Les puissants lobbys homosexuels soutenus par les grands médias internationaux, font feu de tout bois en condamnant avec emphase le rejet do...
Les puissants lobbys homosexuels soutenus par les grands médias internationaux, font feu de tout bois en condamnant avec emphase le rejet dont l’homosexualité fait l’objet dans la plupart des pays africains.
Les termes du débat doivent être simples : la polygamie au regard du monde occidental, heurte les sensibilités, tout en étant présentée comme une pratique humainement et socialement répréhensible, sanctionnée par la loi.
Les Occidentaux accepteraient-ils qu’on leur impose le mariage multiple, c’est-à-dire celui qui unit un homme à plusieurs femmes [polygamie] ou une femme à plusieurs hommes [polyandrie] ? Assurément, non. Alors, puisque chez eux ils ne veulent aucunement entendre parler de la polygamie, ils ne sont absolument pas en droit d’exiger des Africains qu’ils adoptent cette cochonnerie qu’on appelle homosexualité.
D’ailleurs, il faut bien noter au sujet de la polygamie, que les Occidentaux la pratiquent aussi, mais clandestinement. Il y a donc de l’hypocrisie dans l’air. Deux révélations récentes montrent à souhait que les Blancs ne sont pas aussi attachés à la monogamie, qu’on le croit. Hollande, on l’a bien vu, avait une copine [Valérie] au palais de l’Elysée, et une maitresse [Julie] qu’il allait retrouver en cachette à deux pas de là !
Bill Clinton, l’homme qui a loui de la plus célèbre fellation de l’Histoire de l’humanité grâce au talent d’une jeune stagiaire [Monica], est de nouveau sous les feux des projecteurs ces jours-ci à cause d’une autre révélation : l’ex-Président a entretenu une liaison avec l’actrice Liz Hurley à l’époque où il était locataire de la Maison Blanche. Et ce n’est pas cela le plus cocasse. Il semble que le chaud lapin ne se gênait pas de tromper Hillary son épouse, à quelques mètres de la chambre conjugale !
Les Africains n’ont donc aucune leçon de morale sexuelle à recevoir des Occidentaux. Car, eux, ils assument au grand jour leur choix multi matrimonial. Voyez Jacob Zuma, le Président sud-africain. Lui, il ne porte pas un affreux casque pour aller retrouver nuitamment une conquête. Il s’affiche publiquement avec ses six femmes sans complexe, et certainement avec fierté.
Revenons à cette affaire d’homosexualité. La civilisation occidentale a adopté cette « chose ». C’est son choix. Mais, bon sang, qu’on arrête de nous fourguer cette mauvaise marchandise ! Merci. Nous ne sommes pas intéressés !
Ils ont volé nos frères. 400 millions d’Africains exportés comme du bétail en Amérique pour aller travailler comme esclaves. C’était la Traite négrière. Ils ont volé notre liberté et notre dignité. C’était la colonisation. Ils ont volé [et continuent de voler] notre or, nos diamants, notre pétrole. C’est le pillage de nos économies. A présent, ils veulent voler notre intimité. Par voie anale.
Il faut en effet prendre très au sérieux la pression homosexuelle qui est exercée sur le continent, pour la simple raison que ce problème va au-delà du périmètre intime. Le fait que les hautes instances internationales [Onu, Union européenne, grands médias, etc.] mettent à l’index les pays africains qui s’élèvent contre l’invasion des hordes homosexuelles, est loin d’être banal.
On assiste à un nouvel impérialisme qui ne s’exprime plus uniquement par la kalachnikov. Il est plus subtil, donc très vicieux, parce qu’il veut prendre possession de nos corps et de nos esprits, avec des arrière-pensées d’altération de la capacitation de ce continent en chemin ver son apogée.
Les perspectives de l’Afrique dans les prochaines décennies sont plutôt prometteuses. L’Afrique, c’est désormais plus d’un milliard d’habitants. Ce sont des ressources naturelles considérables. Tous les indicateurs de croissance font d’elle the place to be. Ce potentiel pluriel n’est pas forcement du goût de tout le monde. Il faut casser la dynamique de prospérité du continent, court-circuiter le dynamisme de ses nouvelles élites, et néantiser toutes les possibilités qui seraient susceptibles de potentialiser son décollage économique.
