Le secrétaire d'Etat à l'Asile et à la Migration Theo Francken (N-VA) a l'intention d'instaurer un droit de rôle à payer ...
Le secrétaire d'Etat à l'Asile et à la Migration Theo Francken (N-VA) a l'intention d'instaurer un droit de rôle à payer par ceux qui demandent un droit de séjour en Belgique. Cela concerne les personnes qui viennent dans notre pays pour travailler, étudier, qui demandent une régularisation ou un regroupement familial. "Les montants ne sont pas encore fixés", confie-t-il toutefois samedi dans La Libre Belgique.
Des exceptions seront prévues entre autres pour les demandeurs d'asile, ceux qui peuvent bénéficier d'une protection subsidiaire, les mineurs non accompagnés, les ressortissants européens et leur famille, les régularisations médicales.
La mesure, qui se trouve dans la loi-programme, sera mise en œuvre rapidement, affirme Théo Francken.
S'exprimant sur les rapatriements forcés, le secrétaire d’État affirme qu'"il n'est pas bon pour la cohésion sociale que les immigrés qui ont commis un délit en Belgique ne soient pas amenés à retourner dans leur pays. Je mettrai la priorité sur ces gens-là."
Le nationaliste est enfin revenu sur la polémique dont il a fait l'objet au début de son mandat, notamment à la suite de ses déclarations sur la plus-value des communautés congolaise, algérienne et marocaine. "Je n'ai pas et n'avais jamais eu l'intention de heurter ou d'offenser qui que ce soit. (...) Je ne suis pas raciste. Mon but, c'était seulement de poser la question sur le modèle vers lequel il faut évoluer."
Des exceptions seront prévues entre autres pour les demandeurs d'asile, ceux qui peuvent bénéficier d'une protection subsidiaire, les mineurs non accompagnés, les ressortissants européens et leur famille, les régularisations médicales.
La mesure, qui se trouve dans la loi-programme, sera mise en œuvre rapidement, affirme Théo Francken.
S'exprimant sur les rapatriements forcés, le secrétaire d’État affirme qu'"il n'est pas bon pour la cohésion sociale que les immigrés qui ont commis un délit en Belgique ne soient pas amenés à retourner dans leur pays. Je mettrai la priorité sur ces gens-là."
Le nationaliste est enfin revenu sur la polémique dont il a fait l'objet au début de son mandat, notamment à la suite de ses déclarations sur la plus-value des communautés congolaise, algérienne et marocaine. "Je n'ai pas et n'avais jamais eu l'intention de heurter ou d'offenser qui que ce soit. (...) Je ne suis pas raciste. Mon but, c'était seulement de poser la question sur le modèle vers lequel il faut évoluer."