L'ex-président malgache Marc Ravalomanana, en résidence surveillée depuis son retour lundi dans le pays, ne sera pas expulsé et sera ...
L'ex-président malgache Marc Ravalomanana, en résidence surveillée depuis son retour lundi dans le pays, ne sera pas expulsé et sera invité à participer au processus de réconciliation nationale, a annoncé à l'AFP le directeur de cabinet de la présidence Henry Rabary-Njaka.
"Nous ne sommes pas un pays qui va exiler ou expulser ses propres ressortissants. Ce n'est pas du tout dans la mentalité. Il est là et on espère que M. Ravalomanana participe effectivement à ce processus" de réconciliation nationale, a déclaré M. Rabary-Njaka, interrogé sur le sort de M. Ravalomanana, revenu clandestinement à Madagascar en début de semaine.
A propos de la libération de l'ancien chef d'Etat, envoyé à Diego Suarez dans le nord du pays, où il est retenu dans une résidence présidentielle, sans téléphone ni moyen de communiquer avec l'extérieur, le directeur de cabinet a répondu: "Je pense que la situation va évoluer très, très vite ça j'en suis convaincu", sans toutefois annoncer aucune date pour sa libération. Samedi, une manifestation de 200 à 300 partisans de M. Ravalomanana a été dispersée au gaz lacrymogène par la police à Antananarivo. AFP
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
"Nous ne sommes pas un pays qui va exiler ou expulser ses propres ressortissants. Ce n'est pas du tout dans la mentalité. Il est là et on espère que M. Ravalomanana participe effectivement à ce processus" de réconciliation nationale, a déclaré M. Rabary-Njaka, interrogé sur le sort de M. Ravalomanana, revenu clandestinement à Madagascar en début de semaine.
A propos de la libération de l'ancien chef d'Etat, envoyé à Diego Suarez dans le nord du pays, où il est retenu dans une résidence présidentielle, sans téléphone ni moyen de communiquer avec l'extérieur, le directeur de cabinet a répondu: "Je pense que la situation va évoluer très, très vite ça j'en suis convaincu", sans toutefois annoncer aucune date pour sa libération. Samedi, une manifestation de 200 à 300 partisans de M. Ravalomanana a été dispersée au gaz lacrymogène par la police à Antananarivo. AFP