Pour mettre en place ce plan cynique, des oiseaux de mauvais augure commencent par corroder le corps social, notamment le segment de la jeunesse qui constitue comme on le sait, l’avenir de tout pays. Kadhafi ne disait-il pas que le Sida était un virus qui a été volontairement propagé à travers le continent à des fins impérialistes ? Dans le même ordre d’idée, on se souvient que les consciences des élites dirigeantes avaient été formatées dans les années 80 par le malthusianisme alors triomphant, pour structurer des politiques de contrôle des naissances.
Le prétexte avancé était fondé sur la prétendue adéquation entre les ressources et la démographie. En fait, la croissance démographique de l’Afrique faisait, en raison du postulat selon lequel une démographie forte induit une puissance en devenir [Chine, Inde], donc difficile à vassaliser. Il y a des officines qui travaillent à maintenir l’Afrique dans l’indigence, de façon à la fragiliser pour lui mettre le grappin dessus.
Il est à craindre que l’homosexualité participe de cette démarche. Si cette « chose » prospère en Afrique, c’est clairement son avenir qui sera compromis, puisqu’elle risquera de provoquer de fortes perturbations démographiques qui pourraient elles-mêmes conduire à une récession économique graves. D’autant plus que, contrairement à l’Europe et à l’Amérique dont les populations sont de plus en plus vieillissantes, l’Afrique, elle, dispose de populations jeunes à plus de 80%. Et c’est cette frange, motrice de notre prospérité à venir, qu’on veut pousser dans le précipice de la déperdition homosexuelle. A cet égard, l’homosexualité peut constituer une arme de destruction massive.
Par Innocent Ebodé, Journaliste
Afrik 53.com
Ils prétextent que ces pays piétinent les droits de l’homme, et violent les libertés individuelles. Ils s’insurgent contre le fait qu’à travers le continent, des lois « rétrogrades » criminalisent cette pratique sexuelle pourtant incontestablement contre-nature. Soit.
Mais ces apologues de l’homosexualité oublient ou feignent d’oublier que chez eux en Occident, pour ne prendre qu’un exemple, ils ont voté des lois qui interdisent notoirement la polygamie. Une pratique tout compte fait, et jusqu’à preuve du contraire, plus en adéquation avec l’ordre naturel des choses… Les termes du débat doivent être simples : la polygamie au regard du monde occidental, heurte les sensibilités, tout en étant présentée comme une pratique humainement et socialement répréhensible, sanctionnée par la loi.
Les Occidentaux accepteraient-ils qu’on leur impose le mariage multiple, c’est-à-dire celui qui unit un homme à plusieurs femmes [polygamie] ou une femme à plusieurs hommes [polyandrie] ? Assurément, non. Alors, puisque chez eux ils ne veulent aucunement entendre parler de la polygamie, ils ne sont absolument pas en droit d’exiger des Africains qu’ils adoptent cette cochonnerie qu’on appelle homosexualité.
D’ailleurs, il faut bien noter au sujet de la polygamie, que les Occidentaux la pratiquent aussi, mais clandestinement. Il y a donc de l’hypocrisie dans l’air. Deux révélations récentes montrent à souhait que les Blancs ne sont pas aussi attachés à la monogamie, qu’on le croit. Hollande, on l’a bien vu, avait une copine [Valérie] au palais de l’Elysée, et une maitresse [Julie] qu’il allait retrouver en cachette à deux pas de là !
Bill Clinton, l’homme qui a loui de la plus célèbre fellation de l’Histoire de l’humanité grâce au talent d’une jeune stagiaire [Monica], est de nouveau sous les feux des projecteurs ces jours-ci à cause d’une autre révélation : l’ex-Président a entretenu une liaison avec l’actrice Liz Hurley à l’époque où il était locataire de la Maison Blanche. Et ce n’est pas cela le plus cocasse. Il semble que le chaud lapin ne se gênait pas de tromper Hillary son épouse, à quelques mètres de la chambre conjugale !
