PALAIS DE MARODJOU, 14 juillet 2014 -Le calvaire quotidien du transport universitaire et scolaire devrait prendre fin à la rentrée proc...
PALAIS DE MARODJOU, 14 juillet 2014 -Le calvaire quotidien du transport universitaire et scolaire devrait prendre fin à la rentrée prochaine du fait de la création en c ours d’une nouvelle société de transport public à l’initiative du gouvernorat de Ngazidja.
Si le projet vise les transports publics en général, il commencera, dans un premier temps, à desservir l’université et les écoles. C’est Ventura Associates qui a été retenue par le gouvernorat pour être son partenaire stratégique dans ce projet d’entreprise mixte.
Ludovic Lemoulec, directeur de cette société de conseil et de gestion, présente à Lausanne, Abidjan et Bamako, vient de séjourner à Moroni et a pu discuter des aspects pratiques avec des responsables du gouvernorat. M. Lemoulec a laissé sur place des techniciens de Ventura en train de réaliser une étude technique .
Par ailleurs, l’homme d’affaires a indiqué que sa société souhait investir dans l’agro-alimentaire dans le cadre d’un éventuel partenariat avec l’entreprise de financement Agro Investim et des organisations de paysannes ivoiriennes.Ngazi Ngomé
Si le projet vise les transports publics en général, il commencera, dans un premier temps, à desservir l’université et les écoles. C’est Ventura Associates qui a été retenue par le gouvernorat pour être son partenaire stratégique dans ce projet d’entreprise mixte.
Ludovic Lemoulec, directeur de cette société de conseil et de gestion, présente à Lausanne, Abidjan et Bamako, vient de séjourner à Moroni et a pu discuter des aspects pratiques avec des responsables du gouvernorat. M. Lemoulec a laissé sur place des techniciens de Ventura en train de réaliser une étude technique .
Par ailleurs, l’homme d’affaires a indiqué que sa société souhait investir dans l’agro-alimentaire dans le cadre d’un éventuel partenariat avec l’entreprise de financement Agro Investim et des organisations de paysannes ivoiriennes.Ngazi Ngomé