partagée, » a éclairé l’ancien directeur de cabinet.
Restant sur l’adage africain qui dit que : « Qui veut aller loin ménage sa monture ». Il ne sert à rien d’entériner ses ambitions lorsqu’il a des choses à proposer au peuple. Il va faire tout ce qu’il peut en saisissant les institutions compétentes pour trouver un sort à sa candidature. Toutefois, ils n’ont pas affiché la couleur qu’ils vont soutenir dans les prochaines élections.
Nakidine Hassane