De manière générale, l'idée de rester inactive ne vous réjouit pas. Vous aimez vous dépenser et faire du sport. Or, la grossesse est un...
De manière générale, l'idée de rester inactive ne vous réjouit pas. Vous aimez vous dépenser et faire du sport. Or, la grossesse est un moment où il est important de ménager son corps. Comment concilier sa grossesse avec l'exercice physique et avec quelles précautions ?
Bouger permet de contrôler son poids en accroissant sa masse musculaire et en dépensant davantage de calories, de faire travailler les muscles du dos et d'améliorer sa circulation sanguine. Et comme après 30 minutes d'effort, les endorphines (hormones du plaisir) envahissent le cerveau, adieu stress et coup de blues. En effet, ces fameuses hormones agissent tels des tranquillisants. Et votre bout de chou en profite autant que vous…
Mais cela peut tout de même se révéler utile… « En effet, explique la nutritionniste Béatrice de Reynal, des travaux récents ont pu démontrer que l'activité physique permettait de réduire de 50 % le risque de diabète gestationnel en améliorant la sensibilité à l'insuline.
Elle diminue aussi de 40 % le risque de pré-éclampsie. L'explication est toute simple : une activité régulière permet au corps de mieux réguler ses métabolismes et de mieux gérer sa glycémie. »
Si les médecins préconisent 30 minutes de marche par jour (sauf en cas de contractions précoces ou de risque d'accouchement prématuré), ils conseillent une pratique de 30 à 40 minutes deux à trois fois par semaine au maximum pour les autres sports autorisés type natation, aquagym, gymnastique…
Le sport est évidemment incompatible avec une grossesse difficile présentant un risque de fausse couche, un accouchement prématuré, ou en cas de grossesse multiple. Mieux vaut également l'éviter si l'on souffre d'hypertension artérielle, de diabète, de phlébite, de fibrome utérin (tumeur bénigne) ou encore de fatigue intense. Privilégier en ce cas une activité physique très douce, telle la marche ou un peu de natation, sous surveillance médicale.
Auteur : Top Santé
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Faire du sport pendant la grossesse, c'est possible
Que vous soyez une sportive aguerrie ou que vous n'ayez jamais mis les pieds dans un gymnase, il reste important de bouger un minimum durant cette période, même s'il faut y aller doucement. Vous pratiquiez déjà la natation avant votre grossesse ? N'ayez crainte, vous pouvez continuer, mais il faut veiller à ce que l'intensité des séances soit deux fois moins importante. Vous souhaitez profiter de votre grossesse pour démarrer une activité ? C'est bien ! Mais faites‑vous coacher par un pro dans le cadre d'un cours et sachez respecter le bon timing, qu'il vous indiquera en fonction du sport choisi. Car, au-delà, vous pourriez fatiguer votre organisme et prendre des risques pour votre bébé. Évidemment, avant de vous inscrire à l'aquagym ou au yoga, demandez systématiquement conseil à votre gynécologue : il s'assurera que vous ne présentez aucune contre‑indication à ce type d'activité physique. « Et si vous profitez de votre grossesse pour commencer le sport, met en garde le coach Christophe Pinna, pensez à faire un bilan cardio-vasculaire pour vous assurer que votre palpitant et vos artères se portent bien. »Les bénéfices d'une activité physique pendant la grossesse
Bouger permet de contrôler son poids en accroissant sa masse musculaire et en dépensant davantage de calories, de faire travailler les muscles du dos et d'améliorer sa circulation sanguine. Et comme après 30 minutes d'effort, les endorphines (hormones du plaisir) envahissent le cerveau, adieu stress et coup de blues. En effet, ces fameuses hormones agissent tels des tranquillisants. Et votre bout de chou en profite autant que vous…
Ce n'est pas une obligation
Mais cela peut tout de même se révéler utile… « En effet, explique la nutritionniste Béatrice de Reynal, des travaux récents ont pu démontrer que l'activité physique permettait de réduire de 50 % le risque de diabète gestationnel en améliorant la sensibilité à l'insuline.
Elle diminue aussi de 40 % le risque de pré-éclampsie. L'explication est toute simple : une activité régulière permet au corps de mieux réguler ses métabolismes et de mieux gérer sa glycémie. »
Le bon rythme
Si les médecins préconisent 30 minutes de marche par jour (sauf en cas de contractions précoces ou de risque d'accouchement prématuré), ils conseillent une pratique de 30 à 40 minutes deux à trois fois par semaine au maximum pour les autres sports autorisés type natation, aquagym, gymnastique…
Quelles sont les contre-indications ?
Le sport est évidemment incompatible avec une grossesse difficile présentant un risque de fausse couche, un accouchement prématuré, ou en cas de grossesse multiple. Mieux vaut également l'éviter si l'on souffre d'hypertension artérielle, de diabète, de phlébite, de fibrome utérin (tumeur bénigne) ou encore de fatigue intense. Privilégier en ce cas une activité physique très douce, telle la marche ou un peu de natation, sous surveillance médicale.
Auteur : Top Santé
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