Humiliés à Hahaya, les morts-vivants vont appeler à un soulèvement populaire L’accueil exceptionnel qui a été réservé au Président Ikililo...
Humiliés à Hahaya, les morts-vivants vont appeler à un soulèvement populaire
L’accueil exceptionnel qui a été réservé au Président Ikililou Dhoinine à l’Aéroport de Hahaya ce lundi 30 juin 2014 a plusieurs significations politiques. D’une part, la population a tenu à réaffirmer la légitimité du chef de l’État et le bien-fondé constitutionnel de toutes ses prérogatives qui lui permettent de «nommer aux emplois civils et militaires», prérogatives qui permettent de maintenir légalement à ses fonctions Hamada Madi Boléro, son Directeur de Cabinet chargé de la Défense. D’autre part, la population a tenu à affirmer que d’anciens dirigeants ne sauraient donner des ordres aux citoyens au-dessus de la tête du Président de la République et pousser le peuple à se rebeller contre le chef de l’État. Cette prise de conscience est d’autant plus importante qu’à Anjouan, on n’a pas vu Ahmed Abdou (ancien Directeur de Cabinet du Président Ahmed Abdallah), Nassuf Ahmed Abdallah, Saïd-Ali Mohamed, Ahmed Abdallah Sourette (ancien ministre et ancien Président de la Cour constitutionnelle) et bien d’autres dignitaires anjouanais prendre prétexte d’une parole pour tenter de pousser la population à des actes désespérés contre le chef de l’État. À Mohéli, on n’a pas vu Mohamed et Ali Hassanaly, Mohamed Fazul, Mohamed Saïd Fazul, Ali Abdou, Saïd Dhoifir Bounou et d’autres dignitaires mohéliens essayer de manipuler les gens pour les pousser à se rebeller contre l’autorité de l’État et humilier le Président de la République dans la rue, par pure haine basée sur l’insularité. Pourtant, à Mohéli et à Anjouan, on conteste.
Donc, le cri de haine poussé à Mitsamiouli le samedi 28 juin 2014 par d’anciens politiciens contre le Président de la République uniquement parce qu’il est de Mohéli a été entendu par le peuple comorien, mais le peuple comorien a été scandalisé par cette démarche haineuse, méprisante et méprisable. Quand le peuple est parti accueillir le Président de la République et rejeter les prétentions infantiles des morts-vivants, ces derniers n’ont pas digéré cette grave humiliation, qui aurait dû les inciter à plus d’intelligence et de retenue. Qu’est-ce qu’ils ont concocté? Une nouvelle bêtise à la hauteur de leur «intelligence politique». En effet, pendant ce mois de Ramadan, au lieu de se recueillir et respecter la sacralité de ce mois de piété, ils sont en train de mobiliser les jeunes à Moroni pour les pousser dans les rues dès la fin du Ramadan car, dans l’état actuel des choses, ils sont passés à la phase n°3 de leur machination: ils veulent aller jusqu’à chasser le Président Ikililou Dhoinine du pouvoir, et cela uniquement parce qu’il ne leur distribue pas des enveloppes d’argent et des bons de carburant. Ces gens-là se fichent de la mémoire de Saïd Mohamed Cheikh comme d’une guigne. Ils s’en servent. Ils ne savent même pas qu’en leur distribuant de l’argent qu’ils n’ont pas gagné, le Président de la République serait dans une illégalité totale et eux-mêmes avec. Mais, ils s’en moquent. Ce qu’ils veulent, c’est l’argent de l’État, même s’il doit passer par des voies illégales. Il ne s’agit pas de leur pension de retraite, mais des «enveloppes».
En tout état de cause, on s’achemine vers une nouvelle guerre entre les politiciens du passé et le Président du présent. Quand on étudie la personnalité des personnes qui allument le feu de la haine, on retrouve en première ligne un ancien Gouverneur de la Grande-Comore, ancien Ambassadeur et ancien ministre des Comores qui croit avoir le droit d’être choyé illégalement par le Président de la République, alors que les Comores ne sont pas une garderie où on distribue des bonbons aux enfants. On retrouve également un homme qui a beaucoup épluché les bananes, fait la plonge, lavé le linge et fait le ménage dans les cuisines de la Présidence de la République, dans l’espoir d’être nommé ministre. Or, dès le début de son mandat, le Président Ikililou Dhoinine avait dit: «Je sais pourquoi il s’agite. En tout cas, il peut continuer à s’agiter, mais il n’aura pas le poste de ministre qu’il veut. Je ne ferais jamais confiance à cet individu». Non seulement cet homme est en rogne contre le chef de l’État, qui ne l’a pas nommé, mais en plus contre Hamada Madi Boléro, qu’il accuse d’avoir empêché sa nomination, alors qu’Ikililou Dhoinine est investi Président de la République le 26 mai 2011, pendant que Hamada Madi Boléro est nommé Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense le 12 octobre 2012.
