Les crypto-sambistes ne survivent qu'en vendant la vidéo diffamant le Général. Les sages disent que Dieu a fait de la figure une par...
Les crypto-sambistes ne survivent qu'en vendant la vidéo diffamant le Général.
Les sages disent que Dieu a fait de la figure une partie du corps sans poils pour que l'être humain puisse avoir la notion de honte. Mais, compte tenu de la complexité de la nature humaine, il ne suffit pas d'avoir une figure lisse pour savoir ce que c'est que la honte. Et quand on observe ce qui se passe dans le camp des crypto-sambistes, on constate que ces gens-là ne se soucient pas beaucoup de la honte. Voilà des assassins agissant en groupe, les assassins du Lieutenant-colonel Combo Ayouba, qui ont tellement repoussé les frontières de la honte jusqu'au sordide. À un moment où est confirmée la candidature, pour l'élection présidentielle de 2016, de leur ennemi intime, le Général Salimou Mohamed Amiri, ils sont tellement déboussolés qu'ils en sont à boucler leurs fins de mois en vendant à 1.000 francs comoriens la vidéo qu'ils ont montée contre le Général, en soudoyant ce corruptible et bien corrompu Juge Rachadi Mchangama. Quelle grandeur d'âme! Et ce sont ces assassins qui veulent reprendre le pouvoir dans notre pays pour continuer à tuer et à manipuler? Ils ont tellement envie d'enterrer le Général Salimou Mohamed Amiri que, quand ils ont constaté que leur vidéo n'intéressait pas les Comoriens, ils se sont mis à la distribuer gratuitement. Assassins manipulateurs, le peuple vous attend au tournant et aura le dernier mot!
Aujourd'hui, les crypto-sambistes, assassins du Lieutenant-colonel Combo Ayouba, sont tellement désemparés qu'ils continuent à faire une fixation haineuse sur le Général Salimou Mohamed Amiri. Car, comment les Comoriens doivent-ils interpréter la distribution d'une vidéo diffamant une personne qui a été innocentée par le Juge? Au surplus, pendant que les crypto-sambistes s'enfoncent dans le mensonge et la manipulation, leurs deux mamelles, une organisation non-gouvernementale (ONG), Action citoyenne pour la Justice et l'État de Droit (ACJÉD), créée le 23 novembre 2013, milite en faveur de la manifestation de la vérité sur l'assassinat du Lieutenant-colonel Combo Ayouba le 13 juin 2010. Or, la plupart des militants de l'ONG ACJÉD avaient manifesté leur soutien au Général Salimou Mohamed Amiri quand la «Justice» de Son Excellence Ahmed Sambi voulait le faire rayer de la carte du monde.
Ici même, sur ce site, et ailleurs, il a souvent été question du rôle joué par la nomination de Hamada Madi Boléro dans la dégradation des relations entre Ikililou Dhoinine et Ahmed Sambi. Mais, il est un élément de la première importance qui n'y a pas encore été associé et porté à la connaissance du public: la reconnaissance de l'innocence totale et définitive du Général Salimou Mohamed Amiri par le Juge. Pour Ahmed Sambi, grand manipulateur devant l'Éternel, et en homme qui n'a jamais entendu parler de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de la Justice, le Président Ikililou Dhoinine devait obliger le Juge à faire condamner injustement le Général pour que ce dernier croupisse en prison jusqu'à la fin des temps. Pour lui, il est inadmissible qu'on puisse reconnaître l'innocence d'un homme qui lui faisait de l'ombre quand il paradait à Beït-Salam et vendait les Comores aux quatre vents, ce même homme qui l'avait ridiculisé en lui refusant l'entrée au Camp de Kandani tant qu'il était accompagné de ses mercenaires que Mouammar El Kadhafi avait mis à sa disposition.
La haine et la détestation d'Ahmed Sambi envers le Général Salimou Mohamed Amiri sont tellement virulentes qu'après le refus devant le portail du Camp militaire de Kandani, le représentant officiel de la Libye à Moroni tint le discours suivant au Général: «J'ai reçu du Guide de la Révolution libyenne, Mouammar El Kadhafi, une invitation vous concernant. Le Guide de la Révolution met à votre disposition un avion spécial, sur lequel vous pouvez inviter qui vous voulez. Ça sera, je vous le confirme, un vol spécial». Le Général demanda un temps de réflexion, mais quelle n'a été sa surprise quand, arrivé sur ses terres de Dzahadjou, Hambou, un homme n'assurant aucune fonction officielle lui lança, comme par provocation et défi: «Alors? Tu viens d'échapper à une tentative d'assassinat par explosion de l'avion que Mouammar El Kadhafi voulait mettre à ta disposition?». Comment cet homme très ordinaire pouvait-il connaître une telle information? Le mystère reste entier car il n'a jamais expliqué l'origine de l'information.