Les Africains n’ont donc aucune leçon de morale sexuelle à recevoir des Occidentaux. Car, eux, ils assument au grand jour leur choix multi matrimonial. Voyez Jacob Zuma, le Président sud-africain. Lui, il ne porte pas un affreux casque pour aller retrouver nuitamment une conquête. Il s’affiche publiquement avec ses six femmes sans complexe, et certainement avec fierté.
Revenons à cette affaire d’homosexualité. La civilisation occidentale a adopté cette « chose ». C’est son choix. Mais, bon sang, qu’on arrête de nous fourguer cette mauvaise marchandise ! Merci. Nous ne sommes pas intéressés !
Ils ont volé nos frères. 400 millions d’Africains exportés comme du bétail en Amérique pour aller travailler comme esclaves. C’était la Traite négrière. Ils ont volé notre liberté et notre dignité. C’était la colonisation. Ils ont volé [et continuent de voler] notre or, nos diamants, notre pétrole. C’est le pillage de nos économies. A présent, ils veulent voler notre intimité. Par voie anale.
Il faut en effet prendre très au sérieux la pression homosexuelle qui est exercée sur le continent, pour la simple raison que ce problème va au-delà du périmètre intime. Le fait que les hautes instances internationales [Onu, Union européenne, grands médias, etc.] mettent à l’index les pays africains qui s’élèvent contre l’invasion des hordes homosexuelles, est loin d’être banal.
On assiste à un nouvel impérialisme qui ne s’exprime plus uniquement par la kalachnikov. Il est plus subtil, donc très vicieux, parce qu’il veut prendre possession de nos corps et de nos esprits, avec des arrière-pensées d’altération de la capacitation de ce continent en chemin ver son apogée.
Les perspectives de l’Afrique dans les prochaines décennies sont plutôt prometteuses. L’Afrique, c’est désormais plus d’un milliard d’habitants. Ce sont des ressources naturelles considérables. Tous les indicateurs de croissance font d’elle the place to be. Ce potentiel pluriel n’est pas forcement du goût de tout le monde. Il faut casser la dynamique de prospérité du continent, court-circuiter le dynamisme de ses nouvelles élites, et néantiser toutes les possibilités qui seraient susceptibles de potentialiser son décollage économique.
Pour mettre en place ce plan cynique, des oiseaux de mauvais augure commencent par corroder le corps social, notamment le segment de la jeunesse qui constitue comme on le sait, l’avenir de tout pays. Kadhafi ne disait-il pas que le Sida était un virus qui a été volontairement propagé à travers le continent à des fins impérialistes ? Dans le même ordre d’idée, on se souvient que les consciences des élites dirigeantes avaient été formatées dans les années 80 par le malthusianisme alors triomphant, pour structurer des politiques de contrôle des naissances.
Le prétexte avancé était fondé sur la prétendue adéquation entre les ressources et la démographie. En fait, la croissance démographique de l’Afrique faisait, en raison du postulat selon lequel une démographie forte induit une puissance en devenir [Chine, Inde], donc difficile à vassaliser. Il y a des officines qui travaillent à maintenir l’Afrique dans l’indigence, de façon à la fragiliser pour lui mettre le grappin dessus.
Il est à craindre que l’homosexualité participe de cette démarche. Si cette « chose » prospère en Afrique, c’est clairement son avenir qui sera compromis, puisqu’elle risquera de provoquer de fortes perturbations démographiques qui pourraient elles-mêmes conduire à une récession économique graves. D’autant plus que, contrairement à l’Europe et à l’Amérique dont les populations sont de plus en plus vieillissantes, l’Afrique, elle, dispose de populations jeunes à plus de 80%. Et c’est cette frange, motrice de notre prospérité à venir, qu’on veut pousser dans le précipice de la déperdition homosexuelle. A cet égard, l’homosexualité peut constituer une arme de destruction massive.
Par Innocent Ebodé, Journaliste
Afrik 53.com