Nul ne peut empêcher le soleil de briller. Dans un temps record (3 ans) le Docteur Youssouf Saïd avec l’aide et le soutien inconditionnel...
Nul ne peut empêcher le soleil de briller.
Dans un temps record (3 ans) le Docteur Youssouf Saïd avec l’aide et le soutien inconditionnels de la jeunesse de Ntsaoueni a pu mobiliser les fonds communautaires (210 millions de francs comoriens, soit 420 000 euros) pour la construction de l’hôpital de Mboudé inauguré le 12 février 2014. Les élites ou les «Grandes puissances» qui se partageaient ce magot durant plus de 15 ans, n’ont pas évidement apprécié cette gestion plus que rigoureuse au profit du développement local. Par conséquent, ils ont décidé d’en finir avec le docteur Youssouf Saïd, l’homme qui a osé s’attaquer à leur butin. Une campagne visant à le salir et à achever sa carrière politique a été orchestrée. Les médias nationaux sont mobilisés et intoxiqués par cette campagne nauséabonde. Toutefois en s’attaquant à cette injustice et aux intérêts financiers de cette oligarchie très tentaculaire, le Docteur Youssouf Saïd était conscient qu’il risquait de mettre sa carrière politique en danger, mais pour le bien être de la population ntsaouenienne, plus particulièrement les plus faibles «jeunes, cultivateurs et pêcheurs», le Docteur Youssouf Saïd n’a pas hésité à s’engager pour cette cause chère à son maître à penser feu Président Ali Soilih.
Dans un temps record (3 ans) le Docteur Youssouf Saïd avec l’aide et le soutien inconditionnels de la jeunesse de Ntsaoueni a pu mobiliser les fonds communautaires (210 millions de francs comoriens, soit 420 000 euros) pour la construction de l’hôpital de Mboudé inauguré le 12 février 2014. Les élites ou les «Grandes puissances» qui se partageaient ce magot durant plus de 15 ans, n’ont pas évidement apprécié cette gestion plus que rigoureuse au profit du développement local. Par conséquent, ils ont décidé d’en finir avec le docteur Youssouf Saïd, l’homme qui a osé s’attaquer à leur butin. Une campagne visant à le salir et à achever sa carrière politique a été orchestrée. Les médias nationaux sont mobilisés et intoxiqués par cette campagne nauséabonde. Toutefois en s’attaquant à cette injustice et aux intérêts financiers de cette oligarchie très tentaculaire, le Docteur Youssouf Saïd était conscient qu’il risquait de mettre sa carrière politique en danger, mais pour le bien être de la population ntsaouenienne, plus particulièrement les plus faibles «jeunes, cultivateurs et pêcheurs», le Docteur Youssouf Saïd n’a pas hésité à s’engager pour cette cause chère à son maître à penser feu Président Ali Soilih.
En effet Certaines personnes qui se targuent d’être les «élites» de Ntsaouéni considèrent les autres comme des incultes, des ignares qui ne comprennent rien aux passations de marché, aux appels d’offre ou ce qu’ils appellent en termes soignés, consultations restreintes. Il est troublant de constater que durant les quinze années de règne sans partage de l’ADN «Association des élites», la communauté de Ntsaouéni n’a jamais entendu parler de Bilans, de contrats, d’appels d’offre ou d’autres termes apparentés comme si ces élites viennent d’apprendre ces concepts ces derniers temps. Pourquoi ? Pourquoi durant tout ce temps, les travaux exécutés à Ntsaouéni: bitumage des routes, construction du bâtiment de la MECK Ntsaouéni, élargissement de l’adduction d’eau financé par la coopération française et non inauguré, car non réalisé, tous sans bilan financier pour n’en citer que ceux là n’avaient-ils jamais fait l’objet ni d’appels d’offre ni de contrats ?
Notre équipe à la tête de laquelle se trouvait l’éminent économiste de renom international, le Docteur Youssouf Saïd a eu la présence d’esprit de se conformer aux règles de l’art en soumettant les travaux de construction de notre hôpital à un contrat adopté et signé publiquement à la place de Daradjou avec l’entreprise chinoise sise à Moroni et exécutant tous les travaux financés par la République populaire de Chine aux Comores. La voilà la différence ! Elle est patente ! Avalez la pilule chère «intellectuels»!