En d'autres termes, le couple maudit formé par Mouammar El Kadhafi et Ahmed Sambi avait l'intention de faire exploser en plein vol un avion au bord duquel allaient se trouver 300 Comoriens innocents, qu'on allait tuer comme des rats, uniquement pour assouvir les lubies meurtrières de deux assassins. Donc, quand un homme est prêt à aller jusqu'à l'assassinat en masse pour se débarrasser de celui qu'il considère injustement comme son adversaire, son imagination meurtrière n'a pas de limites. Cet homme est disposé à tout pour créer les pires ennuis à son ennemi. Déjà, en mai 2010, au Maroc, le Colonel Bastu Ahmed Bastou, devant les élèves-officiers anjouanais, disait qu'il allait être nommé chef d'état-major de l'AND car Ahmed Sambi allait écraser le Général. Quelques jours avant, le Caporal Hamidou Bourhane, Président de l'Assemblée, crypto-sambiste de la première heure, expliquait aux habitants de Dzahadjou, Hambou, qu'Ahmed Sambi cherchait à faire un sort au Général. Une vieille haine.
Cette vieille haine avait atteint son paroxysme lorsque, durant la mémorable cérémonie de Dzahadjou, face au flot de louanges faits au Général, notamment par le grand homme d'État Saïd-Hassan Saïd-Hachim, l'irascible Ahmed Sambi, oubliant toute précaution oratoire, avait lancé un haineux: «Salimou, … qu'est-ce qu'il a fait Salimou?». Cette haine est inextinguible. C'est plus fort que lui, elle lui fait perdre la raison (en a-t-il?) et les pédales.
Donc, en personnes animées d'une détestation aussi sourde et d'une haine aussi bestiale, les crypto-sambistes sont prêts à tout ce qu'il y a de pire, pendant que les membres de l'ONG ACJÉD, des proches du Général Salimou Mohamed Amiri pour la plupart, ont publié un communiqué en date du 21 décembre 2013 dans lequel ils affirment qu'ils souhaitent que toute la lumière soit faite sur 3 dossiers en particulier: celui de la «citoyenneté économique», celui de la tentative de coup d'État imaginaire de la nuit du 19 au 20 avril 2013 et l'assassinat du Lieutenant-colonel Combo Ayouba. S'agissant de l'affaire Combo Ayouba, on lit sur ce communiqué: «De l'affaire du meurtre du Lieutenant-colonel Combo Ayouba en juin 2010, laquelle, des innocents ont fait les frais d'une procédure judiciaire bancale, initiée par le pouvoir de l'époque. L'ACJÉD demande la réouverture de l'enquête de ce meurtre odieux, puisque convaincu que la transmission de ce dossier à l'Union Africaine ne constitue qu'une diversion. Il faut que les coupables de ce meurtre, qui courent toujours dans la nature, soient punis par la Justice». Ces meurtriers ne sont pas que dans la nature: ils se retrouvent aussi à Missiri, Mutsamudu, pour comploter.
Donc, pendant que les proches du Général Salimou Mohamed Amiri souhaitent que les autorités se lancent dans l'ouverture d'une vraie enquête sur l'assassinat de Combo Ayouba, les vrais assassins de l'officier de Mirontsi s'accrochent à leur seule planche du salut: une vidéo montrant un menteur corrompu raconter des mensonges après avoir reçu d'une bande d'assassins de l'argent volé au peuple comorien. Suffit-il qu'un sombre individu habillé d'une chemise douteuse au col douteux surmonté du nœud douteux d'une cravate douteuse se mette à radoter dans un coin pour le prendre au sérieux? Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un sombre individu reconnu de détournement de 20 millions de francs comoriens quand il effectuait un stage à la Direction des Impôts. Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un tricheur qui avait été interdit d'examens pendant une année à l'Université, à Madagascar, parce que pris en flagrant délit de fraude lors de ses examens. Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un Magistrat qui soulève même la réprobation de l'appareil judiciaire, qui lui colle au cul les membres de l'Inspection générale des Affaires judiciaires, qui lui reprochent «une conduite pas convenable». Et c'est ce demi-sel qui doit sauver les crypto-sambistes de la honte? Au XIXème siècle, dans l'Empire Ottoman, Ibrahim, fils de Mehmet Ali, lança son célèbre mot: «Quand un homme qui se noie aperçoit un serpent, il s'accrochera même à lui afin de ne pas couler».
