Une délégation conduite par le Chargé de la Défense « Boléro », composée du Chef d'état major, du Commandant des garde-côtes et du Chef...
Une délégation conduite par le Chargé de la Défense « Boléro », composée du Chef d'état major, du Commandant des garde-côtes et du Chef du cabinet militaire ; soulève polémique ; car certains blogueurs déforment les faits.
Des collègues blogueurs attaquent comme toujours sans fondement, ou simplement sans le moindre connaissance de ce qu’ils avancent. Alors oui, chers collègues blogueurs, Nous devons donner à notre espace son sens, sa raison d'être, car malheureusement notre espace se glisse de plus en plus vers la pollution et le non sens. Libre à nous et c’est notre devoir, de réveiller les Comoriens, mais surtout pas avec les yeux bandés.
Ou bien il faut coûte que coûte, la tête de Boléro ? Vous êtes libre, mais ne déformez pas les faits.
Pour ceux qui souhaitent savoir la vérité,
le Prince Vice Premier Ministre et Ministre de la défense de l'Arabie Saoudite a invité le Chargé de la défense des Comores « HAMADA MADI Boléro » du 2 au 4 octobre 2013 et a proposé une rencontre pour la signature d'un mémorandum d'entente sur la défense (le 2 octobre à 11h).
Le Ministère de l'Intérieur Saoudien a écrit aux Comores que la délégation doit prendre les visas au Yemen. Le problème est que c'était trop tard et le Chargé de la défense en en l'occurrence Boléro, a demandé dans ces conditions que le voyage soit ajourné. Les Saoudiens ont envoyé un courrier par lequel ils expliquaient que toutes les dispositions ont été prises pour que les visas soient délivrés à l'aéroport à Djaddah. Lorsque la délégation comorienne est arrivée à Nairobi il ne restait que quelques 20 minutes avant la fin de l'embarquement! Le Chargé d'affaires de l'Arabie Saoudite à Nairobi qui prenait le même vol pour le même objet a tenté de demander à ce que la compagnie accepte la délégation qui n'avait pas de visas mais qui devait prendre les visas sur place avec les lettres en appui mais en vain l'avion est parti! La délégation comorienne est restée donc à Nairobi pour 2 jours et la rencontre prévue pour le 2 octobre a été ajourné jusqu'au mois de novembre après le voyage officiel du Président Ikililou invité par le Roi.
Alors ce rendez-vous manqué, c’est un cas de force majeur, qu’on veut coûte que coûte mettre sur les épaules d’un être humain, pourtant même en droit ; vous avocats et juristes, cela existe bel et bien. Il y a dans la vie de tous les jours, et dans la vie de ceux qui nous gouvernent, des circonstances surprenantes où la responsabilité humaine, ne peut pas être mis en cause. Mais pour cela il faut avoir le courage et la volonté de chercher et comprendre la réalité des faits.
Auteur : Mrimdu Des collègues blogueurs attaquent comme toujours sans fondement, ou simplement sans le moindre connaissance de ce qu’ils avancent. Alors oui, chers collègues blogueurs, Nous devons donner à notre espace son sens, sa raison d'être, car malheureusement notre espace se glisse de plus en plus vers la pollution et le non sens. Libre à nous et c’est notre devoir, de réveiller les Comoriens, mais surtout pas avec les yeux bandés.
Ou bien il faut coûte que coûte, la tête de Boléro ? Vous êtes libre, mais ne déformez pas les faits.
Pour ceux qui souhaitent savoir la vérité,
le Prince Vice Premier Ministre et Ministre de la défense de l'Arabie Saoudite a invité le Chargé de la défense des Comores « HAMADA MADI Boléro » du 2 au 4 octobre 2013 et a proposé une rencontre pour la signature d'un mémorandum d'entente sur la défense (le 2 octobre à 11h).
Le Ministère de l'Intérieur Saoudien a écrit aux Comores que la délégation doit prendre les visas au Yemen. Le problème est que c'était trop tard et le Chargé de la défense en en l'occurrence Boléro, a demandé dans ces conditions que le voyage soit ajourné. Les Saoudiens ont envoyé un courrier par lequel ils expliquaient que toutes les dispositions ont été prises pour que les visas soient délivrés à l'aéroport à Djaddah. Lorsque la délégation comorienne est arrivée à Nairobi il ne restait que quelques 20 minutes avant la fin de l'embarquement! Le Chargé d'affaires de l'Arabie Saoudite à Nairobi qui prenait le même vol pour le même objet a tenté de demander à ce que la compagnie accepte la délégation qui n'avait pas de visas mais qui devait prendre les visas sur place avec les lettres en appui mais en vain l'avion est parti! La délégation comorienne est restée donc à Nairobi pour 2 jours et la rencontre prévue pour le 2 octobre a été ajourné jusqu'au mois de novembre après le voyage officiel du Président Ikililou invité par le Roi.
Alors ce rendez-vous manqué, c’est un cas de force majeur, qu’on veut coûte que coûte mettre sur les épaules d’un être humain, pourtant même en droit ; vous avocats et juristes, cela existe bel et bien. Il y a dans la vie de tous les jours, et dans la vie de ceux qui nous gouvernent, des circonstances surprenantes où la responsabilité humaine, ne peut pas être mis en cause. Mais pour cela il faut avoir le courage et la volonté de chercher et comprendre la réalité des faits.