Quelques jours avant l'officialisation de leur séparation, François Hollande et Valérie Trierweiler se sont retrouvés pour discuter de...
Quelques jours avant l'officialisation de leur séparation, François Hollande et Valérie Trierweiler se sont retrouvés pour discuter des modalités de leur rupture. Le président de la République s'est montré « fair-play ».
Tout a commencé le 9 janvier au soir, quelques heures avant la révélation de la liaison supposée de François Hollande avec Julie Gayet par le magazine Closer. Le président de la République, averti que des photos de lui allaient être publiées, a préféré s'entretenir avecValérie Trierweiler. Une longue nuit « passée à discuter, sans manger, ni dormir », a expliqué l'ex-première dame à Paris Match. Ce n'est pourtant que le lendemain que le contrecoup est le plus difficile pour la journaliste de 48 ans qui, sous le choc, s'est évanouie. Trois proches de Valérie Trierweiler retrouvent alors le Président et ces derniers lui conseillent de la faire hospitalisee. « Il veut être parfaitement réglo. Pour donner son feu vert, il décide d'attendre son accord », précise la journaliste de l'hebdomadaire.
La suite on la connaît. Valérie Trierweiler, qui devait d'abord sortir le lundi, est finalement restée hospitalisée huit jours à la Pitié-Salpêtrière. Ce n'est qu'au bout d'une petite semaine que le chef de l'Etat est allé lui rendre visite. Tard, le jeudi soir, il se rend à son chevet. Le corps médical souhaite que la visite dure six minutes, ils s'entretiennent une demi-heure. La journaliste pense alors qu'il est encore possible de pardonner et de retourner vivre avec François.« Il a fait tout un cheminement pour ne pas la brusquer », a révélé un proche du Président. Ce dernier se dit même « perdu ». « Il était bouleversé par la douleur de Valérie, au point de sembler se demander si c'était vraiment brisé entre eux. Sans doute, dans une vie normale, se serait-il bien vu mener de front deux relations, pour se donner le temps de la réflexion », ose un proche du chef de l'Etat.
Pourtant, dès le lendemain, sa décision est prise : il va rompre. Le samedi soir, au retour de ses vœux à Tulle, il rejoint celle qui est encore sa compagne à la Lanterne, la résidence du chef de l'Etat près de Versailles. Là encore, le temps est à la discussion et François Hollande se montre clair : « Je pense que reprendre une vie commune est difficile », lui aurait-il confié selon Paris Match. Valérie encaisse et comprend : cette fois, tout est fini. L'heure est donc à la survie.
Elle s'entoure d'avocats pour défendre ses intérêts et, le jeudi de la semaine suivante, ils déjeunent ensemble dans ce qui était, il y a peu, leur appartement, rue Cauchy dans le 15ème arrondissement de Paris.« François veut la sécuriser. Il se montre totalement fair-play », jure un proche. En guise de compensation, il s'est engagé à payer, « sur ses deniers personnels », le loyer de la rue Cauchy ou de son futur appartement si elle souhaite déménager. Et ce, jusqu'à la fin du quinquennat. En plus de cela, il lui « versera une aide pour l'éducation des ses trois garçons », est-il précisé. Le samedi soir à 18h48, en une phrase lapidaire transmise à l'AFP, François Hollande a « fait savoir qu'[il] a mis fin à la vie commune qu'[il] partageait avec Valérie Trierweiler ». Avec voici.fr
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