Par ARM
© www.lemohelien.com – Mercredi 8 janvier 2014.
Les sages disent que Dieu a fait de la figure une partie du corps sans poils pour que l'être humain puisse avoir la notion de honte. Mais, compte tenu de la complexité de la nature humaine, il ne suffit pas d'avoir une figure lisse pour savoir ce que c'est que la honte. Et quand on observe ce qui se passe dans le camp des crypto-sambistes, on constate que ces gens-là ne se soucient pas beaucoup de la honte. Voilà des assassins agissant en groupe, les assassins du Lieutenant-colonel Combo Ayouba, qui ont tellement repoussé les frontières de la honte jusqu'au sordide. À un moment où est confirmée la candidature, pour l'élection présidentielle de 2016, de leur ennemi intime, le Général Salimou Mohamed Amiri, ils sont tellement déboussolés qu'ils en sont à boucler leurs fins de mois en vendant à 1.000 francs comoriens la vidéo qu'ils ont montée contre le Général, en soudoyant ce corruptible et bien corrompu Juge Rachadi Mchangama. Quelle grandeur d'âme! Et ce sont ces assassins qui veulent reprendre le pouvoir dans notre pays pour continuer à tuer et à manipuler? Ils ont tellement envie d'enterrer le Général Salimou Mohamed Amiri que, quand ils ont constaté que leur vidéo n'intéressait pas les Comoriens, ils se sont mis à la distribuer gratuitement. Assassins manipulateurs, le peuple vous attend au tournant et aura le dernier mot!
Aujourd'hui, les crypto-sambistes, assassins du Lieutenant-colonel Combo Ayouba, sont tellement désemparés qu'ils continuent à faire une fixation haineuse sur le Général Salimou Mohamed Amiri. Car, comment les Comoriens doivent-ils interpréter la distribution d'une vidéo diffamant une personne qui a été innocentée par le Juge? Au surplus, pendant que les crypto-sambistes s'enfoncent dans le mensonge et la manipulation, leurs deux mamelles, une organisation non-gouvernementale (ONG), Action citoyenne pour la Justice et l'État de Droit (ACJÉD), créée le 23 novembre 2013, milite en faveur de la manifestation de la vérité sur l'assassinat du Lieutenant-colonel Combo Ayouba le 13 juin 2010. Or, la plupart des militants de l'ONG ACJÉD avaient manifesté leur soutien au Général Salimou Mohamed Amiri quand la «Justice» de Son Excellence Ahmed Sambi voulait le faire rayer de la carte du monde.
Ici même, sur ce site, et ailleurs, il a souvent été question du rôle joué par la nomination de Hamada Madi Boléro dans la dégradation des relations entre Ikililou Dhoinine et Ahmed Sambi. Mais, il est un élément de la première importance qui n'y a pas encore été associé et porté à la connaissance du public: la reconnaissance de l'innocence totale et définitive du Général Salimou Mohamed Amiri par le Juge. Pour Ahmed Sambi, grand manipulateur devant l'Éternel, et en homme qui n'a jamais entendu parler de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de la Justice, le Président Ikililou Dhoinine devait obliger le Juge à faire condamner injustement le Général pour que ce dernier croupisse en prison jusqu'à la fin des temps. Pour lui, il est inadmissible qu'on puisse reconnaître l'innocence d'un homme qui lui faisait de l'ombre quand il paradait à Beït-Salam et vendait les Comores aux quatre vents, ce même homme qui l'avait ridiculisé en lui refusant l'entrée au Camp de Kandani tant qu'il était accompagné de ses mercenaires que Mouammar El Kadhafi avait mis à sa disposition.
La haine et la détestation d'Ahmed Sambi envers le Général Salimou Mohamed Amiri sont tellement virulentes qu'après le refus devant le portail du Camp militaire de Kandani, le représentant officiel de la Libye à Moroni tint le discours suivant au Général: «J'ai reçu du Guide de la Révolution libyenne, Mouammar El Kadhafi, une invitation vous concernant. Le Guide de la Révolution met à votre disposition un avion spécial, sur lequel vous pouvez inviter qui vous voulez. Ça sera, je vous le confirme, un vol spécial». Le Général demanda un temps de réflexion, mais quelle n'a été sa surprise quand, arrivé sur ses terres de Dzahadjou, Hambou, un homme n'assurant aucune fonction officielle lui lança, comme par provocation et défi: «Alors? Tu viens d'échapper à une tentative d'assassinat par explosion de l'avion que Mouammar El Kadhafi voulait mettre à ta disposition?». Comment cet homme très ordinaire pouvait-il connaître une telle information? Le mystère reste entier car il n'a jamais expliqué l'origine de l'information.