En se référant au contrat initial en date du 16 novembre 2005 cosigné par les deux parties et le contrat d’avenant en date du 17 Décembre 2008, que ceux qui disent qu’il n’y a pas de contrat qui nous lie à l’entreprise chinoise nous le prouvent. Que ceux qui disent en catimini qu’il y a un texte signé par l’entreprise chinoise qui annule ces contrats nous le montrent et l’affaire sera close. C’est très simple, n’est-ce pas? Arrêtez, chers «intellectuels» ou «Grandes puissances de Ntsaoueni» comme vous aimez bien qu’on vous appelle, de prendre les gens pour des poissons! Pour le coup de spectacle des 50 millions, où est l’acte signé par l’entreprise chinoise qui affirme n’avoir rien perçu de ladite somme? Au contraire, l’entreprise chinoise a bel et bien confirmé avoir reçu cette somme avec comme preuve, le document détaillant tous les versements effectués par la mairie sur le compte de l’entreprise et signé par le Directeur général de cette entreprise. Ce document est présentement entre les mains de la commission d’audit dont, certains membres mal intentionnés, veulent cacher expressément la vérité à sa propre population et l’opinion national dans un but précis «enterrer politiquement» le Docteur Youssouf Saïd. D’ailleurs, pour que cette vérité éclate, je lance un vibrant appel à tous les enfants de Ntsaouéni et ceux qui aiment cette ville pour qu’ensemble en tant que contribuables nous portions plainte contre cette commission. Elle a été mise en place par arrêté du ministre de l’Intérieur pour que, moyennant un budget global de 3 millions cinq cent mille francs soit 7000 euros, nous livre, au bout de 45 jours, un rapport complet et concis sur la gestion financière de l’ADN, de la mairie sous l’Autorité de Youssouf Saïd, de la notabilité et de la diaspora. Les membres de cette Commission se sont précipités à se partager cette somme sans réaliser leur travail. Deux ans bientôt sans rapport final, le maudit travail de cette commission, loin d’apporter une solution au conflit sinon de l’apaiser, ne fait que l’aggraver.
Messieurs les «auditeurs internationaux» déphasés, permettez-moi de vous rappeler que vous avez la lourde responsabilité d’auditer les finances de la ville de Ntsaouéni et ce travail exige professionnalisme, déontologie, honnêteté et un sens aigu d’appréciation. À la lecture de votre rapport partiel, diffusé en dehors des règles normales de l’audit consistant à obtenir l’aval de l’audité avant la diffusion du rapport, j’ai constaté que vous avez mentionné, sous ma responsabilité des bordereaux de versement que je ne vous ai pas remis. Avec regret, je vous dis que ceci est du pur mensonge et relève de la calomnie, voire de la mauvaise foi, car je vous ai remis tous les bordereaux des versements effectués à partir de mon compte. Au cas où vous aurez sciemment perdu certains de ces bordereaux, j’en ai gardé des copies pour témoignage. En outre et excepté une volonté délibérée de votre part, votre rapport n’a pas pu clarifier ni les différents comptes qui ont alimenté le compte de l’entreprises chinoise ni les montants émis à partir de ces comptes. En rappel au cas où vous faites semblant de l’ignorer, la totalité de l’argent versé a émané de la comptabilité de la mairie, de la notabilité et de la diaspora. Comme je ne suis pas responsable des comptes de la notabilité ni de la diaspora, je ne pouvais plus être en mesure de vous livrer les originaux des versements effectués par ces entités.
À la lumière de toutes ces informations, je vous demande amiablement de continuer votre travail sous peine que les anciens Autorités municipales et moi-même ne saisissons pas la justice pour diffamation. D’autre part, il est impératif que les procédures que vous avez engagées soient scrupuleusement suivies pour toutes les entités auditées car toutes les taxes que nous avons recouvrées (taxes des Associations musicales des hommes et des femmes, taxes des mariages, taxes des chaises, taxes de l’eau, cotisations, etc.) sont hérités du bureau de l’ADN. Nous sommes donc en droit et nous l’exigeons de voir tous les carnets des reçus de tous ces taxes.
Sans être exhaustif sur mes propos mais exigeant sur l’équité et la transparence dans vos travaux, je vous demande d’agréer l’expression de ma très franche collaboration. La recherche de la vérité et de la justice sociale est un héritage de nos ancêtres et nous nous y conformerons pour le bien être de nos familles, de nos enfants, de nos petits enfants qui ont le droit de vivre dans un environnement assaini, serein et prometteur.
Youssouf Yahaya Trésorier de la Mairie de Ntsaoueni sous Docteur Youssouf Saïd
Article transmis par le Docteur Youssouf Saïd Soilihi