Aussitôt arrivé à l’aéroport de Ouani, ce 9 avril 2014, le Président de la République s’est rendu à Mahalé en compagnie du Colonel Ismaël M...
Aussitôt arrivé à l’aéroport de Ouani, ce 9 avril 2014, le Président de la République s’est rendu à Mahalé en compagnie du Colonel Ismaël Moegnidaho Directeur du Centre des Opérations de Secours (COSEP) Sur place, le Chef de l’Etat a pu constater l’affaissement du sol qui a coupé la route en deux, isolant ainsi la région de Jimlimé et celle de Bambao Mtsanga. Il a également pu observer sur certaines habitations et sur la routes, des fissures qui, aux dires des secouristes et des autorités locales, s’écartent et s’enfoncent de plus en plus, au point qu’à certains endroits, on a l’impression de se trouver face à un escalier.
« Depuis le début de ce phénomène le 30 mars dernier, nous constatons une augmentation des fissures et des failles même sur la montagne qui surplombe Mahalé et nous craignons un effet d’entrainement. C’est ce qui nous a motivé à recommander l’évacuation de la population, malgré la résistance de certains habitants qui ne souhaitent pour un rien au monde, quitter leur terre » a expliqué le Colonel Mouignidaho, assisté d’un géologue.
Pour le Président de la République, la zone concernée risque d’être isolée au vu de l’évolution inquiétante de la situation observée sur le terrain. Il a demandé que les équipes de secouristes sur place, s’investir dans la sensibilisation pour éviter que la situation humanitaire et surtout sanitaire, ne dépasse les responsables sur place.Beit Salam
« Depuis le début de ce phénomène le 30 mars dernier, nous constatons une augmentation des fissures et des failles même sur la montagne qui surplombe Mahalé et nous craignons un effet d’entrainement. C’est ce qui nous a motivé à recommander l’évacuation de la population, malgré la résistance de certains habitants qui ne souhaitent pour un rien au monde, quitter leur terre » a expliqué le Colonel Mouignidaho, assisté d’un géologue.
Pour le Président de la République, la zone concernée risque d’être isolée au vu de l’évolution inquiétante de la situation observée sur le terrain. Il a demandé que les équipes de secouristes sur place, s’investir dans la sensibilisation pour éviter que la situation humanitaire et surtout sanitaire, ne dépasse les responsables sur place.Beit Salam