Enfin, nous retrouvons le plus frustré des morts-vivants: parce qu’il a favorisé l’ascension politique d’Ikililou Dhoinine, Ahmed Sambi croyait qu’il avait le droit d’être Président à sa place. Quand Ikililou Dhoinine a refusé d’être son homme lige, la guerre de la haine a éclaté. C’est Ahmed Sambi qui remplit les poches des anciens et nourrit les rêves insensés de pouvoir des plus jeunes, à dessein de déstabiliser le Président de la République et le renverser le moment venu, uniquement pour qu’il s’installe au pouvoir car il doit remettre deux blocs de pétrole à des étrangers qui réclament soit «leur» «pétrole», soit la restitution de leur argent. En d’autres termes, les Comores en sont réduites à servir de caisse de résonnance aux frustrations et déceptions personnelles à tous ceux qui cherchent à assouvir leurs appétits de pouvoir et d’argent sous Ikililou Dhoinine et à qui on a dit d’aller voir ailleurs. C’est tout simplement inquiétant.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 4 juillet 2014.
L’accueil exceptionnel qui a été réservé au Président Ikililou Dhoinine à l’Aéroport de Hahaya ce lundi 30 juin 2014 a plusieurs significations politiques. D’une part, la population a tenu à réaffirmer la légitimité du chef de l’État et le bien-fondé constitutionnel de toutes ses prérogatives qui lui permettent de «nommer aux emplois civils et militaires», prérogatives qui permettent de maintenir légalement à ses fonctions Hamada Madi Boléro, son Directeur de Cabinet chargé de la Défense. D’autre part, la population a tenu à affirmer que d’anciens dirigeants ne sauraient donner des ordres aux citoyens au-dessus de la tête du Président de la République et pousser le peuple à se rebeller contre le chef de l’État. Cette prise de conscience est d’autant plus importante qu’à Anjouan, on n’a pas vu Ahmed Abdou (ancien Directeur de Cabinet du Président Ahmed Abdallah), Nassuf Ahmed Abdallah, Saïd-Ali Mohamed, Ahmed Abdallah Sourette (ancien ministre et ancien Président de la Cour constitutionnelle) et bien d’autres dignitaires anjouanais prendre prétexte d’une parole pour tenter de pousser la population à des actes désespérés contre le chef de l’État. À Mohéli, on n’a pas vu Mohamed et Ali Hassanaly, Mohamed Fazul, Mohamed Saïd Fazul, Ali Abdou, Saïd Dhoifir Bounou et d’autres dignitaires mohéliens essayer de manipuler les gens pour les pousser à se rebeller contre l’autorité de l’État et humilier le Président de la République dans la rue, par pure haine basée sur l’insularité. Pourtant, à Mohéli et à Anjouan, on conteste.
Donc, le cri de haine poussé à Mitsamiouli le samedi 28 juin 2014 par d’anciens politiciens contre le Président de la République uniquement parce qu’il est de Mohéli a été entendu par le peuple comorien, mais le peuple comorien a été scandalisé par cette démarche haineuse, méprisante et méprisable. Quand le peuple est parti accueillir le Président de la République et rejeter les prétentions infantiles des morts-vivants, ces derniers n’ont pas digéré cette grave humiliation, qui aurait dû les inciter à plus d’intelligence et de retenue. Qu’est-ce qu’ils ont concocté? Une nouvelle bêtise à la hauteur de leur «intelligence politique». En effet, pendant ce mois de Ramadan, au lieu de se recueillir et respecter la sacralité de ce mois de piété, ils sont en train de mobiliser les jeunes à Moroni pour les pousser dans les rues dès la fin du Ramadan car, dans l’état actuel des choses, ils sont passés à la phase n°3 de leur machination: ils veulent aller jusqu’à chasser le Président Ikililou Dhoinine du pouvoir, et cela uniquement parce qu’il ne leur distribue pas des enveloppes d’argent et des bons de carburant. Ces gens-là se fichent de la mémoire de Saïd Mohamed Cheikh comme d’une guigne. Ils s’en servent. Ils ne savent même pas qu’en leur distribuant de l’argent qu’ils n’ont pas gagné, le Président de la République serait dans une illégalité totale et eux-mêmes avec. Mais, ils s’en moquent. Ce qu’ils veulent, c’est l’argent de l’État, même s’il doit passer par des voies illégales. Il ne s’agit pas de leur pension de retraite, mais des «enveloppes».
