Toutes les recherches ont pu établir un lien entre une utilisation problématique d’internet et la négligence des autres dimensions de la vie...
Toutes les recherches ont pu établir un lien entre une utilisation problématique d’internet et la négligence des autres dimensions de la vie notamment les compétences sociales, psychologiques, scolaires et professionnelles.
Les « cyberaccro » sous investissent inévitablement leurs devoirs en consacrant des heures entières à surfer sur la toile et en exploitant l’ordinateur pendant tout le temps qu’ils ont après l’école et ceci bien évidement au dépend du travail scolaire.
De plus, certains problèmes physiques et médicaux, ainsi que certains troubles psychologiques sont directement en lien avec la cyberdépendance. Pour ce qui concerne les problèmes médicaux, on cite les maux de dos, les maux de tête, la raideur musculaire et la sécheresse des yeux mais aussi le manque de sommeil qui peut être à l’origine d’une fatigue excessive créant souvent la diminution des performances académiques et professionnelles. A leur tour, les conséquences psychologiques sont autant importantes pouvant se manifester par des pensées obsédantes, le sentiment de honte et de culpabilité, un sentiment de vide, une perte de contrôle sur sa vie, une faible estime de soi, etc. Enfin, comme il a été dit, l’impact n’est pas des moindres quant à la vie professionnelle, conjugale, amicale, récréative de la personne et de son entourage ce qui est directement liée à la santé mentale de celle-ci. Selon le département de prévention suisse, plus de la moitié des utilisateurs dépendants à internet souffriraient d’une autre addiction comme la drogue, l’alcool ou le sexe.
Par ailleurs, une vaste partie d’entre eux souffrirait de problèmes émotionnels comme la dépression, l’anxiété et d’autres troubles relatifs. Cette constatation va de pair avec l’avis de certains chercheurs qui postulent que la cyberdépendance ne représente pas une pathologie en soi mais plutôt une conséquence qui découle de certaines difficultés. En effet, les jeunes et moins jeunes auraient recours à Internet comme échappatoire afin d’éviter les problèmes de la vie courante ou dans une recherche incessante d’un espace intime, une sorte de réalité propre à eux créer via un support virtuel dont le but est de nier une partie de leur réalité.
Les « cyberaccro » sous investissent inévitablement leurs devoirs en consacrant des heures entières à surfer sur la toile et en exploitant l’ordinateur pendant tout le temps qu’ils ont après l’école et ceci bien évidement au dépend du travail scolaire.
De plus, certains problèmes physiques et médicaux, ainsi que certains troubles psychologiques sont directement en lien avec la cyberdépendance. Pour ce qui concerne les problèmes médicaux, on cite les maux de dos, les maux de tête, la raideur musculaire et la sécheresse des yeux mais aussi le manque de sommeil qui peut être à l’origine d’une fatigue excessive créant souvent la diminution des performances académiques et professionnelles. A leur tour, les conséquences psychologiques sont autant importantes pouvant se manifester par des pensées obsédantes, le sentiment de honte et de culpabilité, un sentiment de vide, une perte de contrôle sur sa vie, une faible estime de soi, etc. Enfin, comme il a été dit, l’impact n’est pas des moindres quant à la vie professionnelle, conjugale, amicale, récréative de la personne et de son entourage ce qui est directement liée à la santé mentale de celle-ci. Selon le département de prévention suisse, plus de la moitié des utilisateurs dépendants à internet souffriraient d’une autre addiction comme la drogue, l’alcool ou le sexe.
Par ailleurs, une vaste partie d’entre eux souffrirait de problèmes émotionnels comme la dépression, l’anxiété et d’autres troubles relatifs. Cette constatation va de pair avec l’avis de certains chercheurs qui postulent que la cyberdépendance ne représente pas une pathologie en soi mais plutôt une conséquence qui découle de certaines difficultés. En effet, les jeunes et moins jeunes auraient recours à Internet comme échappatoire afin d’éviter les problèmes de la vie courante ou dans une recherche incessante d’un espace intime, une sorte de réalité propre à eux créer via un support virtuel dont le but est de nier une partie de leur réalité.
Jeunes Addicts : comment s’y prendre avec eux ?
Ce type de comportements excessifs ne doit pas être
ignoré. De part et d’autre de leurs conséquences négatives pour le
jeune que pour sa famille pouvant aller jusqu’à un décrochage scolaire
ainsi qu’à une rupture du dialogue familial. L’approche parentale quant à
cette dite addiction à Internet est délicate. En effet, le jeune peut
se sentir incompris de ses parents qui réclament impérativement un
investissement moindre et cela surtout lors des phases de préadolescence
et d’adolescence où les conflits avec les parents prônent. La rupture
du dialogue entre les générations peut aggraver le conflit relationnel
et aboutir de ce fait à un repli encore plus accentué du jeune.
Face à cette situation, on observe souvent que les parents
sont livrés à eux même dans un désarroi inconsolable. Dès lors la
médiation d’une tierce personne est recommandée non seulement pour
rétablir le dialogue mais aussi pour amener le « cyberdépendant » à
prendre conscience de sa consommation excessive. Ainsi, une intervention
auprès d’un psychologue et/ou d’un psychothérapeute aidera les parents
et le jeune en question à mieux comprendre la situation et identifier
les causes du problème afin de mettre en place les bonnes modalités pour
modifier le comportement addictif.
Florence Bayala/AfriqueFemme