Pêcher en eau trouble ! Pour pallier les 8 mois qui séparent la fin des pouvoirs des députés, le Ridja veut sa part du gâteau : des dép...
Pêcher
en eau trouble ! Pour pallier les 8 mois qui séparent la fin des
pouvoirs des députés, le Ridja veut sa part du gâteau : des députés par
consensus...
Le Ridja dévoile son vrai objectif : obtenir coûte que coûte " une période intérimaire consensuelle ", qui permettra à l'opposition d'entrer à l'assemblée sans la moindre élection. C'est en tout cas ce qu'il appelle " un Conseil législatif de transition ". Selon Said Larifou, ce conseil sera composer de membres issus du pouvoir et de l’opposition.
Pour rappelle, après l'arrêt du 12 septembre, le président a constaté qu'il doit gouverner le pays par ordonnances entre avril 2014 et décembre 2014. Il a usé son droit, (apparemment) pour régler la question une fois pour toute. Pour lui, la meilleure façon pour rassurer le peuple était de suivre la procédure recommandée par la constitution art 12-5 (consulter les grands élus).
Maintenant que le Ridja a donné sa proposition pour palier ce vide, on se demande : la solution du président n'était pas rassurante et moins périlleuse que ce que recommande le Leader du parti Ridja, c'est à dire une période intérimaire consensuelle pour palier les 8 mois qui séparent la fin des pouvoirs des députés ? A chacun sa vision chers internautes, mais n'oubliez pas les conséquences et les risques d'un consensus en période électorale.
Pour Said Larifou : « Pour pallier à cette crise institutionnelle qui ne manquera pas de survenir, laquelle crise est provoquée par le gouvernement, le parti Ridja propose qu’un Conseil législatif de transition, qui sera composé de membres issus du pouvoir et de l’opposition soit mis en place à partir du mois d’avril, et ce jusqu'aux prochaines élections législatives » a-t-il avancé. Avant d’expliquer les raisons de son choix : « s’il est vrai que la prolongation des mandats est inacceptable, nous ne pouvons, certes pas, nous permettre qu’il y ait un vide législatif ». Sinon, toujours selon lui, « si celle-ci est maintenue, les lois qui seront votées après la première semaine d’avril n’auront aucune légalité ».
Ha bon ! les lois qui seront votées après la première semaine d’avril n’auront aucune légalité ? Vous avez tous compris que la légalité viendra d'un simple consensus de copinage.
Maintenant les choses sont claires. On sait au moins qui veut quoi ?...
Mrimdu
Le Ridja dévoile son vrai objectif : obtenir coûte que coûte " une période intérimaire consensuelle ", qui permettra à l'opposition d'entrer à l'assemblée sans la moindre élection. C'est en tout cas ce qu'il appelle " un Conseil législatif de transition ". Selon Said Larifou, ce conseil sera composer de membres issus du pouvoir et de l’opposition.
Pour rappelle, après l'arrêt du 12 septembre, le président a constaté qu'il doit gouverner le pays par ordonnances entre avril 2014 et décembre 2014. Il a usé son droit, (apparemment) pour régler la question une fois pour toute. Pour lui, la meilleure façon pour rassurer le peuple était de suivre la procédure recommandée par la constitution art 12-5 (consulter les grands élus).
Maintenant que le Ridja a donné sa proposition pour palier ce vide, on se demande : la solution du président n'était pas rassurante et moins périlleuse que ce que recommande le Leader du parti Ridja, c'est à dire une période intérimaire consensuelle pour palier les 8 mois qui séparent la fin des pouvoirs des députés ? A chacun sa vision chers internautes, mais n'oubliez pas les conséquences et les risques d'un consensus en période électorale.
Pour Said Larifou : « Pour pallier à cette crise institutionnelle qui ne manquera pas de survenir, laquelle crise est provoquée par le gouvernement, le parti Ridja propose qu’un Conseil législatif de transition, qui sera composé de membres issus du pouvoir et de l’opposition soit mis en place à partir du mois d’avril, et ce jusqu'aux prochaines élections législatives » a-t-il avancé. Avant d’expliquer les raisons de son choix : « s’il est vrai que la prolongation des mandats est inacceptable, nous ne pouvons, certes pas, nous permettre qu’il y ait un vide législatif ». Sinon, toujours selon lui, « si celle-ci est maintenue, les lois qui seront votées après la première semaine d’avril n’auront aucune légalité ».
Ha bon ! les lois qui seront votées après la première semaine d’avril n’auront aucune légalité ? Vous avez tous compris que la légalité viendra d'un simple consensus de copinage.
Maintenant les choses sont claires. On sait au moins qui veut quoi ?...