Le syndicat des enseignants était un lieu où la parole donnée représentait une valeur quasi sacrée. Malheureusement la feuille de route ét...
Le syndicat des enseignants était un lieu où la parole donnée
représentait une valeur quasi sacrée. Malheureusement la feuille de
route établie entre les enseignants et le gouvernement a été violée
avant d'entrer en application. Oui, cela nous inquiète...
" Je ne suis pas naïf au point de croire que la mauvaise foi n’existait pas autour du syndicat des enseignants ou que c’est une invention récente, mais il me semble qu’elle n’était pas, comme aujourd'hui, une valeur en plein essor. La transgression, l’art de la manipulation, le chacun pour soi et surtout contre l’autre sont devenus des valeurs dominantes, recherchées, appréciées ". C'est dommage
C'est malheureux de constater hélas, que des gens utilisent les lycéens comme boucliers. comme c'est dommage la démission du syndicat des enseignants, qui ne respecte plus la feuille de route signée avec le gouvernement.
Oui, c'est une démission claire et formelle du syndicat des enseignants et du collectif des élèves, car ils ont outrepassé leur engagement avec l'Etat. En ne respectant pas la feuille de route, c’est tout le dialogue entre l'Etat et le syndicat des enseignants, qui se trouvera vidé et de son sens et de sa substance voire même de son essence...
D'habitude on accuse le gouvernement d’outrepasser ses engagements, mais aujourd'hui, c'est plutôt les enseignants qui utilisent les élèves comme boucliers et qui violent soudainement leur engagement et la feuille de route établie entre eux et le gouvernement...
Depuis hier vendredi 07/03/2014, on se demande réellement les réclamations des manifestants. On se demande, car au début tout le monde adhérait au mouvement. Mais depuis qu'un accord a été obtenu, une feuille de route a été établie, mais que bizarrement la violence continue, alors, force est de constater que la cause n'est plus l'éducation, mais une crise de nerfs qui bat son pavé.
Il serait bien audacieux si ceux qui souhaitent exprimer leur crise de nerfs, où même leurs revendications légitimes (parfois), revendications autres que celles des élèves, trouvent un autre moyen d'exprimer leurs colère et leurs revendications légitimes soient-elles... mais surtout qu'ils évitent d'utiliser nos petits frères et sœurs comme sacrifices... voir aussi notre article :" Alerte ! Crise de nerfs aux Comores". mrimdu.skyrock.com
Enfin comme disait Jaques Salomé : " La mauvaise foi semble avoir de beaux jours devant elle, elle est devenue une façon d’être, un moyen pour certains de survivre, de tenir la tête hors de l’eau, et pour d’autres, de dévitaliser la vie et de maintenir la tête des autres dans… l’eau ".
Mrimdu
" Je ne suis pas naïf au point de croire que la mauvaise foi n’existait pas autour du syndicat des enseignants ou que c’est une invention récente, mais il me semble qu’elle n’était pas, comme aujourd'hui, une valeur en plein essor. La transgression, l’art de la manipulation, le chacun pour soi et surtout contre l’autre sont devenus des valeurs dominantes, recherchées, appréciées ". C'est dommage
C'est malheureux de constater hélas, que des gens utilisent les lycéens comme boucliers. comme c'est dommage la démission du syndicat des enseignants, qui ne respecte plus la feuille de route signée avec le gouvernement.
Oui, c'est une démission claire et formelle du syndicat des enseignants et du collectif des élèves, car ils ont outrepassé leur engagement avec l'Etat. En ne respectant pas la feuille de route, c’est tout le dialogue entre l'Etat et le syndicat des enseignants, qui se trouvera vidé et de son sens et de sa substance voire même de son essence...
D'habitude on accuse le gouvernement d’outrepasser ses engagements, mais aujourd'hui, c'est plutôt les enseignants qui utilisent les élèves comme boucliers et qui violent soudainement leur engagement et la feuille de route établie entre eux et le gouvernement...
Depuis hier vendredi 07/03/2014, on se demande réellement les réclamations des manifestants. On se demande, car au début tout le monde adhérait au mouvement. Mais depuis qu'un accord a été obtenu, une feuille de route a été établie, mais que bizarrement la violence continue, alors, force est de constater que la cause n'est plus l'éducation, mais une crise de nerfs qui bat son pavé.
Il serait bien audacieux si ceux qui souhaitent exprimer leur crise de nerfs, où même leurs revendications légitimes (parfois), revendications autres que celles des élèves, trouvent un autre moyen d'exprimer leurs colère et leurs revendications légitimes soient-elles... mais surtout qu'ils évitent d'utiliser nos petits frères et sœurs comme sacrifices... voir aussi notre article :" Alerte ! Crise de nerfs aux Comores". mrimdu.skyrock.com
Enfin comme disait Jaques Salomé : " La mauvaise foi semble avoir de beaux jours devant elle, elle est devenue une façon d’être, un moyen pour certains de survivre, de tenir la tête hors de l’eau, et pour d’autres, de dévitaliser la vie et de maintenir la tête des autres dans… l’eau ".
Mrimdu