« Faire le trottoir » est une expression française bien connue qui s’applique aux « putes » qu’on appelle aujourd’hui les travailleurs du...
« Faire le trottoir » est une expression française bien connue qui s’applique aux « putes » qu’on appelle aujourd’hui les travailleurs du sexe.
Celui qui fait « faire le trottoir » à quelqu’un est un proxénète : c’est lui qui ramasse l’argent à la fin.
Or nous constatons que l’ambassade de France aux Comores, toujours réticente à faire attendre les demandeurs de visa et autres services consulaires dans l’enceinte de ses bâtiments, fait « faire le trottoir » aux Comoriennes et Comoriens.
Non seulement il est impensable que l’ambassade des Comores à Paris puisse transformer le trottoir de la rue Marbeau en salle d’attente, mais encore, cela eût été possible qu’il eût fallu mille et une demandes et autorisations qui auraient requis au moins deux à trois ans d’attente pour que cela se fasse.
Mais dans le désert administratif qu’est l’Union des Comores notamment en matière d’urbanisme, la peur du blanc aidant, l’ambassade de France a pu faire sa salle d’attente sur le trottoir en moins de trois mois et transformer les gens qui attendent là en « putes » qu’on expose à la vue et à l’envie de tous.
Cette façon de faire n’est pas innocente à mon sens, elle rentre dans une politique globale tendant à montrer combien les Comoriens et les Comoriennes sont friands de France et faire un pied de nez aux quelques patriotes qui revendiquent l’île Comorienne de Mayotte.
C’est en quelque sorte le pendant du panneau « Mayotte est Comorienne et le restera à jamais » et ce spectacle quotidien signifie « Les Comores sont françaises et le resteront à jamais » malgré les humiliations multiformes et les milliers de morts Balladur tués par la Police française de l’Air et des Frontières à Mayotte.
Donc comme on nous fait « faire le trottoir » allègrement nous sommes transformés symboliquement en un peuple de putes et on peut donc nous baiser aussi allègrement et la France ramasse l’argent, Bora rende Farantsa !
Celui qui fait « faire le trottoir » à quelqu’un est un proxénète : c’est lui qui ramasse l’argent à la fin.
Or nous constatons que l’ambassade de France aux Comores, toujours réticente à faire attendre les demandeurs de visa et autres services consulaires dans l’enceinte de ses bâtiments, fait « faire le trottoir » aux Comoriennes et Comoriens.
Non seulement il est impensable que l’ambassade des Comores à Paris puisse transformer le trottoir de la rue Marbeau en salle d’attente, mais encore, cela eût été possible qu’il eût fallu mille et une demandes et autorisations qui auraient requis au moins deux à trois ans d’attente pour que cela se fasse.
Mais dans le désert administratif qu’est l’Union des Comores notamment en matière d’urbanisme, la peur du blanc aidant, l’ambassade de France a pu faire sa salle d’attente sur le trottoir en moins de trois mois et transformer les gens qui attendent là en « putes » qu’on expose à la vue et à l’envie de tous.
Cette façon de faire n’est pas innocente à mon sens, elle rentre dans une politique globale tendant à montrer combien les Comoriens et les Comoriennes sont friands de France et faire un pied de nez aux quelques patriotes qui revendiquent l’île Comorienne de Mayotte.
C’est en quelque sorte le pendant du panneau « Mayotte est Comorienne et le restera à jamais » et ce spectacle quotidien signifie « Les Comores sont françaises et le resteront à jamais » malgré les humiliations multiformes et les milliers de morts Balladur tués par la Police française de l’Air et des Frontières à Mayotte.
Donc comme on nous fait « faire le trottoir » allègrement nous sommes transformés symboliquement en un peuple de putes et on peut donc nous baiser aussi allègrement et la France ramasse l’argent, Bora rende Farantsa !