« Les voitures marchent avec du carburant, les avions avec du kérosène, les moulins avec de l’eau, et les noirs…avec du bruit ! Eh oui ...
« Les voitures marchent avec du carburant, les avions avec du kérosène, les moulins avec de l’eau, et les noirs…avec du bruit !
Eh oui ! Le noir en général fait trop de bruit, tellement de bruit qu’il ne se soucie pas des conséquences que celui-ci produit sur son environnement. Même quand il s’agit d’une simple discussion entre amis, vous aurez l’impression que c’est une dispute, tellement ils crient ! Tout se passe comme si le noir ne pouvait exister que dans le brouhaha. Il trouve normal de tonitruer dans les transports, hurler quand il téléphone, mettre la musique à fond dans son appartement, faire du tapage nocturne etc. La tranquillité de l’autre est sa dernière préoccupation. Tout au contraire, celui qui réclame le silence est perçu comme dérangeant, l’envie du calme étant considéré comme une « affaire des blancs ». En France, il y’a pourtant une réglementation sur le bruit pour prévenir le trouble de voisinage. Mais beaucoup de noirs et d’arabes ne la respectent pas. Ils se comportent comme s’ils étaient au bled en faisant fi des codes de conduite du pays dans lequel ils vivent. C’est ainsi que, à contre cœur, le voisin perturbé (souvent le pauvre p’tit vieux du rez de chaussée) se trouve parfois contraint de solliciter l’intervention de la police pour faire cesser cette atteinte à la tranquillité publique.
Pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette nuisance sonore dont se rendent coupables certains immigrés vivant en France, il faut remonter à ce qui se passe dans leur pays d’origine. L’explication n’est autre que socio-culturelle.
Des véhicules sans pot d’échappement qui traversent la ville à vive allure. Des motos ou des voitures qui klaxonnent pour un rien. Des scieries et des moulins qui fonctionnent à plein régime aux heures de sieste et même jusqu’aux lueurs du crépuscule. Des voitures publicitaires pour annoncer à tue-tête un match de foot ou le « méga-concert » de l’année. Des discothèques et des buvettes qui mitraillent leurs quartiers toute la journée et même aux heures indues. Des ouvriers qui martèlent, meulent ou scient sans arrêt dans des ateliers installés dans les mêmes concessions que des habitations. Des sectes qui à longueur de journée battent tam-tams et chantent à gorges déployées les « bienfaits du seigneur ». Des magasins qui, à l’approche des fêtes, sous prétexte de « liquider » leurs produits, sortent leurs haut-parleurs et imposent une « musique » assourdissante à tout le quartier, voilà la triste réalité de la plupart des villes d’Afrique. Dans un environnement aussi bruyant, on est quelque part obligé d’élever la voix pour se faire entendre. Le problème est que ça devient très vite une habitude.
En outre, les familles africaines, réputées pour être nombreuses, grandissent non pas dans des appartements comme en Europe, mais dans des maisons qui, à mesure que la marmaille d’enfants s’agrandit, se transforment en caisse de résonance des rires, des cris, des pleurs, c’est-à-dire du bruit. Et le voisinage s’en accommode sans oser rouspéter.
Quand en France, la civilité voudrait qu’on prévienne ses voisins lorsqu’on s’apprête à organiser une réjouissance festive chez soi, en Afrique un tel protocole serait vu comme superfétatoire. C’est chacun qui impose l’écoute de sa sélection musicale à tout l’immeuble, quand ce n’est pas au quartier tout entier.
Mais qui a dit aux noirs qu’il fallait nécessairement hurler comme des hyènes édentées pour se faire entendre au bout du fil ? Le pire c’est quand ils appellent au bled. Tout se passe comme si dans leurs têtes, ce n’est qu’en criant que la personne appelée pourrait entendre. C’est malheureusement ainsi qu’ils vont importuner toute la rame de métro avec une conversation téléphonique qui n’aura plus rien de confidentielle, sauf bien sur lorsqu’ils s’expriment dans leur charabia de patois.
Pourtant, l’excès de bruit a des effets néfastes sur les organes de l’audition. Un excès de bruit, fut-il temporaire, peut fatiguer les oreilles et entraîner une perte de l’acuité auditive. Les noirs (surtout les darons et daronnes blédards là), sont donc les premiers à avoir intérêt à parler sans se faire remarquer, c’est à dire à voix basse.
