La presse comorienne ne fait pas beaucoup d'adeptes dans la gente féminine aux Comores. Pendant que plusieurs congrès se tiennent autour...
La presse comorienne ne fait pas beaucoup d'adeptes dans la gente féminine aux Comores. Pendant que plusieurs congrès se tiennent autour du monde de la presse, le sondage de l' « Enquête Démographique et de Santé et à Indicateurs multiples 2012 aux Comores » démontre des chiffres inquiétants. Officialisée ce mois de Juin, la cellulle révèle un pourcentage très faible sur l'enthousiasme des Comoriens vis-à-vis de leurs pressses locales.
Sur une tranche d'âge de 15 à 49 ans, hommes et femmes comoriens ont fait l'objet d'enquêtes visant à déterminer leurs connivences avec chaque outil médiatique. L'étude a été portée sur certains critères socio-démographiques et sur une durée d'une semaine. Les résultats ont révélé que deux femmes et un homme sur cinq personnes respectivement n'ont pas accès aux médias. Réalisés sur 4482 ménages, cette étude a montré que ces comoriens ne bénéficient même pas d'une fois par semaine pour avoir accès aux médias. La presse écrite est la plus concernée, toujours d'après les statistiques.
Réalisée en une année, cette enquête démontre un plus grand penchant pour la télévision avec 52% de femmes et 48% chez les hommes. La Direction Générale des statistiques et de la prospection ainsi que l'Icf International classent la radio comme deuxième média pour des taux de 37% et 61% respectivement pour les femmes et les hommes.
Les papiers journaux viennent en dernière position avec 13% d'interessés chez les femmes et 27% chez les hommes. Selon des caractéristiques comme le revenu, le niveau d'apprentissage ou le cadre social, les enquêteurs ont également travaillé sur la fréquence de lecture des journaux.
Dans les foyers à revenus modestes, 66% de femmes et 57% d'hommes n'ont bénéficié d'aucune exposition médiatique. Le niveau d'instruction augmente au fur et à mesure que les revenus sont élevés comme on peut le remarquer dans les chiffres de l'enquête.
Par rapport aux plus âgés, les jeunes ont une nette tendance à être exposés aux médias. Entre 15 et 49 ans, les proportions des femmes face aux trois médias fluctuent entre 3% et 10%. Du côté des hommes, les variations sont nombreuses et changeantes. Dans les milieux populaires comme Ngazidja, on note une plus grande exposition aux outils médiatiques.
Le but de ces sondages est de mieux axer les prochaines stratégies d'éducation et de diffusions de nouvelles sanitaires. Ces chiffres seront également utiles aux maisons de presses et autres stations audiovisuelles pour leurs nouvelles idées d'approches du public.
Sachant que des mesures ont déjà été prises, un conseil national de la Presse et de l'audiovisuel a déjà été instauré depuis Avril 2012. Une implantation qui semble être infructueuse pour la résolution des crises qui touchent le domaine médiatique. Les difficultés s'accroissent de jour en jour comme cette baisse évidente du taux d'audience des médias aux Comores.
Avec linfo.re
Sur une tranche d'âge de 15 à 49 ans, hommes et femmes comoriens ont fait l'objet d'enquêtes visant à déterminer leurs connivences avec chaque outil médiatique. L'étude a été portée sur certains critères socio-démographiques et sur une durée d'une semaine. Les résultats ont révélé que deux femmes et un homme sur cinq personnes respectivement n'ont pas accès aux médias. Réalisés sur 4482 ménages, cette étude a montré que ces comoriens ne bénéficient même pas d'une fois par semaine pour avoir accès aux médias. La presse écrite est la plus concernée, toujours d'après les statistiques.
Réalisée en une année, cette enquête démontre un plus grand penchant pour la télévision avec 52% de femmes et 48% chez les hommes. La Direction Générale des statistiques et de la prospection ainsi que l'Icf International classent la radio comme deuxième média pour des taux de 37% et 61% respectivement pour les femmes et les hommes.
Les papiers journaux viennent en dernière position avec 13% d'interessés chez les femmes et 27% chez les hommes. Selon des caractéristiques comme le revenu, le niveau d'apprentissage ou le cadre social, les enquêteurs ont également travaillé sur la fréquence de lecture des journaux.
Dans les foyers à revenus modestes, 66% de femmes et 57% d'hommes n'ont bénéficié d'aucune exposition médiatique. Le niveau d'instruction augmente au fur et à mesure que les revenus sont élevés comme on peut le remarquer dans les chiffres de l'enquête.
Par rapport aux plus âgés, les jeunes ont une nette tendance à être exposés aux médias. Entre 15 et 49 ans, les proportions des femmes face aux trois médias fluctuent entre 3% et 10%. Du côté des hommes, les variations sont nombreuses et changeantes. Dans les milieux populaires comme Ngazidja, on note une plus grande exposition aux outils médiatiques.
Le but de ces sondages est de mieux axer les prochaines stratégies d'éducation et de diffusions de nouvelles sanitaires. Ces chiffres seront également utiles aux maisons de presses et autres stations audiovisuelles pour leurs nouvelles idées d'approches du public.
Sachant que des mesures ont déjà été prises, un conseil national de la Presse et de l'audiovisuel a déjà été instauré depuis Avril 2012. Une implantation qui semble être infructueuse pour la résolution des crises qui touchent le domaine médiatique. Les difficultés s'accroissent de jour en jour comme cette baisse évidente du taux d'audience des médias aux Comores.
Avec linfo.re