À « J-16 » de la célébration de l’opération « démocratie aux Comores » rappelle le 10 Mars 2002 ! Le 25 mars 2008 a eu lieu l'opéra...
Le 25 mars 2008 a eu lieu l'opération « démocratie aux Comores » ; qui mit fin
à la dictature récalcitrante et sans objet, ni utilité, de Mohamed
Bacar et de ses hommes et femmes à Anjouan. Mais, le 10 Mars 2002 soit 6
ans auparavant avait été faite la « réintégration de Ndzuwani dans
l'Union ». Mrimdu vous rappelle votre devoir de mémoire Monsieur le
Gouverneur Anissi Chamssidine.
À l'approche de la célébration du 6ème anniversaire de la libération d'Anjouan, par l'armée comorienne, commandée par le Général Salimou Mohamed Amir et soutenue par les troupes de l'Union Africaine, libération historique que nous allons commémorer ensemble ce 25 mars 2014, il est extrêmement important de vous rappeler que nous sommes à « J-1 » d’une autre date historique : le 10 mars 2002, date à laquelle Anjouan a finalement consenti de repartager un destin commun avec les îles de l'archipel, comme on peut le constater à la lumière du préambule de la constitution de l’île autonome d’Anjouan.
Monsieur le Gouverneur,
Il est extrêmement important de ne pas oublier ce qui s’est passé entre février 1997 et 2008 dans notre pays et essentiellement dans l’île de Ndzuwani. " La célébration de cette journée marquant la réussite de l'oppération « démocratie aux Comores » est une occasion supplémentaire qui nous permet de nous approprier les événements qui se sont produits avant, pendant et après le débarquement du 25 mars 2008, pour en tirer toutes les leçons afin de ne plus revoir les images de comoriens braquant des armes contre d’autres comoriens". Ces propos sont les votre Monsieur le gouverneur. c'est ainsi que je vous demande solennellement de ne plus oublier une autre date historique : le 10 Mars 2002.
• En effet, autant nous rendons hommage à l’Ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, sans qui l’opération « démocratie aux Comores » n’aurait jamais eu lieu le 25 mars 2008
• Autant je vous demande solennellement de rendre hommage à l'Ancien Président Azali Assoumani, sans qui le renoncement de l’indépendance d'Ajouan et l'abolition de la constitution du 3 août 1997 conçue notamment par Ahmed Abdallah Ahmed Sambi, n'aurait jamais eu lieu le 10 Mars 2002.
La célébration d’une date historique, c’est un devoir de mémoire, que nous devons à tous les compatriotes, qui se sont dévoués à l’unité du pays et la fin de l’aventure séparatiste, qui a causé tant de malheurs à la population comorienne. C’est pourquoi je vous demande également, Monsieur le Gouverneur, de redéployer le courage qui est le vôtre, et de rendre un hommage solennel et appuyé au Général Salimou Mohamed Amiri, qui n’a pas démérité et sans qui, ce débarquement n’aurait jamais eu lieu et n'aurait jamais donné aux Comores la possibilité de célébrer la date du 25 mars chaque année, pour commémorer un succès militaire et politique.
Alors oui, en exprimant notre reconnaissance et notre gratitude à l’Armée Nationale de Développement (AND), à l’Union Africaine et aux pays frères, qui ont permis la libération d'Anjouan, n'oublions pas d'exprimer notre reconnaissance au Géneral Salimou Ahmed Amir, mais n'oublions pas non plus cette autre date historique qu'est celle du 10 Mars 2002.
Enfin Monsieur le Gouverneur, j’encourage votre détermination sur la réconciliation nationale et la réconciliation "anjouanaise" en particulière, dans un élan de transparence, de vérité et de justice. Même si depuis la nomination de votre nouveau gouvernement cette question semble tombée en désuétude…
Mrimdu
À l'approche de la célébration du 6ème anniversaire de la libération d'Anjouan, par l'armée comorienne, commandée par le Général Salimou Mohamed Amir et soutenue par les troupes de l'Union Africaine, libération historique que nous allons commémorer ensemble ce 25 mars 2014, il est extrêmement important de vous rappeler que nous sommes à « J-1 » d’une autre date historique : le 10 mars 2002, date à laquelle Anjouan a finalement consenti de repartager un destin commun avec les îles de l'archipel, comme on peut le constater à la lumière du préambule de la constitution de l’île autonome d’Anjouan.
Monsieur le Gouverneur,
Il est extrêmement important de ne pas oublier ce qui s’est passé entre février 1997 et 2008 dans notre pays et essentiellement dans l’île de Ndzuwani. " La célébration de cette journée marquant la réussite de l'oppération « démocratie aux Comores » est une occasion supplémentaire qui nous permet de nous approprier les événements qui se sont produits avant, pendant et après le débarquement du 25 mars 2008, pour en tirer toutes les leçons afin de ne plus revoir les images de comoriens braquant des armes contre d’autres comoriens". Ces propos sont les votre Monsieur le gouverneur. c'est ainsi que je vous demande solennellement de ne plus oublier une autre date historique : le 10 Mars 2002.
• En effet, autant nous rendons hommage à l’Ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, sans qui l’opération « démocratie aux Comores » n’aurait jamais eu lieu le 25 mars 2008
• Autant je vous demande solennellement de rendre hommage à l'Ancien Président Azali Assoumani, sans qui le renoncement de l’indépendance d'Ajouan et l'abolition de la constitution du 3 août 1997 conçue notamment par Ahmed Abdallah Ahmed Sambi, n'aurait jamais eu lieu le 10 Mars 2002.
La célébration d’une date historique, c’est un devoir de mémoire, que nous devons à tous les compatriotes, qui se sont dévoués à l’unité du pays et la fin de l’aventure séparatiste, qui a causé tant de malheurs à la population comorienne. C’est pourquoi je vous demande également, Monsieur le Gouverneur, de redéployer le courage qui est le vôtre, et de rendre un hommage solennel et appuyé au Général Salimou Mohamed Amiri, qui n’a pas démérité et sans qui, ce débarquement n’aurait jamais eu lieu et n'aurait jamais donné aux Comores la possibilité de célébrer la date du 25 mars chaque année, pour commémorer un succès militaire et politique.
Alors oui, en exprimant notre reconnaissance et notre gratitude à l’Armée Nationale de Développement (AND), à l’Union Africaine et aux pays frères, qui ont permis la libération d'Anjouan, n'oublions pas d'exprimer notre reconnaissance au Géneral Salimou Ahmed Amir, mais n'oublions pas non plus cette autre date historique qu'est celle du 10 Mars 2002.
Enfin Monsieur le Gouverneur, j’encourage votre détermination sur la réconciliation nationale et la réconciliation "anjouanaise" en particulière, dans un élan de transparence, de vérité et de justice. Même si depuis la nomination de votre nouveau gouvernement cette question semble tombée en désuétude…
Mrimdu