En d'autres termes, le couple maudit formé par Mouammar El Kadhafi et Ahmed Sambi avait l'intention de faire exploser en plein vol un avion au bord duquel allaient se trouver 300 Comoriens innocents, qu'on allait tuer comme des rats, uniquement pour assouvir les lubies meurtrières de deux assassins. Donc, quand un homme est prêt à aller jusqu'à l'assassinat en masse pour se débarrasser de celui qu'il considère injustement comme son adversaire, son imagination meurtrière n'a pas de limites. Cet homme est disposé à tout pour créer les pires ennuis à son ennemi. Déjà, en mai 2010, au Maroc, le Colonel Bastu Ahmed Bastou, devant les élèves-officiers anjouanais, disait qu'il allait être nommé chef d'état-major de l'AND car Ahmed Sambi allait écraser le Général. Quelques jours avant, le Caporal Hamidou Bourhane, Président de l'Assemblée, crypto-sambiste de la première heure, expliquait aux habitants de Dzahadjou, Hambou, qu'Ahmed Sambi cherchait à faire un sort au Général. Une vieille haine.
Cette vieille haine avait atteint son paroxysme lorsque, durant la mémorable cérémonie de Dzahadjou, face au flot de louanges faits au Général, notamment par le grand homme d'État Saïd-Hassan Saïd-Hachim, l'irascible Ahmed Sambi, oubliant toute précaution oratoire, avait lancé un haineux: «Salimou, … qu'est-ce qu'il a fait Salimou?». Cette haine est inextinguible. C'est plus fort que lui, elle lui fait perdre la raison (en a-t-il?) et les pédales.
Donc, en personnes animées d'une détestation aussi sourde et d'une haine aussi bestiale, les crypto-sambistes sont prêts à tout ce qu'il y a de pire, pendant que les membres de l'ONG ACJÉD, des proches du Général Salimou Mohamed Amiri pour la plupart, ont publié un communiqué en date du 21 décembre 2013 dans lequel ils affirment qu'ils souhaitent que toute la lumière soit faite sur 3 dossiers en particulier: celui de la «citoyenneté économique», celui de la tentative de coup d'État imaginaire de la nuit du 19 au 20 avril 2013 et l'assassinat du Lieutenant-colonel Combo Ayouba. S'agissant de l'affaire Combo Ayouba, on lit sur ce communiqué: «De l'affaire du meurtre du Lieutenant-colonel Combo Ayouba en juin 2010, laquelle, des innocents ont fait les frais d'une procédure judiciaire bancale, initiée par le pouvoir de l'époque. L'ACJÉD demande la réouverture de l'enquête de ce meurtre odieux, puisque convaincu que la transmission de ce dossier à l'Union Africaine ne constitue qu'une diversion. Il faut que les coupables de ce meurtre, qui courent toujours dans la nature, soient punis par la Justice». Ces meurtriers ne sont pas que dans la nature: ils se retrouvent aussi à Missiri, Mutsamudu, pour comploter.
Donc, pendant que les proches du Général Salimou Mohamed Amiri souhaitent que les autorités se lancent dans l'ouverture d'une vraie enquête sur l'assassinat de Combo Ayouba, les vrais assassins de l'officier de Mirontsi s'accrochent à leur seule planche du salut: une vidéo montrant un menteur corrompu raconter des mensonges après avoir reçu d'une bande d'assassins de l'argent volé au peuple comorien. Suffit-il qu'un sombre individu habillé d'une chemise douteuse au col douteux surmonté du nœud douteux d'une cravate douteuse se mette à radoter dans un coin pour le prendre au sérieux? Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un sombre individu reconnu de détournement de 20 millions de francs comoriens quand il effectuait un stage à la Direction des Impôts. Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un tricheur qui avait été interdit d'examens pendant une année à l'Université, à Madagascar, parce que pris en flagrant délit de fraude lors de ses examens. Et si, en plus, il ne s'agissait pas d'un Magistrat qui soulève même la réprobation de l'appareil judiciaire, qui lui colle au cul les membres de l'Inspection générale des Affaires judiciaires, qui lui reprochent «une conduite pas convenable». Et c'est ce demi-sel qui doit sauver les crypto-sambistes de la honte? Au XIXème siècle, dans l'Empire Ottoman, Ibrahim, fils de Mehmet Ali, lança son célèbre mot: «Quand un homme qui se noie aperçoit un serpent, il s'accrochera même à lui afin de ne pas couler».
Par ARM
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