Chers journalistes, chers collègues des médiats sociaux ! Celui qui entretien des chimères provoque automatiquement des utopies. C'es...
Chers journalistes, chers collègues des médiats sociaux ! Celui qui entretien des chimères provoque automatiquement des utopies. C'est ainsi, qu'encore une fois, je vous rappelle que les citoyens Comoriens comptent sur vous pour mettre les chimères à leurs place, et donner les leaders leurs places qu'ils méritent.
Le constat est la, il est quand même hallucinant : « tout le monde est leader politique aux Comores ». Sans jalousie, oui, je veux bien qu'ils restent tous des leaders. « Mais » il est temps de peser pour éliminer {les poids lourds qui ne pèsent que {0g}; n’est pas ? le but recherché est d'épargner Beit-Salam « d’un charlatan en 2016 ».
Un ancien ministre Français disait : « L'existence d'un leader se constate plus souvent qu'elle ne se proclame »; hélas chez nous aux Comores, il suffit d'être auteur d'un " slogan", pour s'autoproclamer leader politique.
Les citoyens comoriens attendent avec impatience le jour où la presse comorienne décidera d'ajuster la barre au but de savoir combien des partis et leaders de haut niveau nous avons aux Comores. Les athlètes ont les pistes pour se défier ; ils ont les barres et les minuteurs pour sélectionner les athlètes de hauts niveaux. Cela dit que n'importe qui ne peut pas venir se déclarer athlète de haut niveau.
Pourquoi alors, aux Comores chacun se déclare leader politique ? Je pense que oui, c'est la faute des journalistes mais aussi de mes chers collègues des médiats sociaux; car après tout, force est de constater que ces messieurs « partis politiques », ces messieurs « comité Maoré » et autres mouvements, ne sont pas inquiets qu'un jour ils seront appelés dans une compétition pour affronter les autres, [dans un stade aménagé spécialement pour cette compétition : « confrontation d'idées ; arguments contre argument ; projet contre projet »].
Conséquences de ce manque : ils sont nombreux qui se cachent derrière des simples slogans ou simplement derrière un système très archaïque ; périmé ; sans valeur ni intérêt ; ... tout en scandant : « Nous ! Leaders Politiques ! ».
J’invite nos médiats sociaux [après avoir invité sans succès, les médiats d'Etat], à réfléchir sur le comment peut-on aménager « un stade pour la compétition de nos leaders politiques ? », Il est très important de savoir, qui sont les poids lourds Comoriens, capables de proposer des idées pour redresser le pays ? Pour dire enfin ! Ne plus jamais un charlatan au palais présidentiel « Beit-Salam » inchallah …
Le constat est la, il est quand même hallucinant : « tout le monde est leader politique aux Comores ». Sans jalousie, oui, je veux bien qu'ils restent tous des leaders. « Mais » il est temps de peser pour éliminer {les poids lourds qui ne pèsent que {0g}; n’est pas ? le but recherché est d'épargner Beit-Salam « d’un charlatan en 2016 ».
Un ancien ministre Français disait : « L'existence d'un leader se constate plus souvent qu'elle ne se proclame »; hélas chez nous aux Comores, il suffit d'être auteur d'un " slogan", pour s'autoproclamer leader politique.
Les citoyens comoriens attendent avec impatience le jour où la presse comorienne décidera d'ajuster la barre au but de savoir combien des partis et leaders de haut niveau nous avons aux Comores. Les athlètes ont les pistes pour se défier ; ils ont les barres et les minuteurs pour sélectionner les athlètes de hauts niveaux. Cela dit que n'importe qui ne peut pas venir se déclarer athlète de haut niveau.
Pourquoi alors, aux Comores chacun se déclare leader politique ? Je pense que oui, c'est la faute des journalistes mais aussi de mes chers collègues des médiats sociaux; car après tout, force est de constater que ces messieurs « partis politiques », ces messieurs « comité Maoré » et autres mouvements, ne sont pas inquiets qu'un jour ils seront appelés dans une compétition pour affronter les autres, [dans un stade aménagé spécialement pour cette compétition : « confrontation d'idées ; arguments contre argument ; projet contre projet »].
Conséquences de ce manque : ils sont nombreux qui se cachent derrière des simples slogans ou simplement derrière un système très archaïque ; périmé ; sans valeur ni intérêt ; ... tout en scandant : « Nous ! Leaders Politiques ! ».
J’invite nos médiats sociaux [après avoir invité sans succès, les médiats d'Etat], à réfléchir sur le comment peut-on aménager « un stade pour la compétition de nos leaders politiques ? », Il est très important de savoir, qui sont les poids lourds Comoriens, capables de proposer des idées pour redresser le pays ? Pour dire enfin ! Ne plus jamais un charlatan au palais présidentiel « Beit-Salam » inchallah …
Mrimdu