Des dizaines de sahraouis ont fui ces derniers mois les camps de Tindouf en Algérie et non le Sahara marocain, «Sahara Occidental» selon la...
Des dizaines de sahraouis ont fui ces derniers mois les camps de Tindouf
en Algérie et non le Sahara marocain, «Sahara Occidental» selon la terminologie
usitée du quotidien bordelais «sud-ouest» (édition du 07 juin 2014), qui
dénote un parti pris, comme il le prétend faussement, et ont pu atteindre la
France, Bordeaux précisément. Ce quotidien devrait faire attention aux termes
qu’il utilise pour ne pas induire en erreur ses lecteurs et perdre de sa
crédibilité. Dans son article, c'est explicite et clair comme de l'eau de
roche. Les concernés l'affirment et c'est dans le texte !
Ainsi, fuyant la misère et le déni des Droits de l’Homme, ils vivent
actuellement dans des wagons délabrés munis d’une dotation de 300 Euros
mensuelle accordée par les autorités françaises et d’aides de certaines
associations caritatives en attendant que leur demande d’asile politique soit
traitée.
Une situation qu’ils considèrent meilleure que celle qu’ils ont vécue
dans les camps de la honte de Tindouf et qu’aucune oganisation n’ose dénoncer
par peur de représailles financières de la part des responsables algériens.
Un phénomène qui semble aller en s’amplifiant selon des responsables
français et qui dénote des conditions insupportables que subissent les
sahraouis séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf.
Des sahraouis marocains qui étaient utilisés servilement par l’armée
algérienne et les milices polisariennes pour des travaux sans contrepartie
financière et qui vivotaient de trafics, un juteux marché pour les pontes
polisariens et officiers de l’armée algérienne.
Refusant de côtoyer la misère noire, qui prévaut dans les prisons à ciel
ouvert de Tindouf, et de s’embrigader dans les groupes terroristes qui pullulent
en Algérie et dans les camps de Tindouf, ils ont préféré prendre le chemin
dangereux de la fuite.
Le cas de ces sahraouis n’est sûrement pas unique et des mesures de
rapatriement dans leur pays, qu’est le Maroc, doivent être initiées par l’ONU afin
qu’ils puissent retrouver leurs proches.
Une option qu’ils souhaitent de tout cœur afin de vivre en toute dignité
dans leur pays, le Maroc.
Il est incontestable qu’un vent de révolte s’est fait jour dans ces camps
de la mort de Tindouf où des mafioso-terroristes polisariens et algériens
soumettent les séquestrés marocains à une culture totalitaire et tyrannique telle
que pratiquée par les dictatures nord-coréenne, cubaine, syrienne et algérienne.
Un vent de révolte qui sème une fois encore le trouble chez les stratèges
du Palais d’Al Mouradia et dans les couloirs sordides de la DRS
Il est étonnant que les violations flagrantes des Droits Humains par les
dirigeants algéro-polisariens dans les camps de l’enfer de Tindouf soient
systématiquement passées sous silence par des ONG’s, notamment Amnesty
International et la Fondation Robert Kennedy dirigée par Kerry Kennedy, qui se
prétendent défenseurs de ces mêmes droits et ne protestent pas contre
l’interdiction faite à cette population sahraouie marocaine, retenue en otage,
de circuler librement et de retourner dans leur pays qu’est le Maroc.
Comment ces mêmes organisations peuvent-elles taire le fait que des
jeunes saharouis soient embrigadés dans des mouvements terroristes, que des mariages forcés soient opérés dans ces
camps et que des enfants soient séparés de leurs parents et déportés à Cuba
pour y suivre un endoctrinement et travailler dans des réseaux de prostitution
pour financer le train de vie luxueux et immoral des responsables
algéro-polisariens ?
Un silence complice qui interpelle !
Farid Mnebhi.