L'échéance des prochaines élections présidentielles est loin mais déjà certaines personnes commencent à dévoiler leur intention de di...
L'échéance des prochaines élections
présidentielles est loin mais déjà certaines personnes commencent à
dévoiler leur intention de diriger les "îles de la lune". Pourquoi tout
ce bruit autour d'un seul fauteuil? A quelle personne physique revient
le droit d'occuper ce fauteuil? impossible de le savoir à l'heure
actuelle ? A quelle île revient le droit d'occuper ce fauteuil? il est
possible de le savoir: en effet, la réponse peut être recherchée dans la
constitution du 23 décembre 2001 qui dès sa préambule, alinéa 1,
insiste sur l'égalité des droits et devoirs entre les îles. Je dis bien
entre les îles. Cela signifie que c'est l'île qui occupera ce fauteuil
(évidemment elle confiera cette noble mission à l'un de ses enfants, le
plus intègre et le plus compétent). Ce droit lui appartient.
On retrouve cette logique dans l'article 13 de la constitution qui précise que la présidence est tournante entre les îles. Nous comprenons là que non seulement le droit à la tournante appartient à chaque île mais qu'en plus cette présidence est tournante ce qui signifie que ce droit est attribué aux îles à tour de rôle afin d'assurer cette égalité de droit. Par conséquent, si la Grande Comore a exercé son droit en premier, Anjouan l'a exercé en deuxième position, Mohéli en troisième, alors ce droit revient de facto à la Grande Comores en quatrième position sauf modification de la constitution. A défaut d'une modification de la constitution, ce sera à la Grande Comore d'occuper ce fauteuil pour le respect de l'égalité des droits dans le cadre de la présidence tournante.
Je préfère le préciser aujourd'hui car nous aspirons à la paix dans notre pays. Si des mohéliens et des anjouannais souhaitent poser leur candidature dans les prochaines élections présidentielles, ils doivent d'abord changer la constitution car celle-ci est claire: ce sera de facto à la Grande Comore d'occuper le fauteuil présidentiel au terme du mandant de son excellence le DR IKILILOU DHOININE. Que le BON DIEU le protège des personnes malintentionnées et lui accorde la victoire dans tous projets pour le salut de ses concitoyens. AMIN
Par le DR ABDULLAH BEN
On retrouve cette logique dans l'article 13 de la constitution qui précise que la présidence est tournante entre les îles. Nous comprenons là que non seulement le droit à la tournante appartient à chaque île mais qu'en plus cette présidence est tournante ce qui signifie que ce droit est attribué aux îles à tour de rôle afin d'assurer cette égalité de droit. Par conséquent, si la Grande Comore a exercé son droit en premier, Anjouan l'a exercé en deuxième position, Mohéli en troisième, alors ce droit revient de facto à la Grande Comores en quatrième position sauf modification de la constitution. A défaut d'une modification de la constitution, ce sera à la Grande Comore d'occuper ce fauteuil pour le respect de l'égalité des droits dans le cadre de la présidence tournante.
Je préfère le préciser aujourd'hui car nous aspirons à la paix dans notre pays. Si des mohéliens et des anjouannais souhaitent poser leur candidature dans les prochaines élections présidentielles, ils doivent d'abord changer la constitution car celle-ci est claire: ce sera de facto à la Grande Comore d'occuper le fauteuil présidentiel au terme du mandant de son excellence le DR IKILILOU DHOININE. Que le BON DIEU le protège des personnes malintentionnées et lui accorde la victoire dans tous projets pour le salut de ses concitoyens. AMIN
Par le DR ABDULLAH BEN