Cette nouvelle tentative des morts-vivants a provoqué une colère noire chez le notable Mohamed Soilihi, grand baron d’Ivoini en Grande-Comore qui, de la Région parisienne où il se trouve pour se reposer, n’est pas resté inactif. Son téléphone sonne toutes les 5 minutes, et lui-même ne compte pas quand il faut appeler tel ou tel à la Grande-Comore pour s’assurer de la réalité d’une information ou pour appeler à la prudence et à la dignité tel notable: «Je viens de recevoir un appel venant d’untel, qui me remercie pour la capacité de persuasion dont j’ai fait preuve pour tirer son père de la honte qu’est la cabale des anciens politiciens qui se servent aujourd’hui de la notabilité et dans laquelle il s’était maladroitement impliqué. J’ai été choqué quand j’ai entendu quelqu’un de la carrure de Saïd Hassane Saïd Hachim demander à la population de ne pas se rendre aux endroits où se trouverait le Président de la République, y compris dans les cérémonies de la Fête nationale du 6-Juillet. La Fête nationale! Est-ce que ces gens-là se rendent compte du ridicule dans lequel ils sont? Maintenant, ces anciens politiciens sont devenus des mauvais garçons. Ils sont devenus des mauvais garçons parce qu’ils organisent, dès la fin du mois de Ramadan, un soulèvement populaire contre le Président Ikililou Dhoinine, que je considère comme un fils et que Saïd Hassane Saïd Hachim et ses hommes considèrent comme un ennemi, alors qu’ils font de la politique dans deux siècles différents. Je n’aurais jamais cru voir une telle honte un jour. C’est un immense scandale, une honte incommensurable».
Un autre notable, proche du père Mohamed Soilihi, et qui a requis l’anonymat, n’est pas tendre à l’égard des morts-vivants: «Je suis scandalisé. Je ne peux pas comprendre l’exagération qui pousse quelqu’un comme Saïd Hassane Saïd Hachim à réinvestir un champ politique qu’il avait quitté depuis des années. Il légitime sa tentative malheureuse de retour sur la scène politique uniquement par le fait que son grand-père était Sultan. Ça ne fait pas du tout sérieux. Aujourd’hui, venir nous ressortir des vieilleries historiques du XIXème siècle uniquement pour renier toute légitimité à un chef d’État élu, c’est le comportement d’un homme aigri et rabaissé par la méchanceté. Ces excités gagnés par la sénilité et par la maladie d’Alzheimer sont en train de dire qu’un Mohélien n’est pas digne d’être Président aux Comores. Nous autres Grands-Comoriens sommes connus pour nos interventions auprès des détenteurs du pouvoir pour demander des nominations pour les nôtres et non pour exiger les limogeages des autres. J’ai écouté les paroles de Hamada Madi Boléro qui servent de prétexte pour déclencher la fureur des vieux. Aucun mensonge. Il a dit une vérité que tout le monde connaît. Où est le mal alors? Il y a autre chose dans cette affaire. Même si Hamada Madi Boléro avait dit un mensonge, d’une part, il aurait été maladroit de demander son limogeage, et d’autre part, il aurait été stupide de donner au Président de la République des ordres en public pour commettre une injustice. C’est une façon qui démontre les excès et les outrances de ces gens qui s’accrochent au XIXème siècle pour se croire tout permis».
En tout état de cause, on s’achemine vers une nouvelle guerre entre les politiciens du passé et le Président du présent. Quand on étudie la personnalité des personnes qui allument le feu de la haine, on retrouve en première ligne un ancien Gouverneur de la Grande-Comore, ancien Ambassadeur et ancien ministre des Comores qui croit avoir le droit d’être choyé illégalement par le Président de la République, alors que les Comores ne sont pas une garderie où on distribue des bonbons aux enfants. On retrouve également un homme qui a beaucoup épluché les bananes, fait la plonge, lavé le linge et fait le ménage dans les cuisines de la Présidence de la République, dans l’espoir d’être nommé ministre. Or, dès le début de son mandat, le Président Ikililou Dhoinine avait dit: «Je sais pourquoi il s’agite. En tout cas, il peut continuer à s’agiter, mais il n’aura pas le poste de ministre qu’il veut. Je ne ferais jamais confiance à cet individu». Non seulement cet homme est en rogne contre le chef de l’État, qui ne l’a pas nommé, mais en plus contre Hamada Madi Boléro, qu’il accuse d’avoir empêché sa nomination, alors qu’Ikililou Dhoinine est investi Président de la République le 26 mai 2011, pendant que Hamada Madi Boléro est nommé Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense le 12 octobre 2012.
Enfin, nous retrouvons le plus frustré des morts-vivants: parce qu’il a favorisé l’ascension politique d’Ikililou Dhoinine, Ahmed Sambi croyait qu’il avait le droit d’être Président à sa place. Quand Ikililou Dhoinine a refusé d’être son homme lige, la guerre de la haine a éclaté. C’est Ahmed Sambi qui remplit les poches des anciens et nourrit les rêves insensés de pouvoir des plus jeunes, à dessein de déstabiliser le Président de la République et le renverser le moment venu, uniquement pour qu’il s’installe au pouvoir car il doit remettre deux blocs de pétrole à des étrangers qui réclament soit «leur» «pétrole», soit la restitution de leur argent. En d’autres termes, les Comores en sont réduites à servir de caisse de résonnance aux frustrations et déceptions personnelles à tous ceux qui cherchent à assouvir leurs appétits de pouvoir et d’argent sous Ikililou Dhoinine et à qui on a dit d’aller voir ailleurs. C’est tout simplement inquiétant.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Vendredi 4 juillet 2014.