Arrêtez de nous casser les oreilles dans les transports en tonitruant comme ci le bus ou le métro vous appartenaient ! »
Par La Chronique Epicée
Eh oui ! Le noir en général fait trop de bruit, tellement de bruit qu’il ne se soucie pas des conséquences que celui-ci produit sur son environnement. Même quand il s’agit d’une simple discussion entre amis, vous aurez l’impression que c’est une dispute, tellement ils crient ! Tout se passe comme si le noir ne pouvait exister que dans le brouhaha. Il trouve normal de tonitruer dans les transports, hurler quand il téléphone, mettre la musique à fond dans son appartement, faire du tapage nocturne etc. La tranquillité de l’autre est sa dernière préoccupation. Tout au contraire, celui qui réclame le silence est perçu comme dérangeant, l’envie du calme étant considéré comme une « affaire des blancs ». En France, il y’a pourtant une réglementation sur le bruit pour prévenir le trouble de voisinage. Mais beaucoup de noirs et d’arabes ne la respectent pas. Ils se comportent comme s’ils étaient au bled en faisant fi des codes de conduite du pays dans lequel ils vivent. C’est ainsi que, à contre cœur, le voisin perturbé (souvent le pauvre p’tit vieux du rez de chaussée) se trouve parfois contraint de solliciter l’intervention de la police pour faire cesser cette atteinte à la tranquillité publique.
Pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette nuisance sonore dont se rendent coupables certains immigrés vivant en France, il faut remonter à ce qui se passe dans leur pays d’origine. L’explication n’est autre que socio-culturelle.
Des véhicules sans pot d’échappement qui traversent la ville à vive allure. Des motos ou des voitures qui klaxonnent pour un rien. Des scieries et des moulins qui fonctionnent à plein régime aux heures de sieste et même jusqu’aux lueurs du crépuscule. Des voitures publicitaires pour annoncer à tue-tête un match de foot ou le « méga-concert » de l’année. Des discothèques et des buvettes qui mitraillent leurs quartiers toute la journée et même aux heures indues. Des ouvriers qui martèlent, meulent ou scient sans arrêt dans des ateliers installés dans les mêmes concessions que des habitations. Des sectes qui à longueur de journée battent tam-tams et chantent à gorges déployées les « bienfaits du seigneur ». Des magasins qui, à l’approche des fêtes, sous prétexte de « liquider » leurs produits, sortent leurs haut-parleurs et imposent une « musique » assourdissante à tout le quartier, voilà la triste réalité de la plupart des villes d’Afrique. Dans un environnement aussi bruyant, on est quelque part obligé d’élever la voix pour se faire entendre. Le problème est que ça devient très vite une habitude.
En outre, les familles africaines, réputées pour être nombreuses, grandissent non pas dans des appartements comme en Europe, mais dans des maisons qui, à mesure que la marmaille d’enfants s’agrandit, se transforment en caisse de résonance des rires, des cris, des pleurs, c’est-à-dire du bruit. Et le voisinage s’en accommode sans oser rouspéter.
Quand en France, la civilité voudrait qu’on prévienne ses voisins lorsqu’on s’apprête à organiser une réjouissance festive chez soi, en Afrique un tel protocole serait vu comme superfétatoire. C’est chacun qui impose l’écoute de sa sélection musicale à tout l’immeuble, quand ce n’est pas au quartier tout entier.
Mais qui a dit aux noirs qu’il fallait nécessairement hurler comme des hyènes édentées pour se faire entendre au bout du fil ? Le pire c’est quand ils appellent au bled. Tout se passe comme si dans leurs têtes, ce n’est qu’en criant que la personne appelée pourrait entendre. C’est malheureusement ainsi qu’ils vont importuner toute la rame de métro avec une conversation téléphonique qui n’aura plus rien de confidentielle, sauf bien sur lorsqu’ils s’expriment dans leur charabia de patois.
Pourtant, l’excès de bruit a des effets néfastes sur les organes de l’audition. Un excès de bruit, fut-il temporaire, peut fatiguer les oreilles et entraîner une perte de l’acuité auditive. Les noirs (surtout les darons et daronnes blédards là), sont donc les premiers à avoir intérêt à parler sans se faire remarquer, c’est à dire à voix basse.
Arrêtez de nous casser les oreilles dans les transports en tonitruant comme ci le bus ou le métro vous appartenaient ! »
Par La Chronique Epicée