Aujourd'hui, l'expression est galvaudée. On attend ici et là ''devoir de mémoire'',...Mais, ceux qui, aux Comores...
Aujourd'hui, l'expression est galvaudée. On attend ici et là ''devoir de mémoire'',...Mais, ceux qui, aux Comores, en appellent à ce travail de reconnaissance sont ceux qui, au quotidien, font le contraire. Dans un précédent post, j'ai mis en évidence les contradictions entre le discours de Mohamed Bacar Dossar et les actes qu'il a posés hier en tant que ministre de la Défense.
A propos de devoir de mémoire, je voudrais vous parler, cette fois, de la cérémonie d'anniversaire du débarquement militaire, le 25 mars dernier à Anjouan, où l'exécutif de l'île et les autorités insulaires ont soigneusement évité de citer le nom de Salimou Mohamed Amiri, héros incontesté et incontestable de ce débarquement.
Comme le ridicule ne tue pas, l'un des intervenants a évoqué le général Igotri de la Tanzanie sans la moindre allusion à l'autre général comorien. Et pas une seule voix ne s'est élevée pour regretter cette écriture tronquée de l'histoire récente de notre pays. Ceux qui nous parlent aujourd'hui de ''devoir de mémoire'' sont pour beaucoup dans cet état de fait.
Leur haine contre le général Salimou les avait tellement aveuglés qu'ils ne pouvaient objectivement regarder l'histoire en face. Et voilà que leurs successeurs tombent dans les mêmes travers.
Mais, quel signal envoie-t-on à ces braves soldats qui, chaque jour, mettent leur vie en danger pour sauver la République? Au-delà de la simple personne de Salimou, n'est-ce pas un manque de reconnaissance vis-à-vis de l'armée nationale qui, à travers ce débarquement, a retrouvé une certaine notoriété après avoir été la risée de tout le monde.
A propos de devoir de mémoire, je voudrais vous parler, cette fois, de la cérémonie d'anniversaire du débarquement militaire, le 25 mars dernier à Anjouan, où l'exécutif de l'île et les autorités insulaires ont soigneusement évité de citer le nom de Salimou Mohamed Amiri, héros incontesté et incontestable de ce débarquement.
Comme le ridicule ne tue pas, l'un des intervenants a évoqué le général Igotri de la Tanzanie sans la moindre allusion à l'autre général comorien. Et pas une seule voix ne s'est élevée pour regretter cette écriture tronquée de l'histoire récente de notre pays. Ceux qui nous parlent aujourd'hui de ''devoir de mémoire'' sont pour beaucoup dans cet état de fait.
Leur haine contre le général Salimou les avait tellement aveuglés qu'ils ne pouvaient objectivement regarder l'histoire en face. Et voilà que leurs successeurs tombent dans les mêmes travers.
Mais, quel signal envoie-t-on à ces braves soldats qui, chaque jour, mettent leur vie en danger pour sauver la République? Au-delà de la simple personne de Salimou, n'est-ce pas un manque de reconnaissance vis-à-vis de l'armée nationale qui, à travers ce débarquement, a retrouvé une certaine notoriété après avoir été la risée de tout le monde.
Photo.Image d’illustration